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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 12:20
À l’instar de toutes les communes du territoire national, la commune de Sidi Ali dans la wilaya de Mostaganem, a procédé à la mise en service de l’opération du registre national de l’état civil automatisé. P260811 14.250002



En effet, les citoyens peuvent retirer l’extrait de leurs actes de naissance N° 12, auprès de la commune de résidence et dans n’importe quel service de l’état civil dans toutes les  communes de la wilaya et du pays, sans avoir à se déplacer vers la commune de son lieu de naissance. Il faut signaler que toutes les communes de la wilaya de Mostaganem ont  informatisé toutes les opérations techniques de mise en service du système de numérisation des registres de l'état civil afin d'améliorer la qualité des documents pour une meilleure prestation, rapide et efficace, au profit du public. Notons que cette initiative entre dans le cadre des nouvelles dispositions décrétées par le chef de l'Etat lors du dernier conseil des ministres relatives à  l'amélioration du service public, ainsi que la mise en place d'une administration transparente et efficace au service du citoyen. Cette opération qui est opérationnelle dans toutes les communes de la wilaya de Mostaganem va sans doute apporter beaucoup en matière de rapprochement citoyen/administration et ainsi créer un climat de confiance tant espéré, tout particulièrement, en simplifiant les procédures de délivrance de documents administratifs dans la plupart des 32 communes de la wilaya.
F/K (Journal reflexion)
A.H


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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 20:49

SIDI ALI :

Le siège de l’ANEM est toujours fermé La protestation des jeunes chômeurs devant le siège de l'Agence nationale de l'emploi de Sidi Ali entre dans sa deuxième semaine. En effet, ces protestataires, qui ont obstrué l'entrée de cette structure dimanche passé, empêchent le personnel de regagner les locaux et ils réclament leur recrutement pour le projet de réalisation d’une station de traitement des eaux usées au niveau de la ville où les travaux viennent d’être lancés depuis un mois. Ces jeunes ont dénoncé le mode de recrutement de l’entreprise chargée de ce projet. Notons que ces jeunes ont déjà protesté devant le site de réalisation de cette station. Ces jeunes chômeurs ont précisé qu'ils ne mettront pas fin à leur action tant que les responsables concernés ne réagissent pas favorablement à leurs revendications. 

F/K Mardi 11 Février 2014

A.H

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3 février 2014 1 03 /02 /février /2014 20:53

 Les habitants de la cité des 50 logements, relevant de la commune de Sidi Ali, réclament l’intervention des services techniques pour des actions de nettoyage de leur cité. En effet, dans une correspondance adressée au président de l’assemblée populaire communale, ces habitants demandent l’évacuation des eaux usées stagnantes au niveau de certains blocs de la cité, qui génèrent des odeurs nauséabondes et aident à la prolifération des insectes et des animaux rongeurs, ce qui constitue un vrai risque pour les habitants et en premier lieu les enfants. Ainsi ces eaux nuisent au sous-sol des immeubles. « On ne peut plus vivre dans cet entourage, et on ne supporte plus l’odeur nauséabonde insupportable et néfaste à la santé», nous indique un résidant. D’un autre côté, ces citoyens réclament aussi une autre poubelle dans la cité, car une seule, est insuffisante pour leurs déchets ménagers. Devant cette situation, les habitants lancent une autre fois un appel aux autorités concernées pour prendre cette situation regrettable en considération et intervenir pour améliorer leur cadre de vie, pour une cité plus propre et plus saine pour la santé et le bien-être des résidents.

F. K journal reflexion

A.H

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 20:53
« Je n'ai jamais voulu me couper de la population »

Stanislas Swietek, instituteur, a enseigné en Algérie avant et après l'indépendance.

Par Bernard Courtès

Stanislas Swietek participe aux journées Histoire France/Afrique du Nord.
Stanislas Swietek participe aux journées Histoire France/Afrique du Nord. (photo bernard courtès)

Stan Swietek est revenu en Algérie, en 2008, dans la partie ouest de L'Ouarsenis, au Melaab, « un plateau formant une cuvette, situé à 1 000 mètres d'altitude et constituant un important carrefour de communication ». C'est dans cette région qu'il était arrivé en mai 1959 pour y effectuer son service militaire. Affecté à la cellule Action psychologique de son régiment, il est alors au contact de la population qu'il apprend à connaître et à aimer. Libéré de ses obligations militaires en février 1960, il demande à revenir au Melaab, « malgré les réticences de ma famille », pour y enseigner. « L'accueil qui me fut réservé me conforta dans ma démarche », au point de s'y installer avec la jeune femme qu'il vient d'épouser, elle aussi militaire.

L'année scolaire suivante, en 1961-1962, il est affecté dans la plaine à Mazouna. Les événements se précipitant, le couple rejoint Mostaganen et le 4 juillet 1962, assiste au défilé de l'Indépendance. Après les vacances scolaires, les Swietek font le choix de revenir : « Nous ne voulions pas nous couper de la population. »

À la rentrée, la direction du collège et des écoles primaires de Sidi Ali (ex-Cassaigne) est confiée à Stanislas. Si les rapports n'ont pas toujours été faciles avec les nouveaux dirigeants de l'Algérie, les liens tissés durant toutes ces années et le travail effectué auprès des populations lui ont permis d'être reconnu et de pouvoir continuer sa mission.

« Ils n'avaient rien oublié »

Le collège comptait un peu plus de 100 élèves en 1963. Cinq ans plus tard, l'effectif avoisine les 1 500 élèves et le collège est doté d'un internat et d'une cantine.

C'est finalement pour des raisons de santé que les Swietek quittent l'Algérie en juin 1968, pour rejoindre définitivement leur région d'origine, le Sud-Ouest.

Lui est revenu de l'autre côté de la Méditerranée quarante ans plus tard : « Les anciens élèves devenus instituteurs ou chef d'établissement n'avaient rien oublié quarante ans après, dans ce pays où mon épouse et moi avions vécu des relations humaines très riches, des montagnes de L'Ouarsenis au Dhara en passant par la petite cité berbère de Mazouna. »

Aujourd'hui, la région a bien changé, « le pays a évolué ». La cité de 8 000 habitants qu'il a connue compte aujourd'hui 36 000 habitants, deux lycées et quatre collèges.

Stanislas Swietek témoignera lors d'une conférence intitulée « J'étais en Algérie de 1959 à 1968 »,

A.H

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 19:51
L’association des diabétiques de la wilaya de Mostaganem compte plus de 15000 diabétiques répartis à travers les associations implantées à Mostaganem, Sidi-Ali, Bouguirat et Ain Tédelès. Mme SABBAH présidente de l’association des diabétiques de la wilaya de Mostaganem ne cache pas ses préoccupations, quant à l’avenir des diabétiques qui rencontrent  beaucoup de difficultés. Le problème majeur réside dans la nécessité de l’urgence de la révision de la liste des médicaments octroyés aux malades chroniques dont les diabétiques.  Très souvent, le malade ne trouve pas son médicament prescrit et ainsi, il se trouve dans une impasse. Face à cette rupture, le malade démuni n’est pas pris en charge et souffre énormément de la lenteur enregistrée lors du traitement des dossiers au niveau de la DECAS et de la DAS. Et c’est dans ce contexte que  Mme SABBAH lance un appel aux autorités locales de bien vouloir venir en aide à cette frange de la société qui nécessite une prise en charge urgente. Notons  aussi, que l’association des diabétiques souffre du manque de local. Une  situation très préoccupante  pour les responsables de cette association  qui ne disposent pas d’endroit afin de stocker  les médicaments et les dons octroyés. Mme SABBAH lors de son intervention devant les diabétiques a insisté longuement sur l’importance du respect des horaires  relatifs à la prise  des médicaments,  profitant de cette occasion  elle a aussi donné  quelques conseils, aux malades, afin de clarifier certaines  maladresses à éviter afin que les conséquences négatives ne se répercutent pas sur la santé du diabétique. Rappelons dans cet ordre d’idées que le diabétique ne doit jamais venir seul chez le médecin. Il doit se déplacer accompagné de peur qu’il ne perde conscience. Le patient  ne doit pas mettre  ses médicaments dans le congélateur, pour éviter les complications, il ne doit pas oublier ses médicaments. Il doit strictement suivre les conseils de son médecin. La marche et le suivi du régime alimentaire sont des remèdes hautement efficaces à la protection du malade contre les graves conséquences du diabète.                   

 journal reflexion

A.H

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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 19:40
SUC40118
Inimaginable ! Quelle explosion de joie, après un mois de stress et d'angoisse. Les habitants de Sidi Ali  à l’instar de tous les Algériens sont sortis, juste quelques secondes après le coup de sifflet final de l'arbitre du match opposant l’Algérie au Burkina-Faso. Une qualification au  mondial, de l'équipe nationale au  Brésil 2014.Pour exprimer leurs exultations, les citoyens de Sidi Ali tous âges confondus se sont retrouvés à l’extérieur de leurs domiciles chantant et dansant. On a remarqué même des femmes perchées sur des balcons qui ont participé à cette joie indescriptible avec leurs incessants « You You ». Une liesse populaire extraordinaire qui n’a laissé personne indifférent. Concerts de klaxons et cris, animent la commune de Sidi Ali, les
supporters sont partis pour une nuit blanche. La fête a été incomparable organisée et improvisée par  des milliers de jeunes avides de ce genre de victoires décisives. Cité Med El Djebli , les Castors , cité 19 Mars , la cité verte  et surtout devant le siège de l’APC, au nouveau  rond point, ainsi qu’à la rentrée de Sidi Ali, tous ces quartiers et cités n’ont pas été épargnés par cette ambiance euphorique. Au milieu des fumigènes, les fans des Verts, arborant drapeaux, écharpes et maillots aux couleurs nationales, déambulent sur les différentes rues, Ils improvisent même des slogans. Des filles, des femmes, des jeunes, des hommes et même des vieux affluent encore de tous les quartiers de Sidi Ali ne voulant pas rater un tel événement qui nous rappelle l’indépendance Nationale. Munis de caméras et de téléphones portables sophistiqués, beaucoup de citoyens veulent immortaliser cette joie, filmant et prenant des photos souvenirs. Le spectacle durera toute la nuit, Sidi Ali ne fermera pas l’œil, une nuit blanche dans les rues pour fêter cette victoire tant attendue et l'un des plus grands moments de l'histoire sportive algérienne.                                                   


F/K journal reflexion
A.H
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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 19:14

Net, clair et précis, se veut l’engagement du nouveau wali de Mostaganem, M. Maabed Ahmed, à propos de l’assainissement de l’administration de ses dysfonctionnements, de ses talitres et de son mauvais sang. C’est du moins ce que laisse entendre son intervention, à l’occasion de la réunion d’hier au siège de la wilaya, devant les 10 chefs de daïras, les 32 maires, outre les directeurs de l’exécutif, où il a martelé plus d’une fois, l’irréversible nécessité d’appliquer, sans exégèse, les nouvelles instructions du ministre de l’Intérieur en la matière. Ainsi, le premier fonctionnaire de la wilaya s’est mis dans la peau du citoyen, pour faire son avocat, non sans exhiber l’épée de Damoclès à l’égard de tout contrevenant à cette nouvelle valeur requise à l’administration pour une efficience dans le temps, l’espace et la manière, puisque l’Etat ne lésine aucunement sur les moyens physiques et les ressources humaines, soutient M. Maabed Ahmed. A cet égard précis d’ailleurs, ce dernier est allé manifester avec beaucoup d’énergie, l’impératif sine qua none de l’administration à veiller à se doter d’espaces respectueux, d’outils conformes pour répondre dans les meilleurs délais aux sollicitations des citoyens, comme au sujet des documents d’état civil entre autres CNI, passeports et aussi les fameuses cartes grises. Mieux, le nouveau wali qui désire de l’administration un nouveau comportement, est allé aussi ausculter certaines incongruités des ressources humaines, pour sommer les responsables à mettre aux guichets à la disposition du public, des employés dignes du sens de l’accueil et de l’information. En somme, toute un conduite qui est alors attendue. De quoi espérer ne plus voir nos compatriotes plier l’échine pour parler au guichetier, comme l’on voit encore dans pas mal d’administrations
Ilies Benabdeslam Echo d'Oran

A.H

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11 novembre 2013 1 11 /11 /novembre /2013 18:59
LFW Mostaganem - Division Honneur (2e journée)
WRB Mazagran – MC Mostaganem ....................................2-2
IRB Ain Sidi Chérif – IRB O/El-Kheir ................................1-2
IRB El-Haciane – UG Sidi-Ali ..............................................3-0
CSH Mostaganem – UPS Belhadri ......................................1-0
MCB Stidia - FCB Abdelmalek Ramdane ..........................0-2
CR Kréchiche – CRB Sayada ................................................1-1
CB Sour – WRB Mesra: ............ NJ, absence de l’équipe locale
R Clubs Pts J G N P Bp Bc Diff
01 MCM 04 02 01 01 00 07 03 +04
02 IRBEH 04 02 01 01 00 03 00 -03
03 IRBOK 04 02 01 01 00 02 01 +01
04 WRBMes 03 01 01 00 00 03 01 +02
05 FCBAR 03 01 01 00 00 02 00 +02
06 UPSB 03 02 01 00 01 02 02 00
07 CSHM 03 02 01 00 01 01 01 00
08 UGSA 03 02 01 00 01 01 03 02
09 WRBMaz 02 02 00 02 00 03 03 00
10 CRBS 02 02 00 02 00 02 02 00
11 CRK 01 02 00 01 01 02 04 -02
12 MCBS 00 02 00 00 02 01 04 -03
13 IRBAS 00 02 00 00 02 02 07 -05
14 CBS - - - - - - - -
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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 16:43

Photo de Nemir Abdelhakim merci pour votre travail

SIDI-ALI-MON.jpg

 

Un grand

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6 novembre 2013 3 06 /11 /novembre /2013 15:48
DES RALENTISSEURS NON CONFORMES A HADJADJ : Des usagers de la RN 11 se plaignent
La pose de ralentisseurs, ou dos-d'âne, sur la voie publique doit obéir à certaines normes. En effet, une véritable anarchie caractérise ce dispositif, non seulement dans la ville de Mostaganem, mais au niveau de toutes les localités de la wilaya.



Une  solution facile ou un  moyen de prévention choisis et improvisé  pour éviter les accidents de la route et qui ne respecte aucune norme. En effet, la prolifération des ralentisseurs à chaque coin de rue, très utiles à la sécurité routière fait encore polémique car  les avis divergent à ce propos, contestés par les uns qui arguent que le nombre d'accidents de la route prennent toujours une  courbe ascendante. Après chaque accident, on  procède à l’installation des dos d’ânes chacun à sa manière une façon de  satisfaire et calmer les esprits des citoyens qui se manifestent en bloquant la route. C’est le cas au niveau de la commune de Hadjadj, relevant de  la daïra de Sidi  Lakhdar, après un accident survenu sur la RN 11, reliant  Hadjadj à son chef-lieu de daïra  où un enfant a été renversé par un véhicule, et qui avait été évacué dans un état grave aux services sanitaires de la région, pour une prise en charge. Dans ce contexte, les responsables concernés n’ont trouvé pour  solution que l’installation de ralentisseurs, ce qui n’apaise pas  pour autant les esprits qui se sont chauffés à cet instant. Des installations anarchiques de ces  dos-d'âne un peu partout qui dérangent les usagers de la route, car  ne répondant pas aux normes voulues, ce qui engendre  une situation qui demeure inchangée, face à l’absence de toutes mesures visant à réguler ce phénomène. Mal conçus, ces modérateurs ont des formes très variées, parfois ils sont soit trop hauts, soit  trop courts avec souvent des angles déformés ou pointus pouvant  causer des préjudices aux véhicules. Alors qu’un texte de loi réglementant la pose  de ces dos d’ânes existe. Mais qu'en est-il de son application sur le terrain ?  Par ailleurs, il faut signaler le chapitre destiné à  ce texte de loi et qui stipule que «toute implantation de ralentisseurs non autorisée par le wali territorialement compétent expose leurs auteurs aux sanctions prévues par la législation en vigueur». Une mesure qui ne semble pas du tout respectée, quoique  des transporteurs accusent les particuliers et les autorités de procéder à la pose de  ces modérateurs anarchiquement sur les axes routiers et dans des endroits non adaptables. Et voilà que les citoyens accusent à leur tour les automobilistes du non-respect du code de la route. 


F.K
ETAT DES FORETS DE MOSTAGANEM : Véritable catastrophe écologique


Une visite nous a permis de constater le danger permanent qui existe dans la forêt de Mostaganem, dont le point de départ est à partir du haut de la cité des citronniers et qui s’étend vers le littoral côté  Est du chef-lieu de la wilaya, un constat visuel qui donne le frisson face à toutes ces saletés qui constituent des dépotoirs , ces tessons de bouteilles de vin, ces débris de verre brisés, ces feuilles mortes, et ces restes de plastiques qui ne sont malheureusement pas dégradables et qui risquent de s’éterniser dans ces lieux sensés aérer l’atmosphère de la ville déjà polluée par l’homme lui-même, qui contribue à une véritable montée de la pollution atmosphérique dont des conséquences occultes, difficiles à repérer et détecter seront destructibles pour la biodiversité naturelle et la santé, ainsi que l’apport nutritionnel de l’être humain, l’animal, ainsi que les plantes. Ces endroits privilégiés de la nature sont hélas menacés par les  risques permanents d’incendie, ainsi que l’érosion du sol, de  l’augmentation des ordures qui provoqueront une déforestation si un plan de prévention et d’intervention nécessaire ne sont  pas mis en place nécessitant une vigilance accrue par des gardes forestiers se relayant jours et nuits. Ce massacre constaté est le résultat de quelques inconscients qui ne mesurent pas la gravité et l’énormité de la catastrophe écologique, par leurs comportements inciviques et irresponsables, dont des délinquants et des ivrognes qui trouvent leur bonheur dans ces endroits privilégiés. Et  c’est à cet effet que les autorités concernées doivent prendre en  considération ces constats et qui ne contribueront qu’à nuire le patrimoine forestier, véritable réserve d’oxygène qui nous permet d’exister.    

B.Adda
J.reflexion
A.H
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