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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem

Pari perdu pour l’ADE qui ne parvient toujours pas à assurer un approvisionnement normal de la population en eau potable.

En effet, malgré les assurances des responsables, les scènes les plus invraisemblables de ces longs boyaux arpentant difficilement les façades des immeubles se perpétuent dans un assourdissant vrombissement des tracteurs agricoles. Même le vendredi n’est pas épargné par les livreurs d’eau qui n’ont pas hésité à faire grimper le prix de la citerne de 3 000 litres à 1000 dinars, alors qu’il y a à peine 3 jours elle était cédée à 800 DA. Pendant que la pluie qui tombait par intermittence laissait planer un maigre espoir de retour à la normale, voilà que l’eau des puits prend des couleurs inattendues.

Trop chargée de matières organiques et d’argile, elle rebute ses inconsolables utilisateurs qui se retournent vers les eaux minérales ou de sources pour toutes les préparations culinaires. Une situation incompréhensible lorsque l’on se rappelle que, durant la saison estivale, avec son rush de millions de vacanciers, jamais la tension sur l’eau n’aura été aussi forte. Selon plusieurs sources, le mal proviendrait de la faiblesse des approvisionnements à partir du forage de Aïn Soltane, dans la commune de Oued El Kheir, qui ne livrerait que 5000 m3/j à l’ensemble de la ville de Mostaganem.

Car il semblerait, qu’après la perte accidentelle de 30.000 M3 suite à une avarie intervenue la semaine écoulée sur la conduite à hauteur de Kharrouba, la station de traitement du Chéliff peinerait à traiter une eau trop chargée suite aux crues de l’oued. Rappelons que les besoins de la ville oscillent entre 15 000 et 25 000 m3/j ; ce qui fait le bonheur des propriétaires de puits de Mazagran où les citoyens se rendent en force afin de passer commande directement. A ce rythme, le prix de l’eau ne pourra ne pas augmenter dans les prochains jours que si l’ADE élabore un planning de distribution soutenu.

Par Ali Tlemçani

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 00:08

Il faudra miser 20 à 25.000Da pour un mouton de 20kgAinsi, ces fieffés menteurs usent de toutes les ficelles pour préparer psychologiquement leurs pigeons. Ils n’hésitent pas à spéculer sur la hausse de l’ovin comparativement à l’année précédente, quand le prix d’un mouton ne dépassant pas les de 20kg variait déjà entre 16.000 et 18.000Da. Selon eux, la même bête reviendrait pour le moins cette année à 20.000 si ce n’est 25.000Da.

Pour justifier cette hausse, le revendeur du Souk (smasri), qui ne l’oublions pas, a de tout temps, entretenu une entente tacite avec l’éleveur, n’a aucun état d’âme à lui faire endosser la hausse. Chose que celui-ci accepte volontiers, en invoquant la cherté des aliments du bétail qui, selon lui, font augmenter le prix de revient de la bête. Bref, un air connu que chantent tous les spéculateurs pour trouver leur compte, leur objectif étant de tondre leur laine sur le dos du pauvre père de famille qui voudrait faire plaisir à ses enfants, pour qu’ils ne soient pas marqués à vie par le sentiment de frustration. Certains citoyens ne savent pas encore si les prix vont se stabiliser ou s’ils risquent au contraire de connaître d’autres augmentations, alors que d’autres, beaucoup plus optimistes, s’attendent à une baisse des prix. Pendant ce temps, l’Aïd El-Adha approche à grands pas et les enfants s’en font même une joie, alors que leurs parents craignent encore une fois d’être obligés de se saigner aux quatre veines pour leur faire plaisir, certains risquant même d’épuiser le budget familial voir même de s’endetter.

Hamida Abdallah

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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem

Le PNDRA pour booster le développement agricole

Ces aides et ces soutiens vont permettre, selon le secrétaire général de l’UNPA, de booster le développement agricole qui n’a pas encore été maîtrisé de manière à produire en quantité et en qualité en vue de satisfaire le marché local à des prix compétitifs et pourquoi pas exporter des produits comme il fut un temps. La nouvelle formule «Rfig» qui accorde des crédits sans intérêt, a été instaurée mais les fellahs sont confrontés à la bureaucratie.

Le représentant de la BADR a mis en confiance les agriculteurs en diminuant du volume du dossier qui comprenait 17 documents. Dorénavant, ce dossier ne sera composé que de 5 documents, avons nous appris. Le PNDRA a financé, en 5 ans, 5.354 dossiers soit 8 milliards

de dinars.

A ce jour, 4 millions de dinars n’ont pas été remboursés. Les exploitations agricoles privées sont de

20.000 unités, alors que les EAI et EAC comptent respectivement 2.700 et 1.268 de 4 fermes pilotes d’une superficie de 400 ha chacune.

En ce qui concerne l’aide sans intérêt par l’intermédiaire du «Rfig», 80 unités ont déjà reçu l’aval après étude des dossiers au niveau de la BADR.

L’aide varie entre 1 et 4 millions de dinars. Mais ce que craignent les fellahs, c’est le problème de la CASNOS et des dettes non remboursées.

Le directeur a, lors de l’émission du forum à la radio locale, émis un communiqué à travers lequel il propose aux agriculteurs le paiement par échelonnement.

Le «Rfig» englobe plusieurs opérations indispensables à l’acquisition des équipements pour effectuer les façons culturales et autres infrastructures: bâtiments, machines agricoles ... avec le crédit

leasing.

Lors du forum de la radio, un fellah s’interroge: «Quand va-t-on recevoir les semences ? Le temps presse». S’agissant du mildiou, il insistera sur le traitement systématique dont les techniciens présents ont soutenu l’idée. La pomme de terre a été épargnée grâce à la vigilance des agents de l’INPV

et au moment de la récolte, c’est à- dire en fin de production.

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem – Selon l’office
d’alphabétisation
Selon la même source, les femmes sont de plus
en plus intéressées par ce mode d’enseignement,
si l’on se base sur le taux de 96% qu’elles représentent
sur les 16.000 élèves inscrits. Avec la
rentrée qui s’est faite en octobre dernier, plus de
4.000 apprenant(e)s ont été inscrit(e)s et
reparti(e)s entre les 150 classes d’alphabétisation
recensées dans les communes de la wilaya.
A ce propos, la liste d’inscription reste ouverte
jusqu’à la fin du mois de décembre prochain, indiquera
la même source.
Les apprenant(e)s sont encadré(e)s par 500 enseignants,
dont près de 300 sont recrutés dans le
cadre de l’emploi des jeunes universitaires, quoique
la région ouest de la wilaya de Mostaganem
est celle qui enregistre le plus faible taux
de participation à ce mode d’enseignement. Par
ailleurs, il est prévu la sortie de 6.000
apprenant(e)s à l’issue de cette année courante.
Néanmoins, par la voix de son directeur, le
même office déplore l’absence de sensibilisation
à ce mode d’enseignement à travers tout le
territoire de la wilaya, ainsi que l’insuffisance des
effectifs en matière d’encadrement et le parc dérisoire
de moyens de transport, ce qui entrave
gravement la mission des inspecteurs d’enseignement.
Enfin, toujours à travers la même
source, l’office d’alphabétisation aimerait bien
que ses annexes soient dotées en moyens informatiques
et que les autorités concernées prévoient
des prix d’encouragement pour les apprenants qui
auront achevé le cycle complet de leur formation.
Lakhdar Hagani

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 00:08

L’ouverture du concours annoncée officiellement.
Le commissariat du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem vient d’adresser à toutes les institutions culturelles nationales deux notes d’information qui précisent les modalités de participation au concours et au forum dans le cadre de la seconde édition du Kaki d’or.

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 00:08

Les premiers foyers de mildiou sur les feuilles de la pomme de terre ont fait leur apparition au niveau de Hassi Mamèche. L’alerte a été donnée le 8 novembre courant par la station de la protection des végétaux de Mostaganem. C’est M. Abdelhamid Boukhalfa qui, par le biais de la radio locale, l’a annoncé pour que les agriculteurs traitent cette maladie jusqu’à la fin de la récolte qui a débuté tout récemment. Le mildiou apparaît après la chute de pluie et après un mouillage de 4 heures, à une température dépassant les 11 degrés, il peut détruire la plante contaminée au bout de 12 heures seulement.
Il fait son apparition surtout dans les bas-fonds et quand les fellahs n’ont pas convenablement traité leur culture. Le président de l’association des producteurs, M. Bencherif Hadj Djelloul nous a appris qu’une commission composée des membres de la Chambre de l’agriculture, du directeur de l’INPV, du président de l’association des producteurs de la pomme de terre, a été mise sur pied. Elle sera chargée de faire le suivi et la vulgarisation sur le terrain. Il est prévu une sortie hebdomadaire pour conseiller et instruire l’agriculteur. La commission recommande le respect de la rotation, de l’assolement et du traitement. Comme elle déconseille aux fellahs de jeter les tubercules endommagés et les restes de végétaux atteints de mildiou. Il faudrait les incinérer pour éviter les foyers primaires pour la prochaine plantation. Le laboratoire de l’INPV de Mostaganem est actuellement en train de faire des analyses méthodologiques des aires destinées à la pomme de terre de multiplication. Dans une quinzaine de jours, l’INPV fera des analyses bactériologiques sur les semences de provenances de l’étranger. L’année dernière, 80% des analyses bactériologiques des semences en provenance de l’étranger, avaient subi des analyses au laboratoire de l’INPV. En marge de notre entretien avec le directeur de l’INPV sur le mildiou, nous avons assisté à la réunion ordinaire de la Chambre d’agriculture qui a regroupé l’Association des professionnels de la pomme de terre, les membres du conseil de la chambre pour mettre en exergue l’activité agricole et convaincre les fellahs à inscrire leurs fils au CFPA pour suivre des formations agricoles. S.B.

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 00:08

Une flambée qui va persister au moins deux mois, selon les spécialistes

La spéculation continue son bonhomme de chemin et les consommateurs assistent ainsi, impuissants, à la hausse des prix du poulet et des œufs qui sont respectivement à plus de 320 et 12 dinars.

L’offre de la viande blanche et de l’œuf s’avérant insuffisante depuis juin dernier, les prix de ces produits ont nettement grimpé, tout particulièrement ces derniers jours. Mais qu’est-ce qui explique cette flambée? Les professionnels mettent en avant la hausse des prix du maïs et du soja qui composent l’aliment de volaille. «Le quintal de ces produits est passé de 4.000 à 4.500 Da, et même plus», dira un aviculteur de Mostaganem qui explique: «En dépit de la cherté des intrants, le prix de la viande blanche était resté à son niveau pendant une longue période.

C’est cette situation qui a poussé le secteur à ne pas procéder à la mise en place du poussin de chair et du poussin dit d’un jour ou repro-ponte». Selon notre interlocuteur, «cet état de fait devait engendrer une augmentation du prix du poulet de chair et de l’œuf de consommation, devenus rares entre-temps». «L’offre a effectivement tant diminué et la demande forte dans la filière chair et œuf de consommation», dira-t-il en ajoutant que les prix de détail ne pouvaient ainsi qu’augmenter. Il y a lieu de signaler dans ce contexte que bon nombre d’aviculteurs ont changé d’activité à cause justement de la hausse des prix des intrants. Evidemment, le consommateur ne l’entend pas de cette oreille. D’aucuns estiment qu’il y a derrière cette flambée des prix une question de spéculation. Toujours est-il, il est quelques lueurs d’espoirs qui pointent à l’horizon. «S’agissant de la viande blanche, le prix pourrait se régulariser», nous dit-on, si toutefois la production du poussin de chair est soutenue, le poulet de chair devenant prêt à la consommation en 56 jours. Pour ce qui est de l’œuf de consommation, cela durera un peu plus longtemps car il faudrait que le poussin repro-ponte soit mis en place dans le bâtiment d’élevage où il doit passer au moins 4 mois avant d’être, ensuite, dirigé vers le centre de reproduction d’œufs. «Au départ, l’œuf produit par la poule pondeuse sera de petit calibre», souligne l’aviculteur qui explique qu’«il faudra attendre plusieurs pontes pour que l’œuf atteigne un calibre normal et soit commercialisé». Ce cycle de reproduction, long, laisse ainsi une grande période aux spéculateurs qui ne se gênent pas aujourd’hui de céder l’unité à 12 dinars, voire 13 dinars. Le retour aux anciens prix n’est donc pas pour demain. Signalons enfin que la baisse de la TVA à 7%, exclusivement à l’importation de l’aliment, n’a pas eu l’effet escompté, et ce, d’autant plus que le produit livré aux éleveurs est toujours assujetti à 17% de TVA.
S. Ben

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 00:08

A la grande satisfaction des fellahs, riverains du barrage de Oued Kramis, une enveloppe de 1,5 milliard de cts a été débloquée, pour assurer l’irrigation des 700 hectares agricoles, situés en contrebas de cet ouvrage hydraulique. Lors d’un entretien mené à bâtons rompus, avec le SG de l’UNPA, M. Touati Khamli et le chef de service hydro – agricole, relevant de la direction de l’Hydraulique de la wilaya de Mostaganem, M. Abdelkader Righi, on a appris que cette opération entre dans le cadre de la 1ère tranche d’urgence.

On saura ainsi que les fellahs de la commune de Ouled Boughalem ont bénéficié de 420 hectares, issus du périmètre global de cette 1ère tranche.
Le projet en question a été attribué à l’Office national d’irrigation et de drainage (ONID), spécialisé dans le domaine. Quant au périmètre irrigable, il est estimé initialement à 4.300 hectares, sachant que l’opération sera généralisée, après la mise en place d’autres structures destinées à cet effet. Les fellahs riverains exploitent, rappelle-t-on, en plus de l’arboriculture, de la culture maraîchère.
Pour rappel, la capacité théorique du barrage de Oued Kramis est de 45 hectomètres cubes, pour un volume régularisé de 25 hectomètres cubes. Pour information, en jargon hydraulique, un hectomètre cube (hm3), correspond à un (1) million de mètres cubes. Quant à la surface inondée visée, elle est estimée à 330 ha, pour une superficie irrigable de 4.300 ha.
Dans le même sillage, 15 hm3/an sont réservés à l’irrigation et 10hm3/an à l’alimentation en eau potable des habitants du Dahra, recensés dans ses 11 communes, apprend-on.
Suite aux dernières intempéries, le barrage de Oued Kramis, qui est situé dans la commune de Nekmaria, relevant de la daïra de Achaâcha, dispose actuellement de 24 millions de m3 d’eau. Quant au chef-lieu de daïra, il vient de bénéficier d’un réservoir de 5.000 m3, destiné à stocker l’eau potable provenant du même barrage. Cela permettra de soulager la demande exercée sur l’ancien réseau d’AEP et dont les travaux de rénovation sont en cours au niveau des différentes communes de la daïra de Achaâcha et où le taux d’avancement est estimé à 60%.
Ainsi espère-t-on en finir avec les citernes tractables, qui faisaient désormais partie du décor naturel de la région, surtout en période estivale.

Lakhdar Hagani

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16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 00:08

Mostaganem
L’association des malades de «spinabifida », représentée par son président et les médecins
neurochirurgiens affiliés, participera aux 24èmes journées de la neurochirurgie qui aura lieu, aujourd’hui et demain, à Oran. En marge des travaux de cette rencontre, il est prévu une
table ronde sur le spina-bifida. Selon le président de l’association mostaganémoise, le but de sa participation consiste à exposer le problème de la prise en charge défectueuse dans quelques hôpitaux et à trouver les solutions aux différents problèmes que rencontrent les malades atteints de
cette maladie. Il est à noter que cette participation est la première de son genre pour l’association en dehors de la wilaya de Mostaganem.
Tarik El-Yahyaoui

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16 novembre 2008 7 16 /11 /novembre /2008 00:08

ACHÂACHA
Un périmètre de 700 hectares entrant dans le cadre de l’opération de la tranche d’urgence du programme national sera irrigué dont 420 ha relevant de la commune de Ouled Boughalem dans la daïra de Achâacha. Le projet a été confié à l’Office national d’irrigation et drainage pour une enveloppe de 1,5 milliard de centimes, nous affirment messieurs Raghi Abdelkader, chef service hydro-agricole de la direction de l’Hydraulique, et Khamli Touati, secrétaire général de l’UNPA de Mostaganem. Cette opération a été concrétisée grâce à l’apport de madame le Wali, souligne notre source, en attendant l’irrigation de toute la superficie initialement à 4.300 hectares. Pour ce qui est des paramètres techniques de Oued Kramis, le barrage est constitué d’un bassin versant de 300 km² et d’une digue d’une hauteur de 48,00 m. Le volume total de la retenue est de 45 hm3 pour un volume régularisé de 25 hm3. La surface inondée est estimée à 330 ha et la surface irrigable est de 4.300
ha. Pour ce qui est de l’impact du projet, on apprend qu’une mobilisation de 10 hm3/an est affectée à l’alimentation en eau potable du Dahra et 15 hm3 à l’agriculture.

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