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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 09:03
dilem-copie-1.jpg
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15 mars 2010 1 15 /03 /mars /2010 20:40
Photo20085.jpgLa 18ème journée a été favorable au leader Belhadri qui, grâce à sa difficile victoire obtenue devant Bouguirat, creuse l’écart à 4 points devant l’UG Sidi Ali contraint au nul par une coriace équipe de Sayada qui n’a pas encore abdiqué pour le titre. En s’imposant devant Sirat, El Haciane se place en 4ème position, devançant Krichiche qui a été battu sur son terrain par le MC Mostaganem. Oued El Kheïr est allé à Tounin battre O/Hamou alors que le duel des mal classés a été à l’avantage de Djebabra qui est venu à bout de Louza. ARB Kheïreddine et FCB Achâacha : repos.
Guendouz Mohamed

Résultats
UPS Belhadri ............ 1 ........ JSM Bouguirat ....... 0
UG Sidi Ali ................ 1 ........ CRB Sayada ............ 1
CR Krichiche ............ 2 ........ MC Mostaganem .... 3
IR O/Hamou ............. 1 ........ IRBOE Kheïr ........... 2
IRBE Haciane ........... 3 ........ NRB Sirat ................ 2
JSOB Djebabra ......... 2 ........ JS Louza ................. 1
ARBK et le FCBA exempts

N° Club Pts J
01 UPSB 38 16
02 UGSA 34 15
03 ARBK 31 15
04 IRBEH 28 16
05 CRBS 26 15
- CRK 26 16
07 NRBS 25 16
08 JSMB 23 15
09 IRBOEK 21 16
10 MCM 18 15
11 JSOBD 12 16
12 FCBA 08 15
13 JSL 02 16
14 IROH 01 16
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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 18:53
Un jeune lance le premier site d’assistance scolaire


 Un jeune Oranais, Adnane Hamdi, vient de lancer le premier site algérien d’assistance scolaire, Virtual School. “Inédit en Algérie, ce portail est dédié exclusivement au soutien scolaire. Nous sommes fiers d’avoir réussi en si peu de temps un challenge pareil”, déclare le concepteur de Virtual School. Il faut savoir que cette idée a été concrétisée grâce à l’apport de l’Ansej. Désormais, les parents d’élèves peuvent soutenir la scolarité de leurs enfants, à travers Internet, moyennant un abonnement de 1 500 DA le mois.
Sur le site : http://www.virtualschool-dz.com/
, de nombreux professeurs réputés de l’Oranie présentent les cours
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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 18:32
Complement de L'article par le frère Ali, : En 1870 ce commandement, désigné sous le nom de « Khalifa de la Mina », englobait encore les communes mixtes actuelles de Cassaigne, Renault, Ammi-Moussa et l’Hillil.


Extrait du commentaire:

On passe bien sous silence le fait "historique " que c'est ce même grand ami de la france qui a servi de guide zélé aux troupes du sanguinaire nabot "Pélissier" dans le gazage des mille Dahranis de Negmaria le 17 juin 1845 .l'Hitler de la "conquête" avait son Pétain qui s'est illustré , en Algérie , par ses crimes contre l'humanité un sièecle avant ses illustres emules.
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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 15:53
SI MOHAMMED BEN ABDALLAH BEN OUALI OULD SIDI EL-ARIBI.

   Si Mohammed ben Abdallah ben Ouali Ould Sidi El-Aribi, ancien khalifa de la Mina, grand offi cier de la Légion d’honneur, a joué un rôle relativement considérable dans toute la région ouest de l’Algérie, où il était fort connu.

   Il appartient à la branche aînée de la famille maraboutique des Oulad Sidi ben Abdallah, dont il était le chef incontesté.

   Les Oulad Sidi bou Abdallah ont leur principal établissement dans le douar de Taghria (commune mixte de Renault). Ils comptent parmi leurs « serviteurs » religieux les Mehal, les Oulad El-Abbès, et les Oulad Khouidem.

   Au moment de la conquête, le chef des Oulad Sidi bou Abdallah était El-Hadj Mohammed Ould Sidi El-Aribi, oncle du khalifa défunt. L’émir Abd-el-Kader, dans sa lutte contre nous, crut d’abord pouvoir compter sur lui et lui montra beaucoup d’amitié. Puis, le soupçonnant de vouloir faire sa soumission particulière, il le  fit venir à Mascara et exécuter comme traître. En même temps, il internait sa famille sur les frontières du Maroc, dans le voisinage de M’sirda. Le maréchal Bugeaud mit fi n peu après à cette captivité.

   Le jeune Mohammed ben Abdallah, âgé lors de 16 ans, succéda à son oncle dans le commandement de la famille. Il montra constamment la plus grande fidélité à l’égard de la France, et prit part à la répression de toutes les insurrections qui se sont produites dans la province d’Oran jusques et y compris celle des Flitta en 1864. Il a beaucoup contribué à affermir la domination française dans cette partie importante de l’Algérie.

   Dès 1842 l’autorité française lui avait confié un commandement territorial qui fut souvent remanié, et qui un instant comprenait en entier trois arrondissements actuels (Mostaganem, Orléansville et Milianah). En 1870 ce commandement, désigné sous le nom de « Khalifa de la Mina », englobait encore les communes mixtes actuelles de Cassaigne, Renault, Ammi-Moussa et l’Hillil.

    A partir de 1871, la constitution de ces diverses communes mixtes restreignit peu à peu son commandement, qui disparut complètement en 1879. L’ex-khalifa n’en continua pas moins àmontrer à l’égard de la France le dévouement le plus complet, et à entretenir, soit avec les fonctionnaires publics, soit avec les principales notabilités européennes, des relations entièrement cordiales.

   De son côté, le gouvernement n’oublia pas les services rendus et, pour obéir à la situation qui lui était faite par le nouvel ordre de choses, il lui avait alloué un subside annuel ‘en rapport avec la haute situation qu’il avait occupée. Si El-Aribi a en outre, obtenu successivement tous les grades de la Légion d’honneur, jusqu’à celui de grand of ficier, dont il était titulaire depuis 1863. Enfin, il avait été choisi par le gouverneur général pour représenter la population indigène au sein du Conseil général du département d’Oran, comme assesseur musulman, fonctions qu’il a remplies jusqu’à sa mort survenue le 5 juillet 1884, à l’âge de 70 ans.

Documents officiels.
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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 09:02
Face aux promesses non tenues depuis novembre dernier par le Département des ressources halieutiques, relevant de l'université de «Benbadis» ex-»ITA», ayant trait à la précision de l'option sur le libellé du diplôme qui doit être remis à la promotion de la 5ème année sortante d'ingéniorat, le passif du libellé du diplôme rencontré par les promotions passées ayant rencontré différents problèmes auprès des organismes employeurs, notamment la fonction publique, et auprès des directions étatiques du fait que l'option du diplôme n'est pas mentionnée.

 Les étudiants animés par le souci de régler ce différend ont empêché en cette fin de semaine le déroulement de ces délibérations de fin de cycle, les étudiants soucieux que le problème de l'option restera toujours en suspens si les délibérations seront finalisées ont vivement protesté.

 Selon des étudiants contactés, «le diplôme qui nous sera remis devra comporter» ingénieur d'Etat en sciences de la mer, option : ressources halieutiques pour pouvoir éventuellement bénéficier de postes de travail dans différents secteurs. Les étudiants, soucieux de leur avenir professionnel engagé dans des études spécifiques, ont pris acte des engagements tenus par l'administration afin de combler le vide de l'option et régler ce différend définitivement et dans les meilleurs délais, surtout pour la promotion sortante en juin 2010.

par Ayache Djamel

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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 08:59
Les citoyens ne semblent pas prêter attention en ce qui concerne la conformité des biens immobiliers relatif à l'application du décret exécutif n°09/154 du 04 mai 2009. Rares sont les personnes qui se sont rapprochées des services concernés quant à la constitution des dossiers pour se mettre en conformité avec les normes urbanistique et leur plan, relèvent des membres de la commission de la daïra de Sidi Lakhdar dans la wilaya de Mostaganem. Pourtant, ils sont nombreux les habitants concernés par cette opération, indique-t-on. Dans cette optique, la commission sus évoquée a pris l'initiative de faire du porte à porte afin de sensibiliser les habitants et les inciter se rendre au niveau du bureau technique mis en place à cet égard. La campagne ne prendra fin que vers le début du mois d'avril, conclut notre source.

par H. B.

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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 09:36
L'unité commerciale de «Sodmac» (société de distribution de matériaux de construction), une des filiales de l'entreprise ERCO, renferme aujourd'hui un effectif de soixante employés répartis entre la direction, le service du personnel, la comptabilité et le service commercial. Outre la distribution du ciment, l'unité s'occupe aussi de la distribution du plâtre, la chaux et même le sanitaire. Mostaganem, qui a bénéficié d'énormes chantiers en matière d'infrastructures scolaires et d'habitat en particulier, a vu ses besoins en ciment principalement augmenter de 20 fois ces dernières années, avoisinant les 800 tonnes/jour selon un grossiste en matériaux de construction qui est alimenté principalement de la cimenterie de Ouled Sly «Chlef» et ce, en plus des sources d'approvisionnement en provenance des cimenteries Zahana et Béni-Saf qui sont programmés sous forme de décades.

 Par ailleurs, le prix du ciment, qui augmente considérablement ces dernières semaines causant l'arrêt de plusieurs chantiers, connaît ces derniers jour un réel fléchissement avec la remise en service de la cimenterie de Zahana et le renforcement du marché par l'importation Turquie de quelque 1 million de tonnes déchargés au port d'Oran dont quelque 400 tonnes/jour seront réservées à Mostaganem, selon Mr. Bezzou Djamel, fraîchement installé à la tête de l'unité. «Une grande opération d'assainissement et d'organisation est actuellement encours à l'intérieur de l'unité pour l'amélioration des prestations des services en premier lieu.
 La distribution, selon notre interlocuteur, pourra se faire de mieux en mieux pour satisfaire la demande de nos clients, principalement les entreprises tenus par les délais de réalisation». Selon un entrepreneur de Mostaganem, «la tension sur le ciment commence à baisser ces derniers jours avec la satisfaction d'une façon graduelle de nos besoins de ce produit».
par Ayache Djamel
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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 09:21

Pourquoi des étudiants brillants dans leurs études refusent de suivre la formation de la médecine ? Une question à laquelle le Président du syndicat des praticiens de médecine, M.Ilias Mrabed, répond : « Nous avons 4000 médecins qui exercent dans les hôpitaux en qualité de contrats de pré-emploi, et perçoivent un salaire mensuel de 10 000 Da, et ne sont assurés pas d’occuper une fonction stable après la fin du contrat !

cem-kadour-belarbi.JPG

Et encore pour décrocher le contrat avant emploi il faut avoir les bras longs. Les trois quart des médecins qui exercent avec cette formule sont des femmes ». Alors, consacrer douze années d’étude, après le Bac, pour se retrouver en chômage. L’année passée un groupe de jeunes médecins n’ont pas trouvés de salut, que tenter l’émigration clandestine vers l’autre rive, pensant qu’ils peuvent se délivrer du calvaire de l’inactivité, pour ne pas dire le chômage. D’autres médecins algériens qui sont partis en France durant les années quatre-vingt dix, des médecins très confirmés et pleins d’expérience, se sont retrouvés dans les urgences des hôpitaux et en temps de nuit jouer le rôle d’infirmier en premiers secours ! Mais ils se sont contentés de leur nouvelle fonction, car ils étaient bien payés (quatre fois leur salaire au Bled).
Par ailleurs, nous avons appris que les salaires plafonnés des médecins du secteur public sont comme suit : 
Le salaire des nouveaux médecins est entre 28000 Da et 32000 Da, il atteindra après 32 années d’activité les 47000 da.
Le salaire du médecin spécialiste ne dépasse pas les 52000 Da après 32 années de service
Le salaire du médecin généraliste ne dépasse pas les 47000 Da après 32 années de service
Le salaire du chirurgien dentiste et pharmacien ne dépasse pas les 42000 Da après 32 années de service.
Le Président du syndicat des médecins spécialistes, M. Yousfi Mohamed, a déclaré que le problème en Algérie, n’est autre que le non respect de la grille des salaires par rapport aux niveaux des études effectuées et leurs degrés, sinon le salaire dépasserait celui des ministres, et pourquoi pas celui des députés. Alors que le rôle du médecin est plus important de nos jours. Ce marasme, est le principal facteur, qui motive certains praticiens à cumuler leur fonction dans certaines cliniques privées. D’autres délaissent carrément leur rôle dans les urgences médicales. « Pourquoi se casser la tête pour un salaire misérable, alors que certains qui n’avaient jamais réussi à dépasser le primaire ou le secondaire se tapent les million chaque mois » dira un médecin rencontré dans les urgences d’Oran, qui ajoute : je travail dans la limite de ma fonction, sans zèle et sans employer des efforts supplémentaires, ma conscience certes, m’oblige à sauver des vies, mais où est la contrepartie. Nous avons aussi des foyers, des enfants, comment expliquer qu’un médecin collabore avec des journaux ou pratique le transport clandestin durant son repos ! C’est uniquement pour pouvoir joindre les deux bouts, c’est fini le médecin n’a plus de considération, un manœuvre de maçonnerie gagne plus que lui »
La grève et les revendications des droits sont garanties par la législation du travail, Il y a toujours un service minimum
Notre grève est justifiée, nous l’a continuons, malgré les intimidations de la tutelle et les défalcations de nos salaires actuels, dira un membre du syndicat des praticiens du secteur public et qu’un service minimum sera toujours assuré. Nous nous n’abandonnons pas nos malades ceci est un devoir avant tout, conclura le représentant des médecins. Mais qu’est ce qui se passe en Algérie, les grèves des enseignants, celle des praticiens de la médecine du secteur public, d’autres ailleurs leurs voix ne sont pas encore arrivées à la presse. Des nouvelles sur la corruption, des détournements de fonds, des malversations dans les contrats des marchés. Alors c’est bien une stricte minorité qui vit la belle vie dans ce bled son trésor plein à craquer de milliards de dollars !!
Journal Réflexion
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10 mars 2010 3 10 /03 /mars /2010 18:04

L'OFFICE DE PROMOTION ET DE LA GESTION IMMOBILIERE DE MOSTAGANEM : 45 milliards de créances et 560 locataires devant la justice

Le volume des créances enregistré par l’office national pour la promotion et la gestion immobilière de Mostaganem (OPGI) a atteint les 45 milliards de centimes au mois de janvier 2010, au titre des loyers impayés concernant les logements de location.

Photo-022.jpg

Selon un responsable de l’office, le cumul des créances revient plus particulièrement aux difficultés que rencontrent les locataires à honorer le paiement de leurs loyers du fait que la majorité d’entre eux est issue de couches sociales défavorisées et disposant de faibles revenus, malgré que le montant du loyer est largement inférieur à celui du secteur privé qui dépasse parfois les 10.000 dinars/ mois. Il est a noter que les communes de Mostaganem et d’Ain-Tedles détiennent le record des loyers impayés. Selon les responsables de l’office, pour pouvoir récupérer les créances qui constituent un lourd préjudice financier à l’office et par conséquent compromet le bon fonctionnement et se répercute négativement sur les futurs projets, ce qui a contraint l’office à ester les 360 locataires en justice pour refus de paiement de leurs redevances de loyer, suite aux plusieurs mises en demeures qui leur ont été adressées et les divers avertissements. Pour ce qui est du reste des endettés qui ont manifesté une volonté d’honorer leurs dettes, un compromis a été dégagé entre les deux parties pour l’établissement d’un échéancier de paiement.
 Sur un autre registre, pas moins de 200 locataires ont été este en justice pour transformation illégale des habitations, notamment dans la daïra de Sidi Ali. Ces dépassements, selon une source d’information, ont conduit à la rupture des contrats liant l’OPGI à ces locataires. D’un autre côté, l’OPGI de Mostaganem ne ménage aucun effort à mettre un terme à la spéculation des logements sociaux qui font l’objet de transactions frauduleuses entre particuliers, enfreignant ainsi à toutes les lois. Un constat amer, que l’OPGI de Mostaganem ne cesse de combattre, mais ces opérations de vente illégale continuent de prendre des proportions inquiétantes. Tout compte fait, l’OPGI a décidé de ne plus régulariser ces en établissant de nouveaux contrats, bien au contraire, les cas relevés feront l’objet de poursuites judiciaires et les auteurs seront très bientôt convoqués par la justice. Il est à souligner par ailleurs, que l’OPGI de Mostaganem a réceptionné dans le cadre du plan quinquennat 2004/2009 20.000 logements locatifs. Le taux d’avancement a dépassé toutes les prévisions, ce qui a amené le ministre de tutelle lors de sa visite dans la wilaya de Mostaganem de décider d’un quota supplémentaire de 34000 unités, dont les travaux seront lancés incessamment. Dans ce nouveau programme, l’on notera que 1000 logements seront consacrés à l’éradication de l’habitat précaire et 1500 autres destiné à l’habitat rural. Pour ce qui est de l’embellissement de l’environnement l’OPGI avait lancé une vaste opération de badigeonnage, touchant 8000 immeubles, qui nécessitera la mobilisation de 41 petites entreprises avec une main d’œuvre de 240 employés.
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