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9 janvier 2009 5 09 /01 /janvier /2009 00:06

Solidarité avec Ghaza :

Au cours de la commémoration du 50ème anniversaire de la mort au combat du chahid Mohamed Belhachemi, sa veuve, née Mahrez Fatma, une septuagénaire habitant le village de Hadjadj ( Daïra de Sidi Ali), 40 km à l’est de Mostaganem, aura surpris tout le monde.

En effet, alors que la salle où avaient pris part les invités et les autorités locales, dont le député Bencheikh, véritable organisateur de la cérémonie, la veuve, accompagnée de Kamalia, son unique fille, viendra remettre un sac de billets à l’intention de la population de Gaza, encore sous les bombardements depuis 13 jours. Un don de 50 millions de cts (5 000 euros) sera remis à la DAS, dépendant du ministère de la Solidarité, qui devra l’acheminer vers les populations meurtries de Ghaza. Cet acte d’une rare symbolique est la parfaite illustration de la solidarité agissante entre les véritables révolutionnaires. Qui aurait cru que 50 ans après sa mort, un jeune combattant pour la liberté, tombé au champ d’honneur pour la libération de son pays du joug colonial, puisse encore venir au secours de la population martyre de Ghaza ? Du coup, la veuve généreuse aura sans doute prouvé combien elle était en totale harmonie avec son époux, mort au combat en compagnie de deux autres moudjahidine, un certain 8 janvier 1959, lors de la bataille de la ferme Macary, non loin de Hadjadj. Par Yacine Alim

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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 00:06

Nous avons appris, hier dans la matinée, que M. Aboubekr Benbouzid,
ministre de l’Education nationale, est attendu samedi matin
10 janvier 2009 dans la wilaya de Mostaganem, pour entamer une
visite d’inspection et de travail. Le ministre inaugurera plusieurs projets
relevant de son secteur et s’enquerra sur plusieurs réalisations,
le CEM et le lycée à Stidia, les deux CEM et un lycée à Mazagran,
l’école primaire Sidi Abdelkader à Hassi Mamèche, le CEM en cours
de réalisation à Mesra, une demipension au CEM Mesra, un lycée
et un CEM à Mansoura, un lycée et un CEM à Oued El Kheir, un
CEM à Ouled Bachir dans la commune de Kheir Eddine, un lycée
en projet à la cité Djebli à Mostaganem.
Toujours dans le contexte de l’éducation, Aïn Sidi Cherif
commune relevant de la daïra de Mesra s’est dotée de gaz de ville.
Selon les responsables de la subdivision, toutes les classes sont
équipées de chauffage en gaz de ville. Quant à Mesra, un cahier des
charges a été établi pour équiper toutes les classes de chauffage en
gaz de ville. Les communes Bled Touahria et Mansoura sont elles
aussi dotées de chauffage, mais fonctionnant au mazout, a-t-on
appris, car ces deux villages ne disposent pas de gaz de ville pour
le moment. Le taux global en chauffage à travers toute la daïra, en gaz
de ville, en mazout ou en gasoil, avoisine les 87%, indique-t-on.
Concernant la commune de Saf Saf, toutes les écoles disposent de
chauffage mais le problème demeure l’approvisionnement en
gasoil qui reste insuffisant. Une enveloppe spéciale a été réservée
pour l’approvisionnement des 13 écoles en quantité suffisante de
gasoil incessamment.
S.B

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 00:06

Quelques 250 habitations érigées dans les zones rurales et réparties à travers 11 douars relevant de la commune de Sidi-Lakhdar, dans la wilaya de Mostaganem, ne sont toujours pas raccordées au réseau d’électrification. C’est du moins ce qui ressort de l’enquête menée ces derniers jours par une commission de l’APC, selon laquelle les habitants de ces demeures tentent depuis des années de résister aux difficultés inhérentes à l’absence d’énergie électrique. Pourtant, ces citoyens affirment avoir adressé plusieurs requêtes aux responsables concernés pour les alimenter en énergie électrique. D’un autre côté, ils n’ont pas les moyens matériels pour se brancher au réseau, sachant que l’installation d’un seul pylône électrique revient à quelque 40.000 Da. Au vu du nombre de pylônes qu’il faudra, les chefs de familles ont vite fait de déchanter.

Dans l’attente d’une solution à leur problème, ces familles se passent le courant électrique entre voisins, mais de manière trop anarchique, porteuse de risques dont les conséquences sont imprévisibles (court-circuit, incendie, délestage en cas de surconsommation, etc.)
Le chef de daïra contacté à ce sujet souligne, que les services concernés ont promis de mettre fin au calvaire qu’endurent ces habitants.
En attendant la concrétisation de ce facteur de vie décente, les habitants continent de harceler les services concernés, à leur tête Mme le wali, pour mettre fin à leur frustration énergétique. Par ailleurs, on apprend de sources crédibles, que quelques 2.700 habitants en zones rurales, issus de la wilaya de Mostaganem, n’ont toujours pas droit à cette précieuse énergie électrique, du fait que leurs constructions sont trop récentes ou trop dispersées. En dépit de cette contrainte, le taux de couverture de l’électrification rurale reste appréciable dans la wilaya de Mostaganem.

Lakhdar Hagani

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 00:07

Les 158 unités, tous types confondus, seront matérialisées avant la fin
du 1er semestre, a-t-on indiqué et ce, pour éradiquer l’habitat précaire
en milieu urbain et rural. De prime abord, 54 autres unités de type social
sont en cours de réalisation et le taux d’avancement des travaux est
estimé à 70 %. Un autre quota de 150 logements sociaux locatifs de
type LSP seront lancés au niveau de la cité Djebli. Le parc immobilier de
la commune de Sidi Ali s’est renforcé de 158 unités de différents types
de construction, indique-t-on également. 120 logements seront achevés
en mars prochain et seront attribués aux demandeurs toujours
dans ce même contexte. Les élus vont engager une autre opération
dans le nouveau plan de développement local, qui va profiter d’un
important quota de logements, dans un délai limité, lesquels seront
implantés dans certaines cités et dans le centre urbain. L’APC envisage
également un autre programme de logements supplémentaires car la
commune ne trouve aucune difficulté en ce qui concerne l’emplacement
des logements. Elle dispose d’une grande superficie non exploitées
et inoccupée pour le moment. SB

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 00:07

Lancement des travaux de quatre nouvelles polycliniques.
Les communes de Mazagran et de Kheïreddine, la cité du 5-Juillet à Mostaganem et Ouled Maallah vont bénéficier, au cours de cette année, d’une polyclinique chacune, pour une prise en charge effective de la santé de proximité.

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 00:06

L'OranieSecteur de la santé à Mostaganem

Assainissement de 45 milliards de dettes

La direction de la Santé de la wilaya de Mostaganem vient d’assainir tout récemment les dettes, que traînaient ses 3 secteurs sanitaires implantés à travers la wilaya de Mostaganem et qui s’élèveraient à 45 milliards de centimes, dont 25 milliards relèvent uniquement du secteur sanitaire du chef-lieu de la wilaya

Les 20 milliards restants concernent les dettes des secteurs sanitaires de de Aïn Tédelès et de Sidi Ali. Cette mesure d’assainissement a été prise par le ministère de tutelle, comme cela lui arrive depuis ces dernières décennies, et ce, avant d’entrer de plain-pied dans les nouvelle reformes hospitalières en cette année 2009. En matière de nouvelles infrastructures, un centre intermédiaire de soins pour toxicomanes, dont les travaux tirent à leur fin, sera inauguré au cours des prochain mois. Le montant du projet s’élèverait à 25 millions de dinars, l’opération ayant été inscrite en 2007. Quant au centre hospitalier universitaire (CHU) de 240 lits, il devait être inauguré avant la fin 2009, son taux d’avancement étant estimé à 70%. Pour rappel, le projet de ce futur CHU a été lesté d’une enveloppe financière de plus de 26 milliards de cts, soit exactement 260.700.000,00Da.
Dans le même contexte, la réalisation et l’équipement de 3 hôpitaux respectivement à Achaâcha, Bouguirat et Mesra, dispose d’une enveloppe financière globale de 150 milliards de cts. Pour pallier au déficit des effectifs signalés en médecins généralistes et spécialistes, quelque 60 postes budgétaires seront ouverts au cours de cette année 2009, en plus de ceux destinés aux agents paramédicaux, qui sont actuellement en formation.

Lakhdar Hagani

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 00:06

il a été enregistré sur les différentes routes traversant la wilaya de Mostaganem, pas moins de 16 accidents de la circulation, qui se sont traduits par 29 blessés graves. Selon la même source, les causes principales de ces accidents sont liées entre autres, aux dépassements dangereux, au non respect de la signalisation routière et aux manoeuvres dangereuses. Il a été également procédé au retrait de 43 permis de conduire. A noter que pas plus tard qu’hier dimanche, pas moins de 3 accidents ont été enregistrés sur la meurtrière RN11, reliant Mostaganem à Achaâcha. Heureusement, seuls des dégâts matériels ont été occasionnés, car on ne déplore aucun dommage
corporel. La cause de ces accidents revient aux fortes pluies accompagnées de grêle, enregistrées en cette matinée.
Lakhdar Hagani

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5 janvier 2009 1 05 /01 /janvier /2009 00:06

Le train Oran-Arzew a dû réduire son itinéraire après seulement trois jours de son lancement. En fait, au lieu d’arriver à El Mohgoun, c’est à Hassi Mefsoukh qu’il a fait son arrêt final et pour cause, la mafia des déchets ferreux avait encore frappé. En fait, des boulons servant à fixer les rails de la voie ferrée ont été volés sur l’axe reliant la localité d’El Mohgoun à Hassi Mefsoukh, apprend-on de bonne
source. Les boulons de la voie ferrée sont d’une longueur de 20 cm et sont t rès prisés par «ces voleurs de fer» qui alimentent le marché informel des déchets ferreux. Ce changement dans l’itinéraire du train Oran-Arzew a pénalisé ses usagers. La joie de ces derniers de le voir sur les rails après une attente de 20 ans, vu que ce projet avait été lancé il y a deux décennies de cela, aura été de courte durée, trois jours seulement. Il importe à souligner que ce train devait atteindre la commune
d’Arzew, mais par mesure de sécurité pour la zone industrielle, il a été stoppé à El Mohgoun.
R.L.

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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 00:07

Les responsables locaux de l’Algérienne des Eaux rassurent en ayant promis la régularisation de la situation à partir d’hier. Pratiquement tous les quartiers de la ville ont été affectés. Depuis plus d’une semaine, l’alimentation en eau potable de la population mostaganémoise est perturbée, au point de susciter le mécontentement. Les couples et les familles peu nombreuses avaient l’alternative unique de l’achat d’eau minérale du commerce, quand les moyens financiers le permettent évidemment. Mais dès qu’on est en charge d’une famille nombreuse, ou qu’on loge au-delà du cinquième étage d’un immeuble, même cette «solution» de fortune se complique. Alors que les parents nourrissent expectative, interrogations multiples et grogne, ce sont les enfants qui vivent le calvaire de la corvée quotidienne, à rechercher le moindre point d’eau et trimbaler des jerricans, parfois plus pesants que leurs porteurs. «Ce n’est pas l’eau qui manque!», expliquent les responsables locaux de l’Algérienne des eaux. Bien au contraire, à la faveur des fortes précipitations récemment enregistrées, le barrage du Gargar, principale source d’approvisionnement de la ville de Mostaganem, a fait le plein, à hauteur de 45 millions de mètres cubes d’eau emmagasinés. Seulement c’est une eau particulièrement trouble, qui requiert un certain temps pour la décantation de la boue et des impuretés qu’elle contient en suspension.
On se rappelle, au début du mois de novembre passé, la population mostaganémoise a également manifesté de vives appréhensions, quant à la qualité de l’eau potable qui coulait dans les robinets, et qui avait pris une couleur jaunâtre «assortie» d’un incommodant arrière-goût de vase. Une altération qualitative provenant du même barrage du Gargar implanté dans la wilaya de Relizane, qui subsistait malgré le traitement approprié et «routinier» au niveau de la station du Cheliff. Une situation qui n’a pas tardé à susciter une pointe d’inquiétude chez nombre d’abonnés de l’Algérienne des Eaux.
«Elle est polluée et impropre à la consommation !», prétendaient certains qui affirmaient avoir été contraints à l’achat de l’eau minérale pour les besoins de consommation courante. L’appréhension et la réticence engendrées avaient fini par gagner non seulement les foyers, mais surtout par éveiller le doute chez les responsables ayant à charge des collectivités, à l’instar des établissements scolaires, de l’université ou des centres de détention. Un sentiment appréhensif somme toute légitime et compréhensif, mais qui n’inspire pas grande inquiétude au sein du service concerné par l’alimentation des agglomérations en eau potable. «L’eau fournie est potable et répond aux normes requises en matière de potabilité ! », assurait-on avant de révéler l’origine de cette altération de la couleur et du goût. Ainsi, à hauteur de moins de 3 millions de mètres cubes d’eau emmagasinés en ce temps-là, ce réservoir venait d’enregistrer son plus bas niveau de remplissage depuis sa mise en service.
Un seuil critique qui se traduisit par une plus forte concentration en vase et autres sédiments en décantation au fond de l’ouvrage hydraulique.
A ce niveau, et faute d’infrastructure d’alimentation alternative, seule la ville de Mostaganem avait continué à pomper une eau de plus en plus rare et de plus en plus boueuse, mais dont on ne pouvait point se passer. Cette fois-ci, on a cru mieux faire de couper court aux appréhensions, en suspendant l’alimentation, jusqu’à la clarification de cette eau. Une suspension qui semble avoir trop duré.
M. Belarbi

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22 décembre 2008 1 22 /12 /décembre /2008 00:07

Grâce aux «pressions» conjuguées du chef de daïra récemment installé et des protagonistes du RND et du FLN, l’APC de Sidi Ali vient d’être enfin «débloquée».
Une année après le scrutin du 29 novembre 2007, les élus de la formation de Ahmed Ouyahia, au nombre de quatre, et leurs trois pairs du FLN, se sont rétractés sur leur obstination à ne pas composer avec le maire, issu d’une liste «indépendants», et proclamé vainqueur avec quatre sièges, mais dépassant au nombre de voix obtenues, le parti déclaré ex æquo, le RND en l’occurrence. En l’absence d’un chef de daïra dont le poste était occupé jusque- là par un administrateur intérimaire, un an durant, c’était l’administration locale ayant installé le président de l’APC auquel ses pairs élus des formations partisanes antagonistes refusaient toute collaboration, qui a géré les affaires de cette importante commune de la wilaya de Mostaganem.
Ainsi, de par cette «abdication», le RND et le FLN se sont respectivement accaparés les postes de 1er et 2ème vice-présidents de l’Assemblée populaire communale qui vient, enfin, de constituer ses commissions permanentes.
Selon certaines sources RNDistes dont les «pressions» sur les élus-militants au sein de l’APC
en question étaient certainement déterminantes pour changer subitement d’avis et adhérer à l’ordre établi, on estime que ce «déblocage » aura été précipité, à coup sûr, par la menace de dissolution de l’Assemblée, et sa substitution par un administrateur, et, par conséquent, la perte
«pure et simple» de quatre sièges d’élus au détriment de cette «grande» formation politique.
«Ce serait un revers particulièrement cuisant pour cette commune chef-lieu de daïra promise à l’élévation au rang de wilaya déléguée», nous confie-ton.
M. Belarbi

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