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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 00:00

Plus de 5 000 participants algériens et étrangers sont attendus du 24 au 31 juillet, à Mostaganem, à l’occasion du centenaire de la Tariqa soufie alawiya.
Ce centenaire sera célébré sous le slogan «Une spiritualité
vivante, pour un projet humain solidaire et respectueux de la planète, face aux enjeux de demain», ont indiqué les organisateurs. L’objectif est notamment de «revivifier un riche patrimoine spirituel et culturel», et de créer «une synergie entre des visions qui se nourrissent les unes des autres afin de proposer de vraies solutions aux problèmes du 21ème siècle», a-t-on souligné. Un congrès international sous le thème générique «Semer l’espérance» .est également prévu pour ce centenaire durant lequel scientifiques, experts, dignitaires religieux ou spirituels échangeront leurs points de vue pour «aboutir à des synthèses concrètes menant à des actions responsables et durables en commençant par le local pour aller vers le plus global», a-t-on expliqué.

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 00:00

par Djamel Belaïfa
Victime d'un assassinat en Allemagne le 1er juillet dernier, Marwa Sherbini, une Egyptienne de 33 ans, a été inhumée à Alexandrie, lundi dernier, dans des obsèques émouvantes.

Les autorités locales d'Alexandrie ont décidé de débaptiser une des artères de la ville au nom de la «martyre du Hidjab», comme l'a surnommée la presse égyptienne. Aux côtés des centaines d'Egyptiens venus jeter un dernier regard sur la victime, des hautes autorités de l'Etat, notamment des ministres ont participé aux obsèques. Dans une déclaration à la chaîne de télévision «El Arabiya», l'ambassadeur d'Egypte en Allemagne a indiqué que les résultats de l'enquête seront connus incessamment, affirmant que les autorités égyptiennes tiennent à ce que le meurtrier soit condamné à perpétuité. De son côté, Saïd Mohamed Tantaoui, le cheikh d'El Azhar, dans une déclaration à l'agence Chark El Awsat, a qualifié l'assassin de Marwa de «terroriste» qui mérite la peine capitale, précisant au passage que cet acte «isolé» ne reflète en aucun cas l'image de l'Europe envers l'islam. Selon des hauts responsables égyptiens, l'enquête se poursuit toujours pour faire toute la lumière sur ce crime odieux. Les autorités égyptiennes ont déjà reçu les condoléances de leurs pairs allemands qui ont dénoncé cet acte ignoble et qui leur ont affirmé que le ministère public a retenu, officiellement, contre l'accusé le chef d'inculpation «d'homicide volontaire». Hier, le procureur général égyptien Abdelmadjid Mahmoud a insisté auprès du ministère des Affaires étrangères, pour permettre aux enquêteurs égyptiens de participer aux enquêtes aux côtés de leurs homologues allemands.

Du côté de la famille de la victime, Tarek Sherbini, le frère de Marwa, a affirmé que sa soeur a été victime d'un acte raciste, et qu'elle a été assassinée pour la seule raison qu'elle portait le voile. «Nous demandons à ce que justice soit faite. Ma soeur n'était pas une intégriste, mais simplement une musulmane pratiquante, respectueuse de sa religion», dira Tarek. Pour sa part, la mère de la victime a rappelé, dans une déclaration à un journal égyptien, que sa fille jouissait du respect de tous ses voisins lorsqu'elle vivait à Berlin. «C'est lorsqu'elle a déménagé à Dresde qu'elle s'est souvent plainte de certains comportements racistes et xénophobes de la part d'habitants de cette ville. Lors de son dernier appel téléphonique, elle m'a confié qu'elle avait peur de toute cette affaire», affirme la mère de la victime. Le mari de Marwa, Ali Akaz, gravement blessé, a pour sa part rappelé les circonstances de la mort de son épouse, se disant consterné et très en colère. «Après un coma de trois jours, j'ai appris que ma femme est décédée. Marwa est morte et je n'ai pas pu la secourir», dira Ali Akaz en pleurs. Le premier juillet dernier, la jeune maman avait été assassinée en plein tribunal, par un allemand d'origine russe. L'histoire a commencé l'année dernière, Marwa est insultée et agressée par un homme alors qu'elle jouait avec son bébé de 2 ans dans un terrain de jeu. L'homme lui a lancé les injures de «terroriste», «islamiste» et a tenté à plusieurs reprises de lui retirer son voile.

Après qu'une plainte eut été déposée, l'homme fut condamné à une amende de 780 euros. La peine ayant été jugée trop légère, un appel fut déposé et c'est à la cour d'appel de Dresde que l'affaire devait être rejugée mercredi dernier, le 1er juillet. Ali, le mari de Marwa, et leur fils étaient aussi présents dans le tribunal. C'est là que tout a dégénéré, l'accusé s'est précipité sur Marwa et lui a assené 18 coups de couteau en moins de 30 secondes. Son mari a essayé de s'interposer pour protéger sa femme, mais fut poignardé lui aussi. Deux policiers accourent en urgence sur les lieux de l'agression, mais ont pris son époux pour l'agresseur, et lui ont tiré une balle dans la jambe. Après la confusion, l'agresseur fut maîtrisé. Mais Marwa est morte de ses blessures dans la cour du tribunal. Elle était enceinte au moment de sa mort. L'enfant d'Ali et Marwa fut aussi blessé.

De leur côté, les responsables du centre islamique allemand et le centre juif ont dénoncé ce crime, qualifié d'acte raciste et xénophobe.

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 00:00

Elle a besoin d'une prise en charge médicale en urgence. Qui sauvera Meriem El-Betoul?
Le père de Meriem El-Betoul ne demande pas de l’argent en espèces sonnantes et trébuchantes. Une prise en charge médicale serait plutôt la bienvenue.
Cette fille aurait pue être comme toutes les autres enfants de son âge, en train de jouer, croquant la vie à plein dents. Or, vivant dans de conditions de pauvreté extrêmement misérable, Meriem El-Betoul -âgée à peine de trois ans et demi- qui réside avec ses parents dans une maisonnette qui n’est autre qu’un taudis sis au bidonville de Belvédère, sur les hauteurs du siège de la wilaya de Mostaganem, a été atteinte d’un vicieux cancer qui a eu carrément raison de organe rénal. Mais amputée de son rein droit, Meriem qui est encore hospitalisée à Oran a encore besoin d’autres examens, d’autres analyses et d’autres radiologies que ses parents n’ont pas les moyens d’honorer.
Elle a été opérée au CHU d’Oran le 1er avril de l’année en cours. Outre l’ablation de son rein atteint, les médecins ont aussi procédé à lui pratiquer une excision d’un cor de 7 cm. Mais ces opérations ne sont pas les seules neurochirurgies qu’elle ait eu à subir. Il lui faut, normalement durant la semaine en cours, un scanner que ni l’hôpital de Mostaganem ni le CHUO n’assurent, alors que cette radiologie relève des soins de la santé publique. Mais cela est une autre paire de manches qui n’est pas de sujet pour cet article en appel à des âmes charitables.
Son père qui est un travailleur journalier pour ne pas dire chômeur, n’arrive plus à faire face. « Je suis dans l’obligation d’être au chevet de ma fille, vaquant à gauche et à droite pour lui fournir tel diagnostic ou tel contrôle », assure-t-il. Ainsi se voit-il dans l’obligation de frapper à la porte de la DAS pour l’aider à payer un scanner qu’il doit pratiquer sur Meriem chez le privé. Mais la direction de l’action sociale ne semble pas faire vraiement dans le social. « L’on m’a demandé de ramener une tonne de paperasse alors que le sort de ma fille est un cas plus qu’urgent », dit-il. Idem au niveau de la direction des affaires religieuses, qui lui a demandé de prendre attache sur place avec sa tutelle à Alger, alors que rien que le dossier médical de la malade parle de lui-même.
« Je sais qu’il y ait plein d’énergumènes qui font des ordonnances un alibi pour s’adonner à la mendicité. Ce n’est pas mon cas. Moi, je ne veux pas d’argent de toute façon. Je préfère plutôt une aide directe de la part de bienfaiteurs prêts à assurer une prise en charge de ma fille pour qu’elle recouvre sa santé », ajoute le père qui ne détient pas de téléphone portable. Pour toute aide, le journal fera suivre et le bon Dieu vous le rendra.

B. Abderrahmane
Mercredi 08 Juillet 2009

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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 00:00

Dans la majorité des pays européens notamment la France, l'activité des agences de recherches privées sur la sécurité intérieure du pays et l'activité de recherche privée est juridiquement encadrée, considérée comme profession libérale dont l'exercice est soumis à un agrément et une justification professionnelle considérée aussi comme fonction libérale, à l'image d'avocat, de médecin, de commissaire-priseur ou de notaire. Qu'en est-il en Algérie ? Selon M. Aber Ghali, président d'association de détectives privés de Mostaganem, disposant d'un diplôme de fin d'études des méthodes d'investigation, décerné par l'école internationale de détective expert à Liège, en Belgique, «Dans notre pays, nous sommes face à un vide juridique en la matière. Aucun texte ne régit l'activité de détective privé. D'autant plus que cette activité peut apporter un plus dans les investigations et les recherches des autres corps de sécurité». Selon toujours notre interlocuteur, «un cabinet de détective privé de recherches et d'investigations pourra intervenir éventuellement auprès des cabinets d'assurance, des entreprises, de la justice, entre autres, principalement pour les grandes affaires tels les détournements de deniers publics, fraudes et évasions fiscales et aussi la commercialisation de stupéfiants». Le président d'association de détectives privés dont le siège est à Mostaganem, unique en Algérie, a souligné aussi que plusieurs autres personnes, notamment des anciens militaires, gendarmes et policiers voulant exercer cette activité ont maintes fois sollicité les plus hautes autorités du pays pour leur délivrer un agrément mais en vain. Plusieurs d'entre eux nous ont fait savoir que la création du corps de détectives experts est plus que nécessaire. Ces derniers comptent entreprendre des démarches auprès des députés et des sénateurs pour soumettre leurs doléances devant l'Assemblée
populaire nationale pour pouvoir introduire un projet de loi pour la création du métier de détective privé et expert.
par Ayache Djamel

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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 00:00

Mostaganem: Deux nouveaux centres de formation professionnelle

par Ayache Djamel

Le secteur de la formation professionnelle vient de s'enrichir, avec la réception, au mois de septembre prochain, de deux nouveaux centres d'une capacité pédagogique de 300 places chacun implantés dans les localités de Fornaka et Mazagran.

Par ailleurs, les capacités pédagogiques dans le secteur sont passées de 2.525 places en 2000 à 3.575 en 2008 et atteindront 4.425 au cours de l'année 2009 et seront encadrées par 176 enseignants spécialisés dans la formation professionnelle. Concernant les jeunes sans niveau scolaire, les responsables du secteur ont mis en place un dispositif en direction de cette catégorie avec l'organisation des journées de sensibilisation à travers toutes les communes de la wilaya. 1.020 postes pédagogiques à travers la formation par apprentissage et 870 postes en formation professionnelle ont été réservés aux jeunes sans niveau scolaire, au cours de l'année 2009, dans plusieurs spécialités, entre autres la maçonnerie, la soudure, la menuiserie et l'agriculture. Par ailleurs et en collaboration avec les P/APC, la D.F. de la wilaya a mis en place des annexes de la formation professionnelle au niveau du milieu rural, principalement dans la zone du Dahra, en faveur de la fille rurale. 155 sont déjà en formation dans les localités de Ouled Bouziane, Nekmaria et Béni Yahi dans différentes spécialités, entre autres la coiffure pour dames, l'habit traditionnel et la couture.

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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 00:00

Le coup d’envoi de la 16e édition du festival national du théâtre scolaire a été donné avant-hier en fin d’après-midi à la maison de la culture Ould Abderrahmane Kaki de Mostaganem. A cette édition organisée à l’initiative de la direction de l’éducation de la wilaya et placée sous le signe “Non à l’exploitation de l’enfant au travail”, prennent part 777 participants représentant 27 wilayas du pays. Elle a pour objectifs, selon les organisateurs, de créer un cadre d’échanges entre élèves dans les domaines de la connaissance et des expériences artistiques. Cette édition, qui s’étalera jusqu’au 8 juillet, a été marquée par la participation de la wilaya de Souk-Ahras pour la première fois, a-t-on souligne de mêmes sources

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6 juillet 2009 1 06 /07 /juillet /2009 00:00

La population mostaganémoise a été particulièrement affligée, en apprenant encore une fois, que deux corps de jeunes Harraga ont été trouvés, vendredi dernier, alors qu’ils flottaient sans vie au large de la côte ouest. Selon des sources dignes de foi, on apprend que les corps de ces deux jeunes ont été repêchés par les hommes de la protection civile, à quelques milles nautiques seulement de la côte ouest. L’âge des deux victimes ne dépasserait pas les 20 ans, souligne notre source qui précise que les deux dépouilles ont été transférées à la morgue de l’hôpital de Mostaganem à des fins d’autopsie. Les deux victimes faisaient probablement partie des derniers groupes ayant embarqué récemment pour les côtes ibériques, si l’on se fie à l’état des corps, qui n’ont pas eu le temps de se décomposer. Entre-temps, une enquête a été ouverte par les services de sécurité territorialement compétents, pour tenter de les identifier et prévenir leurs familles le cas échéant. A signaler que nombreux furent les jeunes aventuriers à être portés sur la liste des disparus depuis l’année 2007, où figurent encore une trentaine de personnes recherchées depuis ce temps-là. D’un autre côté, les gardes-côtes de la wilaya de Mostaganem ont intercepté en 2008, pas moins de 45 candidats à l’émigration clandestine, âgés de 16 à 35 ans et originaires des wilayas respectives de Mostaganem, Chlef, Rélizane, Oran et enfin Tiaret, alors qu’ils avaient pris le cap vers les côtes andalouses. Dans le même sillage, une dizaine de canots pneumatiques équipés d’un voire deux moteurs, ont été saisis, au même titre que les vivres et les réserves de carburant qu’ils transportaient, pour assurer la réussite de leurs traversées, rappelle-t-on.
LAKHDAR HAGANI CORRESPONDANT DE LA VOIX

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 00:00

Vendredi dernier à l’aube, les automobilistes de passage sur la RN11 ont eu la désagréable surprise de découvrir le corps d’un jeune paraissant âgé de 25 ans et avoir succombé à ses multiples blessures. Il gisait à quelques mètres d’un autre homme, la trentaine environ et qui se plaignait des blessures reçues au niveau des membres inférieurs et du thorax. Le drame est arrivé à quelque 7km à l’est de la ville de Sidi-Lakhdar, sur la route menant à Ténès. Les deux hommes, qui s’avèrent natifs de la commune de Sidi Lakhdar, ont été évacués vers l’hôpital de Sidi-Ali. Les services de sécurité territorialement compétents ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce drame sur lequel les habitants de cette commune se perdent en hypothèses.
Lakhdar Hagani

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 00:00

Carrefour artistique, le Panaf-2009 rassemblera 49 pays africains ainsi que les Etats-Unis et le Brésil comme invités d’honneur. Et les autorités algériennes n’ont pas lésiné sur les moyens pour réussir ce rendez-vous, mettant en oeuvre des moyens considérables pour en faire une réussite. Le coup d’envoi sera donné aujourd’hui, jour de la commémoration de la fête de l’indépendance, à la Coupole du stade du 5 juillet à Alger qui vibrera à travers le méga-concert conçu par le chorégraphe algérien Kamel Ouali. Hier, une parade populaire avec des groupes folkloriques a sillonné les rues de la capitale. Des porte-chars rehaussés de maquettes symbolisant chaque pays africain, plus Brésil et Etats-Unis, ont défilé de Tafourah (centre-ville) jusqu’au quartier populaire de Bab El-Oued. «Voici un événement qui devrait permettre à l’Algérie de sortir de son relatif isolement culturel», fait-on remarquer. Littérature, arts visuels, chorégraphie, cinéma, musique, théâtre, et autres disciplines culturelles, débats, colloques sont au programme de cette manifestation colossale, rassemblant quelque 8.000 artistes de 49 pays africains ainsi que des Etats- Unis et du Brésil. Au moins 20.000 artistes locaux feront également la fête à Alger et dans d’autres villes du pays, a déclaré Zouaoui Benhamadi, du comité exécutif d’organisation. Des acteurs comme Isabelle Adjani, Française de père algérien, et des grands noms de la chanson africaine dont les Algériens Cheb Khaled et Warda El Djazaïria, le sénégalais Youssou Ndour, Salif Keïta, Alpha Blondy, Mory Konté, stars de la musique africaine, prendront part au festival. Devraient prendre également part à cet important rendez-vous, malgré les couacs organisationnels, environ 1500 journalistes accrédités. La mobilisation en Algérie, pour la réussite de la manifestation, est à son paroxysme. Une enveloppe de 600 milliards de centimes dégagée en grande partie par les pouvoirs publics y est destinée, sans compter la participation d’opérateurs privés et étatiques par le biais du sponsoring. Et les plus grandes infrastructures hôtelières d’Alger, comme El Aurassi, Hilton, Saint George, pour ne citer que ceux-là, sont mobilisées pour cette occasion, afin d’accueillir les invités de marques. Volet sécuritaire, les deux semaines de vie de cet important rendezvous verront un dispositif des plus serrés avec la mobilisation de quelque 22.000 policiers. Placé par l’Union africaine sous le thème de «la renaissance de la culture africaine», le festival compte marquer «les esprits et les imaginaires (...) pour montrer et dire au monde que l’Afrique est de retour”, note la ministre algérienne de la Culture, Khalida Toumi. Avec la mise sur pied d’une rencontre de cette ampleur, l’Algérie compte prouver au monde entier sa capacité à organiser de grands évènements. “Nous attendons de ce rassemblement l’éclosion de nouveaux talents dans la musique, les arts et les autres activités programmées. Nous attendons également une sorte de radioscopie de l’état général de la culture africaine”, estime la ministre. Dans le volet littérature, plus de 200 titres de grands auteurs africains, bande dessinée, arts visuels, musique, chorégraphie, danse, théâtre, cinéma et patrimoine, seront au rendez-vous. Des conférences notamment sur la colonisation et le combat pour l’indépendance, des colloques sur la littérature africaine sont également au programme du festival. “Le Panaf ce n’est pas seulement de la musique, mais aussi réfléchir sur l’avenir de notre continent et faire un état des lieux de la culture en Afrique”, a dit M. Benhamadi. Le premier festival panafricain de 1969, rappelle-t-on, était placé sous le signe de la décolonisation, sept ans après l’indépendance de l’Algérie. De nombreux pays africains (Namibie, Angola, Guinée Bissau) étaient encore colonisés et l’Afrique du Sud était dominée par le régime de l’apartheid.
ABED TILIOUA CORRESPONDANT DE LA VOIX

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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 00:00

Une embarcation chargée de huit (8) Harraga a quitté dernièrement le littoral à partir du lieudit «Seddaouïa », dans la commune de Sidi- Lakhdar, à l’est de Mostaganem, et semblent être arrivés à bon port à Almeria. Selon nos informations, ces 8 jeunes aventuriers sont originaires des communes de Sidi-Lakhdar et Sidi-Ali, certains parmi eux ayant même appelé leurs parents et proches pour les rassurer, dans la journée de mercredi dernier, à partir d’Almeria, une station balnéaire de la côte andalouse. Les services de sécurité ont ouvert une enquête sur cette nouvelle affaire d’émigration clandestine. Par ailleurs, on apprend de source sûre, qu’un poste de contrôle sera désormais implanté pour contrecarrer ce genre de phénomène, au niveau de la plage de Kef Lasfar, et cela dans les tout prochains jours. Le point d’observation qui est situé à quelque 10km à l’ouest du village de Sidi-Lakhdar, passe pour couvrir le coin privilégié par les Harraga en quête d’embarquement. Et pour cause, pas moins de 150 jeunes provenant de différentes villes de l’Ouest, ont tenté et souvent réussi la traversée à partir de Kef Lasfar.
LAKHDAR HAGANI CORRESPONDANT DE LA VOIX

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