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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 00:06

L’agence locale de l’emploi, appelée communément bureau de main-d’oeuvre de Sidi Ali, a enregistré 4.082 chômeurs. Dans cette optique, des opérations de sensibilisation au profit des jeunes sont par moments organisées pour que les demandeurs d’emploi s’inscrivent et déposent leur dossier.
Une fois le dossier déposé au niveau de l’agence, le demandeur d’emploi confirme son inscription tous les 6 mois. Selon l’agence, précise-t-on, les jeunes sont inscrits à l’agence de l’emploi, mais certains parmi eux ne se présentent pas. Ainsi, la non confirmation de leur
inscription demeure pour l’agence de l’emploi un handicap pour l’opération de recensement des
jeunes demandeurs d’emploi. L’agence de l’emploi de Sidi Ali a offert au marché local de l’emploi, à travers les dispositifs et l’AIG, 139 emplois aux jeunes qui travaillent dans les entreprises publiques et privées dans le cadre de la politique de l’emploi.
S.B

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 00:06

Le spécialiste et expert M. Adda Benallou a révélé une formule de substitution de l’aliment pour la production animale importé, notamment le maïs et le soja, par la mélasse. Ce produit issu du sucre testé par un expert africain a donné des résultats probants dans l’engraissement animal.
La mélasse, donnant l’énergie calorifique, et la matière appelée Loria constituée de protéines, mélangés avec la ration alimentaire facilitent les capacités génétiques de l’animal.
Malheureusement, ces expériences restent inexploitées sur le terrain. M. Benallou enchaînera sur la problématique de l’aliment de substitution tel que le gland de chêne à la place du maïs et du soja pour réduire la facture des produits pouvant être remplacés par l’aliment local. Ces expériences attendent leur application sur le terrain pour faciliter la production animale et végétale pour le développement de l’agriculture. S. B.

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21 janvier 2009 3 21 /01 /janvier /2009 00:06

Le Chabab de Sidi Ali, en net regain de forme, recevra sur son terrain mascotte un solide client, en l’occurrence le Machaâl de Sidi Chami, dans une rencontre difficile pour les deux équipes. Cependant, les coéquipiers de Kadar auront l’avantage d’évoluer devant leur nombreux et fidèle public, qui sera leur douzième homme. Quant aux coéquipiers du buteur de l’équipe Medjeber, ils se déplaceront à Sidi Ali pour défendre leur place de dauphin.
Amara Abdelkader

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20 janvier 2009 2 20 /01 /janvier /2009 00:06

par H. B.
Au courant de la semaine écoulée, une voiture de marque Pecanto a été volée de Sidi Lakhdar alors que son propriétaire a été agressé et ligoté au niveau de la région de Petit Port. Samedi dernier, ledit véhicule a été retrouvé par les services de sécurité au niveau d'un parc de la ville de Mohammadia et a été restitué à son propriétaire.

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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 00:06

Tout cerveau qui s'exile est un assassinat : Lettre ouverte de Yasmina Khadra à M. Belkhadem

par Yasmina Khadra

Il existe un miracle en chaque chose, M. Belkhadem. Le miracle de réussir là où d'autres ont échoué. Le miracle de démissionner quand on ne peut plus rien donner... Voyez-vous ? Il suffit de le vouloir.

Vos propos concernant les harraga, ce nouveau fléau qui dépeuple nos rues, nos chantiers, nos stades, notre jeunesse, sont irrecevables. Un responsable politique a des obligations et des problèmes à résoudre. Il a aussi le droit de rendre le tablier s'il a conscience de son inutilité. L'Algérie n'est pas un fief de rentiers, encore moins une sinécure. Elle est une Nation, un Peuple, un Destin, et exige un maximum d'engagement et d'abnégation. Il s'agit de la servir, et non de l'asservir. Il s'agit d'efficacité et non de privilèges. Il s'agit de sacrifices quotidiens, de transcendance permanente et de concertations tous azimuts, car il arrive parfois aux divergences de nous éveiller à nos erreurs et à l'apport inestimable des opposants. Un discours n'est solvable que lorsque ses répercussions sur le terrain sont payantes. Il ne suffit pas d'occuper une tribune pour dominer son monde, encore faut-il le convaincre, parvenir à lui mettre la main à la pâte et le mener au bout de l'ensemble des défis que l'on est supposé relever.

Or, le constat est désespérant. Comment peut-on sévir contre une jeunesse effroyablement désenchantée alors qu'il est question de la sauver de l'ennui en train de la chosifier ? Comment ose-t-on jeter en prison de jeunes gens qui ont choisi de risquer leur vie au large de la mer plutôt que de continuer de moisir au pied des murs défigurés ou à l'ombre des cafés sinistrés ? Depuis quand les geôles sont-elles des cures thérapeutiques, un antidote, une panacée ? Incarcérer les Harraga est un non-sens, une absurdité, un traitement contre-nature.

Cela dénote de l'inaptitude de nos responsables à s'assumer, préférant faire porter le chapeau à ceux-là mêmes qui ploient sous d'intenables carcans - Il n'est pire cruauté que de faire, des souffre-douleur, des boucs émissaires !...

L'Algérie est un paradis, M. Belkhadem ; un paradis dont les rêves sont ailleurs ; ce qui pousse des milliers d'adolescents à sauter dans des embarcations de fortune pour aller à leur recherche parmi les naufrages mortels et les insolations irréversibles. Aucune nation ne peut avancer sans mythes et aucune jeunesse ne peut forcir sans idoles. Qu'avons-nous fait de nos mythes et que sont devenues nos idoles dans cette quête névrotique de l'enrichissement suspect qui a fait de nos maires, de nos walis, de nos députés, de nos sénateurs, enfin de l'ensemble de nos faiseurs de société des faiseurs de désillusions ?... Le miracle existe, M. Belkhadem. Il suffit d'y croire. Or, il nous semble que nous avons perdu la foi en toute chose dans ce pays où la lucidité, le souci des autres et la conscience citoyenne se sont mus en slogans blancs. Notre jeunesse ne demande pas ; elle exige de nous que l'on assainisse ses lendemains en lui proposant des projets concrets, un devenir fiable, des repères probants, bref une vraie feuille de route reposant sur un programme clair et réalisable. Elle ne demande pas la lune, mais une place précise dans sa patrie, et un rôle à même de l'enthousiasmer et de la mobiliser autour d'une ambition légitime. Elle réclame du travail, des débouchés, une formation adéquate, du respect surtout, et la confiance sans laquelle aucune mission n'est envisageable. Son problème, qui semble échapper à nos responsables, est simple : elle veut vivre décemment, dans son pays ; elle veut retrousser ses manches et contribuer à l'aboutissement d'un idéal sain et ragaillardissant. C'est parce qu'elle ne sait plus où donner la tête qu'elle confie, chaque soir à l'heure où la mer s'apaise, son destin à une boussole pipée ou un passeur suicidaire... Notre jeunesse souffre, M. Bekhadem. Elle a épuisé toute sa patience, toutes ses prières et tous ses ras-le-bol.

Elle est laminée, lessivée, dévitalisée et n'éprouve plus le besoin de survivre à son désarroi grandissant. Et si elle ne fait plus confiance à vos promesses, c'est parce que vous ne les avez jamais tenues.

C'est parce qu'elle refuse de céder à la violence, parce que les maquis intégristes ne constituent plus un territoire raisonnable des revendications élémentaires, qu'elle préfère offrir ses ultimes espérances aux poissons et à la furie des flots. Aussi est-il urgent d'arrêter de la considérer comme une tare sociale ou une tracasserie politique et de se rendre compte combien son désespoir nous renvoie à nos incompétences et notre culpabilité. Tout Algérien qui meurt de malvie est un crime ; tout cerveau qui s'exile est un assassinat ; tout espoir qui s'éteint est une trahison et tout aveu d'impuissance de la part d'un décideur est une catastrophe. Alors, lequel des miracles choisir : celui de la rédemption ou bien celui de la démission.

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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 00:06

Les éléments de la Protection civile de la wilaya de Mostaganem ont découvert, durant la journée du vendredi, deux corps sans vie, suite à deux cas de suicide signalés au niveau du port de pêche de la Salamandre où la Protection civile a dû recourir à l’intervention d’une équipe de plongeurs pour la récupération d’un cadavre. Il s’agit, selon nos sources, d’une personne âgée de 26 ans et relevant de la commune de Ain Tedles. Quant au 2ème cas de suicide découvert au niveau de la forêt du douar El Wahla dans la commune de Sidi Ali, c’est celui du corps d’un jeune âgé de 26 ans qui a été trouvé pendu à un arbre.

Par L. B.

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19 janvier 2009 1 19 /01 /janvier /2009 00:06

M. Saïdi renvoie les deux équipes aux vestiaires.
Stade communal de Abdelmalek Ramdane, arbitrage de MM. Saïdi, Bensâada et Saïd.
Expulsion : Rabie (70') KRBH. But : Aïchouchi 69'
FCBAR : Khefif, Boudia A. (Boudia M. 61'), Zahaf, Touil, Mâamar, Mesrouk, Touaoula, Aïchouchi,
Senoussa, Chouachi (Bouchareb 50'), Goual. Entraîneur : Meguenni
KRBH : Chaker, Senani, Benadda, Rabie, Karim, Alioua, Abdallah, Benrane, Harrat, Rahal, Abed.
Entraîneur : Kerdal.
PAR A. KHOUSSA

Affichant de grandes ambitions et une réelle détermination à vouloir se réhabiliter devant son public, Abdelmalek Ramdane n’a pas trop attendu pour passer à l’offensive afin de trouver la faille dès le coup d’envoi. Mais, son adversaire du jour coriace et bien organisé sur le terrain, a pu contrecarrer toutes ses tentatives et a même inquiété, de temps à autre, l’arrièregarde locale. Malgré les efforts déployés par les gars de « Ouilis «, le score resta vierge jusqu’à la fin du premier half. De retour des vestiaires, les poulains de Meguenni se montrèrent plus dangereux et parvinrent à faire un pressing sur leurs adversaires mais sans pour autant inquiéter la défense
adverse. Ce n’est qu’à la 69' de jeu, que les locaux parviennent à secouer les filets par le biais de
Aïchouchi. Bien que menés au score, les visiteurs n’ont pas baissé les bras et failli remettre les pendules à l’heure par Abdallah, à la 80' et 87'. C’est sur un score (1-0)à l’avantage du « Feth « que

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 00:06

Sidi Lakhdar représentera la wilaya de Mostaganem
Quelque trente collèges ont participé au concours de wilaya de la meilleure chorale
Cette importante manifestation qui a duré trois jours au courant
de la semaine écoulée, a été organisée par la Direction de
l’Education et ce en application des directives ministérielles
relevant du département de la Culture. Chacun des groupes a
déclamé trois chansons relevant du registre patriotique dont
l’hymne national «Kassaman». La commission examinatrice qui
avait en charge d’évaluer les prestations des compétiteurs avait
retenu «Ya chahid el watan» comme deuxième chanson obligatoire
en plus de «Kassaman» et une troisième au choix. L’organisation
de ce concours a été confié à M.Meddah qui est responsable
du département culturel au niveau de la Direction de
l’Education de Mostaganem. Et c’est Sidi Lakhdar qui a été
classé comme meilleure chorale et représentera la wilaya de
Mostaganem au concours national qui se déroulera à Oued
Souf. Les cinq autres troupes parmi les meilleurs concurrents
participeront au prochain festival qui sera organisé à l’occasion
de «Youm El Chahid» à la Maison de la Culture Ould
Abderrahmane Kaki.
A présent, les préparatifs vont bon train quant à la préparation
du concours national, apprend-on de la directrice du CEM
de Sidi Lakhdar, Neghmouche Rahma qui rappelle que «c’est la
deuxième fois consécutive que la chorale de Sidi Lakhdar arrache
la première place du niveau de la wilaya».
Lakhdar Hagani

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 00:06

Suite au communiqué de presse, paru mercredi dernier, à l’intention du bâtonnier du barreau de Mostaganem, au sujet de la plainte pour diffamation déposée par Me Bourahla Med, avocat de son état et ancien député, contre le chef de bureau local de La voix de l’Oranie, l’association des journalistes et correspondants de Mostaganem a attiré l’attention du barreau de Mostaganem sur le refus de plaider, opposé par certains avocats. Devant cette attitude peu déontologique, le Bâtonnier délégué du barreau de Mostaganem, Me Mani Saâda, et Me Benkritli Sid Ahmed, avocat renommé dans les prétoires, n’ont pas caché leur stupeur à la lecture de ce communiqué. Selon eux, «aucun avocat n’avait demandé l’autorisation de plaider en faveur du journaliste de La Voix de
l’Oranie ni de celui du quotidien El Watan», soulignent-ils. «Il est de notre devoir de défendre tous les citoyens sans aucune exception ni parti pris», ont ajouté ces deux ténors du barreau de Mostaganem. Mieux, Me Benkritli Sid Ahmed et Me Mani Saâda ont décidé de prendre en charge, euxmêmes, le dossier du chef de bureau de La voix de l’Oranie, appelé à comparaître mercredi prochain devant le tribunal correctionnel de Mostaganem. A signaler que ce procès a été reporté, lors de sa première audience mercredi dernier, à la demande de l’intéressé qui a invoqué l’absence de sa défense et pour cause. Aucun avocat parmi ceux qu’il avait sollicités n’avait accepté de se constituer en sa faveur.
Lakhdar Hagani

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 00:06

Stade du premier novembre 1954, temps frais, public nombreux, service d’ordre et samu présents, arbitrage du trio, Boudaoud,
Bakhti et Fekkir . Avert: O/Khattab(MCBH).
Buts:Madouni 31'(MCBH) et Boutlilis 87' (CRBBB).
CRBBB: Ghenim, Amari, Belgacem,Bensalah ,Osmani(Lalout), Boutlilis, Bendris, Djeffal, Alili(Azzouz), Lazzouni, Senous(Mâarouf)-
Rempls: Kourrout,Ameur,Bekkari.Entr:louahla tarek.
MCBH:Benzekhami, Soltani, Belghachem ,Hamiche (O/Khattab), Zenaïni-B-(Moujeb) ,Tahri ,Belghazi, Madouni, Hemarid, Zenaïni-T-
,Bouhassoun. Rempls:Boudrahem, Boukhaloufa, Miloud, Brihmat, Boumeriche. Entrs:Kandouci et Namir.

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