Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 00:08

N’ayant pas su souscrire à leurs obligations

Les plagistes ou autres commerçants ayant déjà exercé des activités saisonnières et ayant fait de la règlementation en vigueur, en ne respectant ni les normes d’hygiène ni autres normes requises pour la poursuite de leurs prestations, sont d’ores et déjà placés sur la liste noire, apprend-on de source proche de la direction du Tourisme de la wilaya Mostaganem.

Ainsi, ces personnes n’auront plus le droit d’exercer d’activité saisonnière ou celle de plagiste au niveau de toutes les plages de la wilaya de Mostaganem, souligne notre source. La commission de wilaya relevant de ce secteur et chargée du suivi et contrôle, a révélé en effet, que durant la saison estivale écoulée, la majorité des plages de la wilaya s’approvisionnaient à partir des citernes tractées ou des puits environnants. D’autres plages sont par ailleurs dépourvues d’énergie électrique, à l’instar de Sidi Abdelkader, dans la commune de Ouled Boughalem, Sidi Mansour et Chaâbia, relevant de celle de Benabdelmalek Ramdane, la 2ème plage de Petit Port et Soukhra alias «les Deux Mamelles», que lui vaut son relief environnemental aux yeux des habitués Mostaganémois. Dans le cadre de l’entretien des plages ouvertes à la baignade, une enveloppe de plus d’un milliard de centimes a été attribuée à 08 communes côtières pour financer 10 projets avec à la clé la création de 105 emplois saisonniers. Dans ce même contexte, la saison estivale a permis de créer 2.881 emplois saisonniers affectés aux communes du littoral mostaganémois. Par ailleurs, ces mêmes communes ont réservé une enveloppe de plus de 15 millions de dinars pour l’aménagement et la rénovation des sites et infrastructures, ce qui leur a permis d’engranger une recette de près d’un milliard de cts, le bilan n’étant que provisoire.

De son côté et durant la même période, la DCP a été amenée à fermer 30 locaux commerciaux et traduire en justice 10 personnes, coupables d’avoir enfreint la réglementation en vigueur. Ceci étant, ils auront été 10.300.968 estivants à avoir visité les plages de la wilaya de Mostaganem, ce qui se traduit une croissance de plus de 28%, par rapport à l’année 2007, où l’on a enregistré le passage de 7.379.124 visiteurs, alors que l’année 2006 n’a pas dépassé les 6.925.576 estivants. Pour conclure, la direction du Tourisme prévoit dans son programme 2009, l’interdiction de camper au niveau des plages, afin d’éviter toute source de pollution du sable et par-delà celle de l’environnement. Ceci, en application de la loi 14/ 85 portant sur la concession des plages. Une concession qui sera désormais destinée exclusivement aux professionnels et spécialistes en la matière, l’objectif étant de relever le niveau de la qualité de service et  LAKHDAR HAGANI

Partager cet article
Repost0
24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem – Recommandé pourtant en agriculture
Les opérations de désherbage, menées ces dernières semaines aux alentours des communes de la wilaya

de Mostaganem, notamment aux abords des chaussées et dans les fossés le long des routes, sont effectuées avant que les graines des plantes ne mûrissent, au risque de porter atteinte à l’environnement et à l’écologie dans cette région. Il faut se rendre à l’évidence, que lorsque ces herbes dites «mauvaises ou folles» sont éliminées ainsi, avant que leurs graines ne mûrissent, ces espèces pourraient disparaître.

Essayons d’imaginer un seul instant des champs à perte de vue, sans coquelicot ni marguerite, alors qu’ils ont de tout temps égayé nos tristes campagnes. De même, nous ne reverrons plus des fleurs comme le souci, la violette, le bleuet et la moutarde qui tapissent nos champs. Les opérations de désherbage menées dans l’anarchie font que les graines ne pourront plus s’éparpiller dans la nature, grâce au vent, aux pluies, aux fientes

des oiseaux qui s’en sont nourris.

Les abeilles ne pourront plus butiner les fleurs, pour en tirer le nectar et le pollen. De plus, ces plantes sauvages contribuent à retenir les eaux de ruissellement sur les bassins versants et à régénérer les sources par l’élévation du niveau des nappes phréatiques.

Certes, le désherbage est recommandé, mais il ne doit être effectué qu’après la maturation des graines, d’autant plus que les herbes sèches sont nuisibles et peuvent être à l’origine des incendies. Il suffit qu’un fumeur imprévoyant balance un mégot allumé par sa portière, pour que le feu prenne dans les bas-côtés de la route. Ce

qui est navrant, c’est de voir des fossés en terre-plein, recouverts de béton soi-disant, pour faciliter l’écoulement des eaux de pluies. Bien au contraire, la surface lisse du béton ne fera qu’accélérer la vitesse de l’eau, au risque de provoquer le débordement et l’érosion du sol à la sortie du canal bétonné, au lieu de laisser le fossé à l’état naturel, comme le recommandent les reportages qui nous laissent découvrir une verdure envoûtante.

Si les plants sauvages sont nuisibles pour les exploitations agricoles, spécialisées dans les cultures maraîchères ou céréalières, leur utilité n’est plus à souligner à la fois sur les plans écologique, environnemental et même médicinal, puisque nos ancêtres ont su déceler dans ces plantes des vertus thérapeutiques indéniables. Il suffit pour s’en convaincre, de consulter les pages Internet sur le sujet.

S. Ben

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 00:08

par H. B.
Une exposition de livres de plus de 300 unités, traitant de plusieurs thèmes, histoire, géographie, culture, notamment l'environnement, a lieu au niveau de la nouvelle bibliothèque municipale de la localité de Sidi Lakhdar. Une initiative louable de M. Kadi Mostapha, membre de l'Office du tourisme du bureau local de Sidi Lakhdar.
Un engouement particulier a été enregistré au niveau de cette aile du site du savoir et de la culture, de la part des lycéens, collégiens et autres intellectuels. Les intéressés sont autorisés à consulter les différents ouvrages dont certains sont très rares sur le marché sur les lieux et pendant plusieurs heures. Par ailleurs, Kadi Mostapha, en plus de cette importante exposition, ne cesse de sillonner les différents établissements scolaires et de formation professionnelles, pour sensibiliser les élèves sur l'environnement qui fait objet d'agression au niveau de cette région touristique, même des campagnes de nettoyages de différents sites font partie de son programme.
Un bénévole qui inculque de bonnes manières aux générations montantes, diront bon nombre de responsables et une initiative à encourager.

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 00:08

Des mesures d’allégement à l’ANSEJ

Mme Sedaoui, directrice générale de l’ANSEJ, a réuni récemment les cadres du secteur du Travail et les directeurs de l’Exécutif de la wilaya ainsi que les représentants et directeurs des banques, sous la présidence de Mme le wali de Mostaganem, pour leur présenter les nouvelles mesures d’allègement à même d’aider les jeunes à s’insérer harmonieusement dans le monde du travail.

L’entrevue qui s’est déroulée au niveau du cabinet du wali, a permis à Mme Sedaoui de lever un voile sur les mesures portant sur les réformes de gestion et visant à aider les jeunes à s’insérer facilement dans le monde du travail. Selon elle, des opportunités sont offertes aux porteurs de projets par ce nouveau dispositif.

Pour elle, les jeunes diplômés issus des universités représentent un gisement de génie en constante évolution. Raison de plus, dit-elle, de les prendre en charge et de leur accorder toute notre confiance, en leur créant un climat approprié à la réalisation de leurs projets.

Ces nouvelles réformes ont éliminé, selon elle, certaines contraintes, tels que le manque de professionnalisme avant et après la réalisation du projet, le manque de culture d’entreprise et la tendance à mélanger le budget propre à l’entreprise et celui spécifique au promoteur. Ces contraintes sont handicapantes pour la réussite du projet, a-t-elle souligné. Selon elle, ces difficultés énumérées ont influé négativement sur les résultats de l’ANSEJ. C’est ce qui a incité ses responsables à réformer le système, en optant pour la formation obligatoire des postulants, avant de leur octroyer le budget nécessaire à leur projet. La mise en place des commissions d’études des dossiers, avec la participation du porteur amené à défendre son projet, reste ainsi le seul moyen de réussite à avoir fait ses preuves.

La première dame de l’ANSEJ en a profité pour solliciter l’ouverture d’autres antennes, notamment, à Sidi Ali, Aïn Tédelès et à Bouguirat. Faisant ensuite allusion au gel, au niveau central, du financement des transports et de la location d’engins, elle dira: «Je leur au dit, arrêtons la politique de Mao, qui voulait que tous les Algériens s’habillent de la même façon. Chaque région a ses particularités, ses spécificités et aussi des potentialités qui lui sont propres. Les autochtones connaissent mieux que personne les projets qui réussiront et ceux qui ne le feront pas. A l’ANSEJ, ajoutera- t-elle, notre mission se limite à leur assurer la pérennité (de leurs projets).»

En fait, la commission locale sait quel projet pourrait réussir et ne serait pas une aventure sans lendemain.

C’est sur cette base que 1.867 projets ont été financés dont 68% grâce à la BDL, pour être concrétisés, avec à la clé 5.568 emplois à l’échelle nationale.

L’ANSEJ étant au service du développement local, son rôle est de créer de la valeur ajoutée. C’est le premier message que doivent passer les agents de l’ANJEJ, en se déployant pour informer les jeunes.

S. Ben

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 00:08

Depuis le début de l’année en cours, le port commercial de Mostaganem connaît une intense activité.
De nombreux produits, notamment des céréales, des tubes, du rond à béton et des colis de gros tonnage sont importés. Soit une quantité évaluée à 862.000 tonnes, tous types de produits confondus. A titre d’exemple, le tonnage des tubes importés est d’un poids de 123.000 tonnes pour satisfaire les différents projets, tels que le MAO, le MEDGAZ, etc.
Des projets confiés dans leur quasi totalité à des sociétés étrangères notamment pétrolières, a-t-on appris. Les différentes firmes et les compagnies pétrolières ont porté leur choix sur le port de Mostaganem parce qu’elles le considèrent comme étant l’un des ports spécialisés dans le transit de ce type de cargaison, grâce à la grue d’un tonnage de 250 tonnes acquise en juin dernier facilitant ainsi les opérations de levage.
Ainsi, 4.500 tonnes de colis lourds ont été traitées.
312.000 tonnes de céréales ont été déchargées durant cette année, dépassant les 56% réalisés en 2007. L’augmentation de l’importation des céréales a permis de réguler la problématique des approvisionnements, indique-t-on.
On signale, par ailleurs, que le port de Mostaganem a également exporté une quantité non négligeable de ciment et de clinker. Toujours en matière d’exportation, quelque 41.000 tonnes de ciments gris et blanc produits par l’usine de Sig ont transité par le port de Mostaganem à destination du Maroc, du Sénégal et du Liban, précise-t-on. S.B.

Partager cet article
Repost0
23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 00:08

En l’espace d’une année, l’envolée des prix du poisson a dépassé tout entendement poussant le consommateur à s’ingénier afin de trouver chaussure à son pied. Les poissons bleus que l’on considèrerait comme produits destinés à la large consommation et à la portée des petites bourses, ne sont presque plus accessibles et boudent les plats des ménagères.
A force d’être traquée à la dynamite et sur pêchée, en ne respectant aucune loi et l’empêchant de se reproduire dans de bonnes conditions, la sardine s’est brusquement
raréfiée et fait défaut à une demande en croissance continue.
Pour ce qui est du poisson blanc, privilégié pour les plus nantis, la tendance à la hausse n’a pas observé, comparativement au poisson bleu (moins fin), une aussi vertigineuse escalade.
Si la sardine est passée de 70 DA le kilo à 200 DA et parfois même plus, le pagre, par exemple, lui, est passé de 350 à 500 DA le kilo. Un poisson blanc de qualité gustative que l’on peut considérer de moyenne et qui pourtant rivalise avec tout autre produit de luxe pour le commun des mortels, en l’occurrence celui des viandes rouges fraîches. S’agissant des crustacés, à moins d’avoir tiré le gros lot à la loterie, ce genre de produits de la mer est totalement réservé à l’exportation pour tout ce qui est du premier choix. Quant au reste il est possible de goûter à la crevette, et non la «gamba» que l’on peut trouver sur les étals des marchés, dans les grands hôtels et restaurants des grandes villes. C’est dire, à 1.400 DA le kilo qui, une fois décortiqué, ne pèse que la moitié, une bonne assiette de crevettes grillées ou à la sauce tomate revient très cher. Et si parmi nous, il y en a qui peuvent se le permettre et c’est tant mieux…, le simple fait que des dizaines d’ Algériens se sont empoisonnés en mangeant des champignons vénéneux, donne une idée sur l’état du portemonnaie du tout Algérien.
Bilakdar Djamel

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 00:08

par Ayache Djamel
Une opération conjointe menée entre l'ONDA (Office national des droits d'auteur) et les services de la police judiciaire a permis la saisie de 5.000 CD et autres DUX contrefaits, au niveau du marché de Aïn Séfra appartenant à deux revendeurs originaires de Mostaganem. Selon le responsable de l'ONDA, la contrefaçon, qui a pris de l'ampleur, portant un grand préjudice à la corporation des auteurs, est réprimée par la loi 03-05 du 19 juillet 2003.

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 00:08

Arrivage de semence de pomme de terre au port de Mostaganem

La campagne d’importation de la semence de pomme de terre démarre dans une ambiance mitigée. Contrairement aux dernières années, l’arrivée du premier navire est presque passée inaperçue. L’engouement habituel n’est plus de mise chez les fellahs qui, habituellement, sont pris d’une frénésie contagieuse. Plusieurs facteurs peuvent expliquer cet engourdissement.

Tout d’abord, les agriculteurs mettent en avant les retombées de la dernière campagne, rappelant qu’elle fut laborieuse, voire catastrophique pour les récoltes de saison. En effet, si les récoltes précoces ont été écoulées dans un marché très favorable, il n’en sera pas de même pour la suite de la campagne. Dans les régions intérieures de Maghnia, Aïn Defla, Chlef ou Mascara, les fellahs auront réellement côtoyé la catastrophe. Avec des prix en chute libre et une surproduction encombrante, la pomme de terre avait été écoulée entre 5 et 10 DA le kg seulement.

N’était l’intervention inespérée du ministre de l’Agriculture qui ordonna la prise en charge et le stockage en chambres froides de centaines de milliers de tonnes de produit, des centaines de producteurs auraient définitivement mis la clé sous le paillasson. Malgré quelques ratages savamment orchestrés par les incontournables spéculateurs, le marché continue d’être régulièrement approvisionné, y compris après l’entrée sur le marché de la récolte d’arrière-saison.

Le cours du marché

La campagne de semence fut très pénible pour les multiplicateurs qui auront beaucoup de difficultés à écouler les milliers de tonnes récoltées. Echaudés par le marché, les fellahs ne se bousculeront pas pour planter dans une conjoncture défavorable. Alors qu’habituellement le prix de vente de cette semence locale oscillait entre 35 et 55 DA, rares furent les producteurs qui l’écoulèrent à plus de 25 DA. Vendue à perte, cette semence ne provoquera nullement l’engouement habituel. C’est dans cette ambiance délétère que le premier navire chargé de 3 000 tonnes vient d’accoster ; il sera suivi par un autre bateau dimanche prochain. Jamais le marché n’aura été autant craint par les importateurs qui n’ont aucune indication sur la tendance.

Pourtant, c’est chez eux que se trouve le déclic qui fera bouger le marché. Tout le monde guette la fixation du prix de vente dont l’impact sur le cours du marché sera déterminant pour la suite de la campagne. Pour être suffisamment attractif, il devrait se situer entre 6 500 et 7 500 DA le quintal. L’an dernier, certaines variétés rouges ont été écoulées en seconde main jusqu’à 15 000 DA. Pour le ministre de tutelle, le seul impératif est d’assurer l’importation d’au moins 75 000 tonnes de semence. C’est ce seuil minimal qui nous mettra à l’abri d’une mauvaise campagne. Pour le port de Mostaganem, par lequel transitent 70% des importations, on s’attend à l’arrivée d’une vingtaine de navires.

Par Ali Tlemçani

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem
Pour la maîtrise de stage et l’expertise en médecine générale, le Professeur Jean-Pierre Jacqui, enseignant et médecin généraliste, a annoncé lors du 1er congrès euromaghrébin de médecine générale, qu’un projet euro méditerranéen sur la formation des médecins dans le domaine de la médecine générale est en voie de discussion. Le Professeur a indiqué lors des travaux de la 1ère journée dans cette spécialité, que le projet est lié aux grandes universités européennes avec celles de la région Ouest de l’Algérie, qui entre dans sa première phase. C’est un «tempus» européen qui englobe les pays méditerranéens et du Proche-Orient.
C’est un programme où il faut associer différents pays tiers monde dans la formation de médecins généralistes, a souligné le Pr. Jean-Pierre Jacqui. C’est un projet qui n’est pas encore validé par l’Union européenne. Nous aurons certainement un deuxième appel d’offres. Le projet tel qu’il est conçu concerne les universités française de Grenoble, de Liège en Belgique, de Hanovre en Allemagne et deux pays du tiers monde avec l’Algérie (universités de l’Est Algérien) et elle de Beyrouth. Notre but, dira-t-il, est de mettre en place une stratégie pour former des médecins généralistes algériens et libanais à la maîtrise de stage et à l’expertise en médecine générale de façon qu’ils aient à leur tour à former en stage des médecins généralistes en Algérie ainsi qu’au Liban. Ce congrès a vu la participation de 8 exposants spécialisés dans la commercialisation de laboratoires de contrôle et de recherche. Les médicaments exposés sont principalement destinés à l’hypertension et le diabète.
7 ateliers de travail ont été constitués, notamment la recherche et le développement de la formation dans le domaine de la médecine générale. Notons que c’est la première fois qu’un congrès de cette taille, euromaghrébin, de médecine générale, a été organisé à Mostaganem à l’Université Abdelhamid Ibn Badis sise à Kharouba.
Le coup d’envoi de ce congrès était prévu par Mme le wali, mais elle avait des obligations. Nous avons appris qu’une délégation de l’ANSEJ dirigée par la Directrice générale est venue d’Alger pour expliquer le dispositif. Le programme de ce congrès comportait des thèmes, état des lieux de la formation en médecine générale en Algérie, au Maghreb et en Europe, l’intérêt de la formation spécifique de la médecine générale, perspectives et formation permanente en médecine générale. Les médecins généralistes de Tunisie, de France et de l’Union européenne ont été conviés pour échanger leurs expériences et les méthodes appliquées dans leurs pays. Quant à la participation des médecins généralistes algériens, 150 sont venus des quatre coins du pays. En fait, le patient réclame des soins et diagnostics et une intimité, comme le prévoit l’éthique et la déontologie médicale, alors que les organismes publics réclament des soins économiques avec un parcours de soins raisonnable et réduit. La médecine a cumulé un savoir-faire spécifique pendant des années, donc l’université est prête au changement, car elle possède des valeurs universelles de la science et de la recherche vers le meilleur et le plus utile à la société, sa contribution aux priorités de la santé et au développement du pays. Le but principal de ce congrès est de faire des propositions concrètes pour établir une feuille de route de cette nouvelle révolution. C’est tout un symbole de recommandations qui seront communiquées à l’instance chargée de la santé pour être appliquées sur le terrain.
S.B.

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 00:08

Le procès opposant maître Bourahla Mohamed, avocat et ancien député à l’APN, à Larbi Benzidane, correspondant auprès du bureau d’El Watan à Mostaganem, vient de se conclure par la condamnation du journaliste à 2 mois de prison ferme et à 50 000 DA d’amende. Malgré plusieurs tentatives, le correspondant n’a pas eu droit à un avocat pour assurer sa défense ; ceux contactés ont à deux reprises brillé par leur absence aux audiences.
L’affaire remonte au mois juillet dernier lorsque notre collaborateur avait rapporté les conclusions d’un procès ayant alors opposé Bourahla Mohamed à des membres de sa famille. Procès en première audience au cours duquel avait été prononcée une peine de 6 mois de prison avec sursis et une autre à 6 mois de prison ferme. Toutefois, à l’instar du compte rendu publié par un autre titre de la presse régionale, cette peine de 6 mois ferme avait été malencontreusement attribuée à maître Bourahla, alors qu’elle concernait un autre accusé dans la même affaire. L’avocat, n’ayant pas usé de son droit de réponse, optera pour engager un procès à l’encontre du journaliste. Un journaliste qui compte se pourvoir en cassation. Par R. N.

Partager cet article
Repost0