Lâcher de 170 faisans dans la foret de Ouled Bourahma (commune de Benabdelmalek Ramdane) daïra de Sidi Ali. La conservation des forêts de la circonspection de Sidi Ali, qui gère toutes les zones forestières de la région du Dahra, a procédé mardi dernier au lâcher de 170 faisans communs dans la forêt d’Ouled Bourahma, relevant de la commune de Benabdelmalek Ramdane, dans la wilaya de Mostaganem. Ce lâcher a été effectué, précise-t-on, en présence des membres de l’association Hamiche des chasseurs et de représentants de la Radio Dahra.Selon la Conservation des forêts, ce projet s’inscrit dans le cadre de la préservation et la conservation de la faune et de le fore de la région d’Ouled Bourahma, dans le but de lutter contre la disparition de certaines espèces animales, notamment les oiseaux. On signale également que d’autres opérations de ce genre vont suivre au cours des mois prochains. L. Benharrat
Restée durant plusieurs années sans chef, laissant les affaires administratives gérées par un cadre de la wilaya, Sidi Ali, l’ancienne daïra de la wilaya de Mostaganem qui avait regroupé toutes les communes du Dahra jusqu’en 1991, a enfin son premier responsable qui sera selon nos informations, officiellement installé dans ses fonctions, dès la semaine prochaine. Le nouveau chef de daïra de Sidi Ali qui a occupé les mêmes fonctions à Azazga n’aura pas la tâche facile pour le traitement de toutes les affaires administratives de sa circonscription qui compte aujourd’hui environ 55.000 âmes. N. Benharrat
Annoncée favorite pour sa première sortie, la Jeunesse de St Rémy s’est finalement contentée du point du match nul, sentence assez dure pour les Banlieusards oranais, qui méritaient nettement mieux eu égard à la physionomie de la rencontre, qui fut totalement à leur actif, grâce à une domination très évidente mais manquant d’efficacité à l’approche des bois adverses. La volonté de bien faire, assez remarquée des poulains de Sebbah, buttait sur une défense très renforcée de Sidi Ali et avec un gardien, comme Touil, dans un grand jour. On notera tout de même le ratage de Mahrouz, qui vit son tir lifté (23') heurter la transversale. La réplique des visiteurs s’est faite immédiatement par Nekrouf, qui tenta un tir. Mais, Guenanou s’interposa. Ce furent là les principaux actes de cette 1ère manche. De retour des vestiaires, la partie se transforma carrément en jeu d’attaque – défense entre une formation cherchant le but libérateur et une autre essayant de préserver le score de parité. La situation perdura jusqu’à la 84’, ou la JSEA réussira, par Bakhti, à tromper la vigilance du gardien Touil. La joie des Verts fut de courte durée car, à la 86’, Kadar, à la réception d’un corner, égalisa pour son équipe. Benkrama Kh.
LRF Oran – Régionale Une – 1ère journée La première manche du championnat version 2008-2009 a finalement tenu toutes ses promesses avec la confirmation de certains prétendants et la déception pour d’autres. Mais, la palme de cette 1ère journée revient incontestablement aux équipes de l’ASBN et du CRBH, qui ont réussi la belle opération, allant s’imposer, respectivement, sur le NRB Béthioua et l’IRB Sidi Lakhdar, deux exploits, qui leur permettront de prendre la tête du classement en compagnie du MB Sidi Chami, victorieux du nouveau promu le MCB Hadjadj, de l’ICS Tlemcen, lui aussi vainqueur du Nasr, et de l’Olympique d’Arzew, qui a triomphé du Chabab de Benbadis. Le derby de la wilaya d’Aïn Témouchent, entre le ZSAT et le CRBEA, s’est soldé par un score vierge de zéro partout. Le même résultat de parité a sanctionné le match IRBSMB – FCO et qui fait surtout l’affaire des visiteurs, qui ne demandaient pas tant pour entamer cet exercice. Au stade Fréha, la JSEA, autre sérieux candidat aux premiers rôles, a buté sur une coriace équipe de Sidi Ali, qui a su revenir sur ses bases avec un précieux point du match nul. Benkrama Kh.
Le wali de Mostaganem, Mme Zerhouni en l’occurrence, a procédé dans la matinée d’hier mercredi à l’installation des 4 nouveaux chef de daïra, à l’issue d’une cérémonie organisée au niveau de son cabinet.
Cette dernière a été marquée par la présence des responsables locaux, de tous les chefs de daïras et des directeurs de l’Exécutif de la wilaya. Il s’agit de MM. Megherbi Abdelkrim, Senouci Med El-Amine, Krater Amar et Kateb Med, installes respectivement, dans les daïras de Mostaganem, Hassi Mamèche, Aïn Tédelès, Aïn Nouissy et Sidi Ali. Ils remplacent MM. Sedjel Nadjib de Mostaganem qui part à Relizane, Cherfaoui Youcef de Hassi Mamèche qui s’en va à Djidiouïa (Relizane), Mekairi Med de Aïn Tédelès qui rejoindra El-Eulma (Sétif) et Bensaid de Aïn Nouissy qui viendra à Oued Tlélat.
A signale que la daïra de Sidi Ali était sans chef de daïra, depuis près de deux ans et qu’un administrateur détaché du cabinet du wali en assurait l’intérim. Parmi les nouveaux promus, on note M. Lahoual Boudali, nouveau chef de daïra de Youb (Saïda), après avoir été S/G de la daïra de Aïn Tédelès et M. Farsi El-Hadj nommé à la tête de la daïra de Abou El-Hassen (Chlef), après avoir été à la tête du service de comptabilité de la délégation de la Garde communale de Mostaganem.
Plus d’une centaine de fellahs maraîchers de la région de Aâchaâcha se sont retrouvés, lors d’une journée de vulgarisation animée par la chambre de l’agriculture et l’INPV. C’était à l’occasion de la Journée nationale de la vulgarisation agricole, dont la concrétisation aura été légèrement décalée en raison des fêtes de l’Aïd.
C’est donc au niveau du centre culturel de cette grande commune rurale de la région du Dahra que les maraîchers, spécialisés essentiellement dans la culture de la tomate, auront été regroupés pour écouter des interventions sur la lutte contre la mineuse de la tomate, connue sous le nom générique de « Tuta absoluta », dont l’apparition au niveau des serres de tomates avait provoqué des dégâts considérables sur cette culture. La première communication fut à l’actif de Abdelhalim Drias de l’INPV d’Alger qui aura axé sa conférence sur les actions menées par cet institut national ainsi que ses attributions dans la lutte contre les fléaux de l’agriculture.
L’intervention d’une longueur excessive ne se justifiait que parce qu’elle introduisait parfaitement la seconde conférence relative à la biologie de « Tuta absoluta », à la genèse de son apparition dans cette région et sur les moyens et les perspectives de lutte afin de contenir, à défaut d’éradiquer ce fléau ravageur. C’est Amel Ababsia, la responsable du service entomologie de l’INPV, qui parlera avec rigueur de ce nouveau parasite de la tomate dont l’apparition en Algérie est signalée pour la première fois durant le printemps 2008, précisément dans les cultures sous serres de la région de Aâchaâcha.
Les moyens et les perspectives de lutte
Parfaitement construite à l’aide de diagrammes et de photos fort expressifs, l’intervention suscitera l’admiration des présents qui ne manquèrent pas de poser de nombreuses questions, notamment celles relatives aux moyens de lutte tant chimiques, par le recours aux insecticides, que biologiques, soit par le recours à un entomophage dont l’importation depuis l’Espagne serait imminente. Intervenant lors du débat, le représentant du recteur de l’université de Mostaganem rappellera que ce sont les chercheurs du cru qui ont permis l’identification de ce parasite.
Il soulignera également la disponibilité totale de l’université afin d’accompagner les fellahs dans leur quête d’une agriculture durable. A l’intention des cadres de l’INPV, il dira la disponibilité de l’instance universitaire à soutenir les actions tendant vers une meilleure maîtrise des techniques de luttes intégrées, qui peuvent faire l’objet d’un soutien multiforme de la part des chercheurs et des étudiants. Pour les fellahs, très sceptiques au demeurant, l’introduction de la lutte biologique ne semble pas faire beaucoup d’adeptes.
Pour preuve, cet engouement inqualifiable sur la copie de la liste des insecticides remise par les fonctionnaires de l’INPV. Ceux-là mêmes qui venaient vanter les mérites d’un entomophage dont le lâchage dans la région sera financé par l’Etat. Car tous les présents ne retiendront de ce parasite que sa voracité extrême et ses ruineuses conséquences sur leurs champs de tomates.
رغم تجريم الحكومة للهجرة السرية وفرض عقوبات صارمة بما فيها السجن على الشباب الجزائري من ''الحراقة''، إلا أن ذلك لم يغير من الوضعية شيئا، بحيث تكشف أخبارها أن فرق المهاجرين السريين من الشباب متواصلة عبر مختلف الشواطئ الوطنية وبأعداد كبيرة وكأن لسان حالهم يقول ''ينعل من يبقى الأخير''. وعندما يصبح القانون عديم الجدوى في ردع المخالفين ومنع المحاولين في التعدي على القانون مع سبق الإصرار والترصد فهذا يعني أن هناك خللا في مكان ما. فكيف يقدم شباب على المغامرة وهم يعلمون مسبقا أن الفشل معناه سين وجيم في مراكز الشرطة و''تبهديل'' في قاعات المحاكم ونهايتها حكم بالسجن في أخف الحالات؟ قد يتهم البعض هؤلاء الشباب بـ''الجنون'' وقد يرميهم البعض الآخر بأنهم ''كاميكاز'' لا وقت للتفكير لديهم أو أنهم من عديمي التفكير أصلا. وقد يقول آخرون إن القانون الذي عدلته الحكومة لا يفرض صرامة بما فيه الكفاية بالشكل الذي يردع هؤلاء المغامرين وما إلى ذلك من التبريرات التي تسوق للهروب من مواجهة الحقيقة حول الأسباب الكامنة وراء رمي الشباب لنفسه في البحر. الحكومة اختارت الطريق السهل في معالجة المشكلة، وهي القمع ولا شيء غيره، فأمرت بحبس كل من يخرج من الجزائر بدون وثائق وعبر البوابات الرسمية للحدود. لكن هذه الآلية العقابية لم يكتب لها النجاح حتى بعدما كان البترول يتجاوز 140 دولار للبرميل ويستحيل أن تنجح لأن كل المؤشرات تقول إن الطفرة النفطية هي في مراحلها الأخيرة جراء الأزمة العالمية ولن يوجد بعدها ما يمكن أن نقنع به هؤلاء بالبقاء وطمأنتهم باحتمال تحسن الأحوال. ومن هذه الزاوية بالذات سمعت حرافا فشل مرارا في العبور إلى الضفة الأخرى من المتوسط، يقول إنه لن يتوقف عن تكرار المحاولة حتى ولو بلغ من العمر الثمانين وحجته في ذلك، كما قال، إن ''الجزائر قسموها في بعضاهم''، بمن فيهم النواب الذين يقبضون أجورا تكفي لتشغيل 30 حراقا، ولم يبق لأبناء الشعب سوى ركب الموج أو انتظار قبضة عزرائيل للروح البشرية. وهذه ليست وجهة نظر معزولة لشباب منحط المعنويات أو لشخص أدارت له الدنيا ظهرها ولكنها تكاد تكون تفكيرا عاما دائرا في البلد ويزداد في التوسع من يوم لآخر.
Quelque 280 enseignants du secondaire ont tenu, hier dès 9h30, un sit-in devant le siège de la direction de l'Education de la wilaya de Mostaganem. Un mouvement de grève est observé par ces enseignants depuis la rentrée des classes.
Deux membres du CNAPEST devaient être reçus au cours de la matinée par la directeur de l'Education. Le bureau du CNAPEST, au cours d'une réunion tenue dimanche, a décidé à l'unanimité la poursuite de la grève jusqu'à jeudi prochain. Une réunion a eu lieu vendredi passé entre les contestataires et l'administration au siège de la direction de l'Education. Le premier responsable du secteur et les grévistes ont convenu de la mise en place de 3 commissions mixtes (5 membres de la direction de l'Education et 4 du CNAPEST) qui doivent se pencher sur les points de discorde à savoir: le mouvement des enseignants et le partenariat.
Achacha. Un mort dans une explosion de gaz Un homme âgé de 43 ans est mort dans l’après-midi de dimanche dernier, à la suite d’une explosion de gaz survenue à l’intérieur de son domicile sis au douar Bagaïlia distant de 3 kilomètres du chef-lieu de Achacha. Selon notre source, la victime se trouvait seule chez elle quand, soudainement, la bouteille de gaz explosa, le blessant mortellement. La dépouille de la victime a été transportée à la morgue de l’hôpital de Sidi Ali alors qu’une enquête a été ouverte par les éléments de la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de ce drame. Tarik El-Yahyaoui
La nouvelle année universitaire vient d’être marquée par plusieurs mots d’ordre de la part des organisations estudiantines quant à la mauvaise gestion du dossier des inscriptions, ainsi que le transfert des étudiants.
Pour l’Union générale des étudiants libres (UGEL), l’université de Mostaganem accueillera cette année pas moins de 32 000 étudiants dont plus de 4 200 nouveaux inscrits affichent un réel mécontentement vis-à-vis du système d’orientation qui, dit-on, est passé à côté des fiches de vœux des inscrits. Ils sont 60 % de nouveaux inscrits, selon le communiqué de l’ UGEL, à avoir décrié cette situation. Le volet social de cette rentrée a fait objet d’un constat concernant l’état de dégradation de nombre de cités dont les travaux d’aménagement laissent à désirer et affichent un réel retard. La situation du transport universitaire doit être revu de fond en comble, selon l’UGEL. Par Larbi Benzidane
La wilaya est bien lotie en matièred’infrastructures éducative et universitaire. Le
chef-lieu de wilaya n’a cessé d’entreprendre des projets de construction d’édifices publics dans le cadre du développement local. Ainsi donc, cinq
lycées qui sont en voie d’achèvement dans les communes de Stidia, Mazagran, Mansoura, Oued El Kheir et Ouled Boughalem, ouvriront
au cours du premier trimestre 2009.
Ils offrent chacun une capacité de 800 places pédagogiques avec un restaurant pour
200 demi pensionnaires. La réalisation de deux autres lycées et unautre à Achâacha, sera lancée prochainement,pour une enveloppe financière allouée et estimée à 15
milliards de centimes apprend-on de bonne source. A Stidia, un CEM du type B5 estprévu pour accueillir, durant cemois d’octobre, les élèves desdouars environnement.
Il en est de même pour les collèges de la cité Kharouba (Mostaganem),Ouled Bachir, Kheïreddine et Sayada et Belhadri (Aïn Tédlès seront également ouverts
prochainement. Les établissements du palier
moyen d’El Haciane de type B5 a été livrés, les élèves de cette région
n’ont plus besoin de transport pour se rendre, comme auparavant,
jusqu’aux anciens CEM de Béni Yahi situé à environ sept kilomètres. Les localités de Mesra, Mazagran, douar Djedid, Achaâcha, Oued El Kheir, douar Guerrar- cha Sour auront aussi, chacune
son CEM, prochainement opérationnels.
Les CEM Saf Saf, Sidi Lakhdar, Ouréah, Kheïreddine de types confondus B4, B5, B7 et B6, le premier
CEM est en cours de réalisation, avec un taux d’avancement
des travaux ayant atteint de 10%. Le reste des collèges attendentl’ordre de service pour les entreprises
retenues.S’agissant de l’extension des classes,
90 divisions ont été octroyées aux différents collèges pour accueillir
les élèves de la 5ème année primaire qui ont regagné la
7ème année dans les différents collèges repartis à travers toute la
wilaya. Les classes dites de bonification seront en octobre 2008.
Le travail se fait sans répit et ce pour aérer les classes et en faire
avec la surcharge. Le cycle primaire sera enrichi, quant à lui, de 42
nouvelles classes dont un groupe scolaire de six classes, de type B1,
à la cité balnéaire d’Ouréah. Les travaux seront lancés dès que
les entreprises auront reçu d’ordre de service officiel. 03 autres
groupes scolaires dont un à la Salamandre où le taux d’avancement
des travaux est estimé à 80%. Un autre est en construction dans la cité OAIC, où le taux d’avancement
des travaux a atteint 80%, tandis que celui de la cité CIA est
en voie d’achèvement. En plus un projet de construction d’un groupe
scolaire de six classes a été octroyé pour Hassi Mamèche pour
une enveloppe financière de six milliards de centimes. Concernant
les infrastructures universitaires, on signale que Mostaganem sera
dotée d’une faculté de médecine d’une capacité de 4.000 places
pédagogiques et une cité de 1.000 lits. Ce programme est en cours. 4.400 autres places pédagogiques
sont déjà prêtes, et 600 autres le seront vers la fin de l’année au
cours. Il est prévu, par ailleurs, la réalisation de 500 places pédagogiques,
avec une résidence de 4.000 lits, apprend auprès de la DLEP. La
construction d’une résidence universitaire de 2000 lits est déjà achevée à la cité Chemouma, et les
2.000 autres lits sont en voie d’achèvement à Kharouba, avec 2.000 autres qui seront disponibles
vers la fin de l’année en cours, note-t-on.
On peut dire que Mostaganem a connu évolution dans les différents secteurs, notamment dans celui de l’enseignement supérieur étant donné que presque toutes sciences y sont enseignées.