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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 00:05

par Ayache Djamel
L'AFS, l'Allocation forfaitaire de solidarité destinée aux personnes âgées, est passée de 1.000 DA à 3.000 DA par mois, avons-nous appris à la direction de l'Action sociale de la wilaya. Pourra bénéficier de cette allocation, toute personne âgée de 60 ans et plus ne bénéficiant d'aucun revenu y compris celui du conjoint. La catégorie ciblée peut jouir aussi d'une couverture sociale médicale en particulier, selon notre interlocuteur. Des centaines de personnes âgées sans revenu sont souvent confrontées à de pénibles conditions de vie, à Mostaganem et dans d'autres villes du pays.

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 00:05

Le derby de la région du Dahra entre le Mouloudia de Hadjadj et l’Ittihad de Sidi Lakhdar s’annonce
palpitant. Après avoir affronté le Chabab de Sidi Ali, les Khloufis feront un court déplacement du côté de Hadjadj où l’attend le Mouloudia local qui s’améliore de match en match et ce après le retour de Kendouci Aïssa. Difficile d’émettre un quelconque pronostic pour cette rencontre entre deux teams qui se connaissent bien.
Souhaitons que les deux galeries soient fair-play avant tout, quel que soit le résultat final.
A. A.

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 00:05

Un énième test attend le Feth de Abdelmalek Ramdane, le dauphin du groupe. Son prochain déplacement à Oued Djemaâ doit être pris ausérieux et bien négocié car le faux pas n’est pas permis. Le coach trouvera-t-il la tactique idéale pour ne pas retourner bredouille à « Ouilis « ? Et, Mamhout, le dernier rempart l’entendra-t-il de cette oreille ?
par A.A

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 00:05

Les légumes étant trop chers : Ruée sur les blettes (selk) et la mauve (khobbiz)

Selon un fellah admiratif, rencontré du côté de Oued Khrouf, non loin de Sig, la mauve sauvage (khobbiz) et les blettes (selk) sont les seules plantes, avec l’ortie sauvage (harrig), à avoir profité de ces quatre longs mois d’intempéries, pour se développer avec une telle vigueur, à travers la région des Béni-Chougrane.


Il suffit d’ailleurs de faire un tour du côté des vergers et autres champs agricoles exploités ou non dans les campagnes de Bouhenni et de Moctaâ Douz, pour s’offrir un fantastique spectacle verdoyant, composé des trois plantes sus nommées et atteignant parfois la hauteur impressionnante de près d’un mètre. Cette profusion de plantes vivaces aura contribué à faire des centaines d’heureux parmi les jeunes chômeurs résidant dans les agglomérations voisines.
En effet, ces derniers en ont profité pour faucher à bon compte des dizaines de bottes de blettes (selk) et des hectares de mauve (khobbiz pour les uns ou bkoul pour les autres), et dont les bottes sont allées garnir les étals de marchés. Ceci au grand bonheur de la ménagère, qui ne sait plus quoi faire pour nourrir sa maisonnée, face à la flambée des prix que subissent la plupart des étals de ces marchés. D’ailleurs, bon nombre de familles se sont approvisionnées auprès de ces jeunes venus écouler leur «moisson», au bas des immeubles des cités urbaines, à raison de 10 dinars la botte, certains ayant même cassé les prix pour les descendre à 5 dinars les deux bottes, tellement l’offre dépassait de loin la demande. Ah si nos producteurs de légumes pouvaient en faire autant...

S.M. Farès


La pomme de terre affame et l’oignon fait pleurer les consommateurs

Pénurie ou… spéculation sur les prix ?

Qu’il pleuve ou qu’il vente, rien ne semble arrêter les spéculateurs, qui gardent bien au chaud leur pomme de terre et oignons, dont leurs hangars sont pleins à craquer et nullement réfrigérés, puisque c’est le rude climat du Sersou qui s’en charge.

C’est ainsi que les spéculateurs arrivent à maintenir la tension sur les marchés et sur les ressources des consommateurs. Les chambres froides construites et subventionnées par l’Etat, à l’effet de réguler le marché des légumes, n’ont pas tardé à se vider de leurs contenus, pour laisser les spéculateurs organiser d’importantes fluctuations des prix suivies de pénuries alarmantes. Sur les marchés de la région, tous les légumiers se disputent le terrain de l’arnaque et profitent de la moindre ondée pour s’acoquiner avec les gros intermédiaires, appuyés par certains agriculteurs complices. C’est ainsi que la pomme de terre et l’oignon, pour ne citer que ces deux produits de base, sont cotés aux prix forts, tant sur les étals de marchés que sur les plateaux des charrettes, dont les conducteurs utilisent de surcroît des balances non conformes aux normes de l’office national de métrologie légale (ONML). Indignés par toutes ces hausses cycliques, les consommateurs y voient une désertion intolérable des pouvoirs publics, dont la faiblesse livre leurs administrés en otages à la mafia du libéralisme sauvage. Pour justifier la pénurie, pseudo mandataires et agriculteurs se sont tous mis sur la même longueur d’onde, imputer aux intempéries l’accès difficile aux récoltes attendues. Pour certains légumiers avertis et très aux faits des combines, cet air connu et rabâché ne sert qu’à camoufler «le stockage en lieu sûr des produits mis au compte-gouttes sur les marchés».

B. Kacem


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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 00:05

Un expert international, Abdelmalek Seraï, met en garde contre le retour du monopole

Cinq privés nationaux s’emparent de 25% des crédits bancaires

Abdelmalek Seraï, expert et consultant international, a mis en garde contre le retour du monopole d’un tout autre ordre où cinq privés nationaux détiennent, à eux seuls, 25% des crédits bancaires alloués en guise de soutien et de mise sur rails des regroupements d’entités en qualité de grands champions industriels.


Selon ses propos, «cinq grandes entreprises privées se sont accaparées ces dernières années de 25% des crédits» destinés au secteur privé. «Il s’agit d’un chiffre aussi important que dangereux car il met cause la démocratisation des outils de financement à l’économie», avant d’appeler à «une démocratisation dans la distribution du financement». Chiffres à l’appui, l’expert estime que 600.000 micro- entreprises et quelque 3 millions d’Algériens attendent d’avoir des crédits. Intervenant avec d’autres experts économiques au cours d’une table ronde au centre de presse El-Moudjahid, Seraï souligne que depuis 1986, environ 2.500 dossiers d’investissements ont été bloqués pour des raisons bureaucratiques et rejetés par des banques. Pour lui, il n’est pas question de revenir aux grands groupes publics tombés en faillite et répéter le scénario-catastrophe avec les groupes privés.
D’ailleurs, le consultant international s’interroge sur le silence pesant de la Banque d’Algérie concernant la distribution des gros crédits au moment où des jeunes ménages croulent sous le poids de l’endettement. Certes, souligne-t-il, l’évolution du secteur privé est favorable avec un ratio de volume global des crédits passant de 17,6% en 2004 à plus de 23% en 2008. Mais, il a averti contre la crise des crédits chez les jeunes couples, si l’Etat ne tente pas de rectifier le tir en injectant un aspect moral dans la politique du crédit.
De son côté, Mustapha Mekidèche, économiste et vice-président du CNES, a passé sous scanner les problèmes structurant l’entreprise algérienne et les obstacles dressés contre elle par son entourage. Il estime que les grandes questions relatives au secteur privé sont actuellement identifiées.
Il cite, notamment, des contraintes liées à la structure de l’entreprise algérienne qui s’agrippe au statut familial au lieu d’une SPA et une incapacité à intégrer le marché obligataire, donc contracter des crédits longs ainsi que des taux d’intérêt débiteurs de 8 à 9%, les plus élevés au monde.
Il s’agit, également, de la dispersion de l’énergie en termes de représentativité syndicale. «L’entreprise privée ne peut pas défendre ses intérêts avec 7 ou 8 organisations patronales. On a besoin, par contre, d’un mouvement patronal unifié pour peser dans les choix économiques et dans la prise de décisions», rétorque le vice-président du Conseil national économique et social.
S’y ajoute, d’après lui, la structure des banques qui sont de type commercial et non pas d’investissement. Pour l’économiste, il faut mettre moins de contraintes d’éligibilité aux crédits. Interrogé sur la sortie de secours de l’économie rentière qui paralyse les initiatives et l’entreprenariat privé, M. Mekidèche reconnaît qu’on est otage du syndrome hollandais. «On a tué les entreprises d’engineering à très fortes potentialités locales pour se retrouver à la merci de la rente et du clientélisme», s’est-il indigné. Il propose, et en urgence, la stérilisation d’une partie de nos avoirs pétroliers comme ça été fait dans les grands travaux d’infrastructures. Mais également de mettre en place une politique de l’offre d’entreprise, avec le soutien des grands capitaines d’entreprises, qui tirera dans son giron une agrégation de PME.  
 
Développer un tissu de sous-traitants nationaux
Pour sa part, Zaïm Bensaci, président du Conseil national consultatif pour la promotion de la PME (CNCPME), après avoir ausculté le secteur privé, notamment celui des PME, plaide pour le développement d’un tissu de sous-traitants nationaux pour relancer l’entreprise privée. Avec, en appui, la définition d’une stratégie pour le développement de la PME devant la placer comme fer de lance de l’économie.
Le premier responsable du conseil de la PME ne comprend pas comment se fait-il qu’on a créé des organismes comme le FGAR et la caisse de garantie, alors que 80% des dossiers d’investissements garantis par le Trésor ont été rejetés par les banques. Avouant, au passage, l’existence d’une somme d’obstacles au financement bancaire et du foncier ainsi que les importations sauvages. «L’Algérie n’est pas un dépotoir de produits asiatiques et arabes», lâche le président du CNCPME. A l’adresse des sociétés étrangères installées en Algérie, Bensaci dira que «ceux qui viennent commercer, on n’en veut pas ! On a besoin de vrais partenariats gagnant-gagnant».
Dans un ton critique, il fustige les banques étrangères ayant réalisé des bénéfices considérables, mais ne consacrent aucune part pour les projets d’investissements. «Il faut que ces banques s’impliquent dans le processus d’investissement au lieu de jouer aux tiroirs-caisses», a-t-il martelé.
Enfin, le représentant de l’ABEF recense 17 banques et établissements privés parmi 27 existants. Selon lui, le financement bancaire au secteur privé de 2003 à 2007 est passé de 42 à 55%, dont 98% des crédits sont alloués par les banques privées au secteur privé tout en reconnaissant certaines contraintes liées à la transparence fiscale, au management et à la gestion des risques par les banques.
«Il y a, aujourd’hui, une distorsion entre les entreprises qui ont besoin de crédits et les banques qui disposent de surliquidités». En bref, le représentant de l’association des banques et des établissements financiers préconise une approche pédagogique dans la bancarisation de l’activité informelle qui représente plus de 17% en termes d’emplois et 13% du PIB. Et propose des textes d’application des mesures du Premier ministre concernant l’encadrement des IDE, la rationalisation des dépenses et l’assainissement des importations et du commerce extérieur.

Abed Tilioua

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 00:05

Vendredi 06/02/2009 à 15h
Achaâcha : ..........................................................FCB Achâacha - AS Mostaganem
Mostaganem : ........................................................ MC Mostaganem - WRB Mesra
El-Haciane: ........................................................ IRB El-Haciane - ARB Kheireddine
Oued El-Kheir: .................................................................. IRBO El-Kheir - CB Sour
Louza : .......................................................................... JS Louza - JSOB Djebabra
Sayada : ......................................................................... CRB Sayada - UG Sidi Ali
UPS Belhadri - Exempt

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 00:05

La Journée internationale de la protection des zones humides a été instituée le 2 février 1997, après avoir été débattue en Afrique du Sud, à Johannesburg, en 1971, année réservée aux zones humides et sur la manière de les gérer. La célébration de cette journée intervient pour répondre aux orientations de la conférence de Johannesburg et également pour renforcer la Convention internationale sur la protection et la préservation des zones humides, reconnue par la Convention «Ramsar», laquelle a été approuvée en Iran par 119 pays en 1971.
Cette convention a pour objectif de protéger les zones humides dans le monde, englobant 6% de la surface du globe terrestre et représentant plus de 1.000 zones. Aussi, l’exploitation durable de ces ressources est inhérente à la préservation et à la protection des marécages. Actuellement, des études et des recherches sont en cours pour dynamiser la stratégie internationale de nombreux pays pour la protection des zones humides avec la coopération des instances gouvernementales et des ministères.
Certains pays, parmi lesquels la Chine, vont mettre, à partir de 2010, à la disposition de l’instance internationale 50% de zones humides naturelles et 70% de zones humides principales, pour éviter l’amenuisement de la superficie et maîtriser ses fonctions.
En 1997, au cours de la célébration de la journée internationale, les instances gouvernementales et non gouvernementales et la société civile ont organisé plusieurs activités pour sensibiliser la société de l’importance, sur le plan écologique, des zones humides qu’il faut protéger. L’Algérie est concernée par la convention puisqu’elle possède 48 zones humides, ce qui lui permet de se classer à la 3ème place en Afrique et à la 8ème dans le monde. Ce faisant, notre pays a inscrit une politique spéciale pour ses zones réparties à travers plusieurs wilayas, à l’image de la zone de Macta qui occupe une superficie de 23 000 hectares, s’étendant sur trois wilayas (Oran, Mascara et Mostaganem).
Selon, le représentant des forêts, une carte a été établie et transmise à la Direction générale des forêts pour intégrer cette zone et lui donner une importance particulière en vue de protéger les oiseaux migrateurs et autres espèces animales vivant dans cet espace naturel.
S.B

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 00:05

Dans le cadre du développement de l’agriculture dans la région de Sidi Lakhdar qui reste désormais à vocation agricole, la subdivision des services agricoles a dores et déjà mis en exécution le contrat de performance relatif au renouveau économique de ce secteur qui consiste en l’amélioration du rendement de la production agricole, tous créneaux confondus, allant de la viticulture, du maraîchage jusqu’à l’arboriculture et l’élevage des différents cheptels.
Ce fameux contrat de performance déjà signé en janvier 2009, pour permettre aux services techniques agricoles constitués d’ingénieurs et de techniciens agronomes, de se manifester pour apporter leur aide et leur savoir-faire en la matière.
Le responsable de la circonscription de Sidi Lakhdar, a déclaré qu’ils augmenteront, voire hisseront le niveau économique et social des exploitants agricoles relevant des EAC d’un effectif global de 260 fellahs et des EAI avec 400 exploitants, ainsi que 800 autres relevant du privé. Il y a lieu de signaler environ 7 retenues collinaires d’une capacité de 4.500 mètres cubes chacune, destinées essentiellement à l’irrigation des différentes cultures de la région, entre autres le vignoble, les arbres fruitiers et le maraîchage.
Pour l’assurance de ce nouvel aspect économique et social, les services techniques de Sidi Lakhdar sont à pied d’oeuvre pour l’organisation de journées de vulgarisation et la multiplication de séances
de démonstration effectuées à travers la région, pour inculquer des conseils aux exploitants, allant de la préparation du sol jusqu’à la production.
 L.Benharrat

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 00:05

Pas moins de 1.942 postes d’emploi contractuels ont été créés au cours de l’année dernière
au profit des demandeurs. A l’occasion, 150 universitaires ont été recrutés à des postes d’emploi permanents dans différentes administrations et entreprises.
Le directeur de l’Action sociale a révélé qu’une rencontre sera organisée avec la direction régionale de la DAS à la mi-février pour une mise au point avec cette administration (la DAS). «Toutes les données vont être étudiées; c’est-à-dire ce qu’on a présenté et réalisé durant l’année 2008, et ce, en vue de demander ce dont nous avons besoin sur le plan social, notamment l’emploi en 2009", a
déclaré notre interlocuteur. «Aussi, 1.100 pensions spéciales ont été octroyées aux diplômés des universités, grandes écoles et des instituts», a-t-il conclu.
 S.B

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 00:05

Voilà une belle affiche, qui mettra aux prises le Chabab de Sidi Ali et le Zidoria de Témouchent.
A priori, cette rencontre paraît à l’avantage des protégés de Biba, auteurs d’une belle prestation à
Tlemcen face l’ICST local, la journée écoulée. Mais, les Témouchentois, possédant la meilleure défense du groupe avec, seulement, 6 buts encaissés, ne viendront pas à Sidi Ali pour faire du tourisme. Pour vous dire que cette partie est difficile pour les deux équipes.
Amara Abdelkader

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