SIDI ALI :
Le siège de l’ANEM est toujours fermé La protestation des jeunes chômeurs devant le siège de l'Agence nationale de l'emploi de Sidi Ali entre dans sa deuxième semaine. En effet, ces protestataires, qui ont obstrué l'entrée de cette structure dimanche passé, empêchent le personnel de regagner les locaux et ils réclament leur recrutement pour le projet de réalisation d’une station de traitement des eaux usées au niveau de la ville où les travaux viennent d’être lancés depuis un mois. Ces jeunes ont dénoncé le mode de recrutement de l’entreprise chargée de ce projet. Notons que ces jeunes ont déjà protesté devant le site de réalisation de cette station. Ces jeunes chômeurs ont précisé qu'ils ne mettront pas fin à leur action tant que les responsables concernés ne réagissent pas favorablement à leurs revendications.
F/K Mardi 11 Février 2014
A.H
Les habitants de la cité des 50 logements, relevant de la commune de Sidi Ali, réclament l’intervention des services techniques pour des actions de nettoyage de leur cité. En effet, dans une correspondance adressée au président de l’assemblée populaire communale, ces habitants demandent l’évacuation des eaux usées stagnantes au niveau de certains blocs de la cité, qui génèrent des odeurs nauséabondes et aident à la prolifération des insectes et des animaux rongeurs, ce qui constitue un vrai risque pour les habitants et en premier lieu les enfants. Ainsi ces eaux nuisent au sous-sol des immeubles. « On ne peut plus vivre dans cet entourage, et on ne supporte plus l’odeur nauséabonde insupportable et néfaste à la santé», nous indique un résidant. D’un autre côté, ces citoyens réclament aussi une autre poubelle dans la cité, car une seule, est insuffisante pour leurs déchets ménagers. Devant cette situation, les habitants lancent une autre fois un appel aux autorités concernées pour prendre cette situation regrettable en considération et intervenir pour améliorer leur cadre de vie, pour une cité plus propre et plus saine pour la santé et le bien-être des résidents.
F. K journal reflexion
A.H
Par Bernard Courtès
Stan Swietek est revenu en Algérie, en 2008, dans la partie ouest de L'Ouarsenis, au Melaab, « un plateau formant une cuvette, situé à 1 000 mètres d'altitude et constituant un important carrefour de communication ». C'est dans cette région qu'il était arrivé en mai 1959 pour y effectuer son service militaire. Affecté à la cellule Action psychologique de son régiment, il est alors au contact de la population qu'il apprend à connaître et à aimer. Libéré de ses obligations militaires en février 1960, il demande à revenir au Melaab, « malgré les réticences de ma famille », pour y enseigner. « L'accueil qui me fut réservé me conforta dans ma démarche », au point de s'y installer avec la jeune femme qu'il vient d'épouser, elle aussi militaire.
L'année scolaire suivante, en 1961-1962, il est affecté dans la plaine à Mazouna. Les événements se précipitant, le couple rejoint Mostaganen et le 4 juillet 1962, assiste au défilé de l'Indépendance. Après les vacances scolaires, les Swietek font le choix de revenir : « Nous ne voulions pas nous couper de la population. »
À la rentrée, la direction du collège et des écoles primaires de Sidi Ali (ex-Cassaigne) est confiée à Stanislas. Si les rapports n'ont pas toujours été faciles avec les nouveaux dirigeants de l'Algérie, les liens tissés durant toutes ces années et le travail effectué auprès des populations lui ont permis d'être reconnu et de pouvoir continuer sa mission.
« Ils n'avaient rien oublié »Le collège comptait un peu plus de 100 élèves en 1963. Cinq ans plus tard, l'effectif avoisine les 1 500 élèves et le collège est doté d'un internat et d'une cantine.
C'est finalement pour des raisons de santé que les Swietek quittent l'Algérie en juin 1968, pour rejoindre définitivement leur région d'origine, le Sud-Ouest.
Lui est revenu de l'autre côté de la Méditerranée quarante ans plus tard : « Les anciens élèves devenus instituteurs ou chef d'établissement n'avaient rien oublié quarante ans après, dans ce pays où mon épouse et moi avions vécu des relations humaines très riches, des montagnes de L'Ouarsenis au Dhara en passant par la petite cité berbère de Mazouna. »
Aujourd'hui, la région a bien changé, « le pays a évolué ». La cité de 8 000 habitants qu'il a connue compte aujourd'hui 36 000 habitants, deux lycées et quatre collèges.
Stanislas Swietek témoignera lors d'une conférence intitulée « J'étais en Algérie de 1959 à 1968 »,
A.H
journal reflexion
A.H
Net, clair et précis, se veut l’engagement du nouveau wali de Mostaganem, M. Maabed Ahmed, à propos de l’assainissement de l’administration de ses dysfonctionnements, de ses talitres et de son
mauvais sang. C’est du moins ce que laisse entendre son intervention, à l’occasion de la réunion d’hier au siège de la wilaya, devant les 10 chefs de daïras, les 32 maires, outre les directeurs
de l’exécutif, où il a martelé plus d’une fois, l’irréversible nécessité d’appliquer, sans exégèse, les nouvelles instructions du ministre de l’Intérieur en la matière. Ainsi, le premier
fonctionnaire de la wilaya s’est mis dans la peau du citoyen, pour faire son avocat, non sans exhiber l’épée de Damoclès à l’égard de tout contrevenant à cette nouvelle valeur requise à
l’administration pour une efficience dans le temps, l’espace et la manière, puisque l’Etat ne lésine aucunement sur les moyens physiques et les ressources humaines, soutient M. Maabed Ahmed. A
cet égard précis d’ailleurs, ce dernier est allé manifester avec beaucoup d’énergie, l’impératif sine qua none de l’administration à veiller à se doter d’espaces respectueux, d’outils conformes
pour répondre dans les meilleurs délais aux sollicitations des citoyens, comme au sujet des documents d’état civil entre autres CNI, passeports et aussi les fameuses cartes grises. Mieux, le
nouveau wali qui désire de l’administration un nouveau comportement, est allé aussi ausculter certaines incongruités des ressources humaines, pour sommer les responsables à mettre aux guichets à
la disposition du public, des employés dignes du sens de l’accueil et de l’information. En somme, toute un conduite qui est alors attendue. De quoi espérer ne plus voir nos compatriotes plier
l’échine pour parler au guichetier, comme l’on voit encore dans pas mal d’administrations
Ilies Benabdeslam Echo d'Oran
A.H
Photo de Nemir Abdelhakim merci pour votre travail
Un grand