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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 00:05

par Un Témoignage De B. Zoubir Une fois n'est pas coutume, j'avais décidé de parcourir un Oran-Alger et retour en voiture. Une manière d'échapper aux retards des avions et aux attentes des aéroports avec leur lot de fouilles et de bagages ouverts contre ma volonté. Une envie de goutter à la normalité d'un voyage et de m'imprégner de la profondeur des paysages et renouer un tant soit peu avec la simplicité de la vie.

Dans d'autres contrées, un 400 Km aller-retour est un jeu d'enfant et à lui seul, un moyen parcours de cette taille, peut dénoter le degré de progrès auquel le pays est arrivé.

L'aller fut agréable, n'était-ce cette partialité incompréhensible des barrages de gendarmerie qui arrêtent, semble-t-il, au pif mal inspiré, des voitures et cette manie de gêner la circulation alors que leur mission première est de veiller à sa fluidité. Une présence tapageuse que n'expliquent pas le nombre astronomique d'accidents, ni même la situation sécuritaire du pays. Mais un pays que l'on apprend, cependant, à aimer de nouveau, quand on emprunte le tronçon d'autoroute déjà ouvert entre Aïn Defla et Alger. Un pur régal et l'automobiliste que je suis, trouve là un motif de ravissement, me disant que s'il n'y avait qu'une seule raison pour soutenir le président Bouteflika, j'avais là, dans cet instant de délectation, une preuve sérieuse de satisfaction. Mes sourdes réflexions me demandaient pourquoi avoir attendu tant d'années, et fallait-il que le temps implacable n'autorise les bienfaits des autoroutes que maintenant? Pourquoi la construction de l'aéroport d'Alger est restée en souffrance pendant plus de 25 ans?
Il y avait, chez moi, souvent des moments de dépits quand il m'arrivait d'emprunter les trajets routiers européens, toujours nourri par cette indétachable manie de comparer mon pays avec des puissances plus huppées. Où donc était située cette grande différence de développement, me suis-je interrogé, oubliant que l'indépendance d'un pays était aussi une rupture de rythme de vie sociale et économique et une grande fracture culturelle. Une sorte de renaissance ou de naissance, produit d'un accouchement difficile à la césarienne qui donne le jour à une société pas toujours indemne de tares et de malformations.
Mais alors, faudrait-il croire que le 5 Juillet 1962, l'Algérie est sortie du néant à la vue de ce retard et que la transmission du peu de savoir-faire de l'époque avait été jetée à la poubelle par la fierté ou la gabegie démesurée des premiers gouvernants? L'équation n'est pas aussi simple et mène tout droit à la vision restreinte et aux jugements tout faits et erronés des premiers dirigeants algériens et de ceux qui les ont suivis et pourrait aboutir dans une salle d'un tribunal d'exception où des générations entières de petits et grands coupables seraient jugées. Enfin!
Je l'ai eu mon autoroute quand même! Avec un aéroport de standing international en prime.
Retour sur Oran. Le mot et le qualificatif «Bahia» m'ont, de tout temps, inspiré de la gène. Sa consonance péjorative me renvoie toujours aux prestations télévisuelles de ces deux ou trois fausses célébrités, qui ont captivé nos innocents enfants par leurs comédies délurées et qui ont donné à la culture d'Oran un visage de tarée. Heureusement que quelqu'un en très haut lieu s'est rendu compte des dégâts et les a interdits de télévision. J'aurais voulu qu'il intervienne aussi pour jeter aux orties tous ces noms de villes et de villages qui vont à la rencontres des épines au lieu de fleurs et qui vont farfouiller dans les ordures toutes les images qui imposent le malaise et le mal-vivre. Aïn Defla! Quelle idée! «L'oeil du crachat» alors que la ville est devenue une petite merveille. On aurait pu l'a dénommer Johar ou Yakouta. Puis il y a tous ces hassis on ne sait quoi! On a l'impression que les Algériens se sont tous donné le mot pour s'accrocher, coûte que coûte, à ce qui procure de la peine. Les Aïn et les Hassi transportent toujours vers les icônes des cimetières. L'Histoire aurait-elle donc imposé au pays la vocation d'un immense tombeau toujours ouvert?
Départ à 7h30 du matin au rythme d'une limace, pris entre les embouteillages et perdu dans les panneaux de direction. A 9h tapantes je suis à Sidi Lakhdar, à quelques kilomètres de la sortie de Khémis Miliana. J'ai eu alors l'idée saugrenue de faire mon plein de gasoil, alors que j'avais dans mon réservoir de quoi rentrer aisément.
Le plein rempli, je démarre. Mais vingt mètres plus loin, la voiture s'arrête et il n'était plus question pour elle d'avancer. Sinon de se contenter de ronchonner.
En trouvant un mécanicien sur place,j'ai remercié les saints pour leur bénédiction et nous avons poussé le véhicule jusqu'à l'atelier de réparation. Un scanner sur place nous avoua ne rien comprendre sinon que les injecteurs de ma voiture étaient aux prises avec de l'eau. Je n'étais pas encore sorti de ma torpeur qu'un camionneur se présenta en colère et hors de lui, criant qu'on lui fourgué de l'eau à la place du gasoil! Puis un deuxième, pathétique à émouvoir, avec des larmes aux yeux exposant le même problème. La tension à la station-services sous le label de Naftal avait atteint son extrême.
L'extrême était dans nos déboires mais aussi dans les pensées, bien obligés par cette halte forcée à une réconciliation avec le temps qui n'a plus du tout la même valeur et qui nous pousse à renouer avec le fatalisme et la relativité de la vie.
Le propriétaire de la station-services appelé en urgence m'a encouragé à m'en remettre à Dieu qui m'a probablement ou peut-être sauvé d'un drame en me bloquant dans la station-services, et que probablement ou peut-être une catastrophe m'attendait plus loin. Il exigea sur le champ de stopper l'alimentation des voitures et se mit à convoquer les concernés par téléphone. Du jamais vu, affirma-t-il en plus de vingt ans d'activité.

La pompe venait d'être livrée par un camion-citerne. Il était  censé transporter 25.000 litres de carburant. On se rend compte quelques minutes plus tard, en regardant de plus près de quoi il retournait. Le mazout était en fait de l'eau de mer agrémentée de petits granulés de sel.

La station-services était hors de cause bien que l'on m'a expliqué que la citerne du camion était en principe plombée et que le patron de la station aurait dû vérifier sa contenance en la déplombant avant la livraison.
Chacun y allait, cependant, avec son explication. Pour le représentant de Naftal, le gasoil étant livré par bateaux, l'eau se serait infiltré dans les cuves au cours du transport en mer, le mauvais temps aidant! Pour un autre l'explication, sans être, le moins du monde, convaincante est plus pointue. L'eau salée et le sel viendraient d'une manoeuvre habituelle , mais cette fois-ci malencontreuse, qui consisterait à gicler par forte pression d'air de l'eau nécessaire dans les cuves au cours de chaque livraison au port!
Pour nous, il y avait là, de toute évidence, une énorme magouille que nous avons vite fait de confondre avec une culture devenue nationale et générale où le respect de soi n'existe plus et où la haine de l'autre est devenue prédominante. L'eau salée était à adjoindre à la vente des extraits de naissance dans les mairies parce qu'il faut bien aujourd'hui aller jusqu'à payer des dessous de table pour prouver son existence.
Une enquête sera engagée nous assure-t-on. Un grand nombre de stations-services d'Alger et de Blida avait connu les mêmes mésaventures, la semaine dernière  et on avait sûrement engagé des enquêtes. Elles suivent évidemment leur cours.
En attendant un camion et mon véhicule voyaient leurs pompes à mazout se démonter et la perspective pour moi, de passer la nuit à la station se dessinait de mieux en mieux.
Pour augmenter mon désarroi, une des victimes, un promoteur d'El-Khémis se rapprocha de moi pour me suggérer d'aller chercher un huissier de justice pour un constat. Cette idée bien qu'elle s'imposait ne m'emballa pas car je m'estimais trop heureux de n'être pas tombé en panne en pleine campagne et que pour le moment mon véhicule était bien pris en charge. Puis, je me voyais très mal pointer une fois par semaine au tribunal de Khémis Miliana et pour l'éternité. Un procès contre Sonatrach! Un procès contre un état dans un état avec de surcroît des responsabilités partagées dans un pays qui n'arrive pas à se prendre en charge d'une façon convenable où le savoir-faire périclite, de jour en jour et de plus en plus!
De l'eau salée à la place du gasoil n'est que le reflet fidèle d'une société déstructurée où la compétence devient une denrée rare au moment où le mieux-vivre exige de la rigueur.
Pour moi, tout le monde était coupable, bien que les représentants de Naftal nous aient assurés qu'ils rembourseraient tous les frais occasionnés.
Comme tout Algérien qui se respecte, je ne me dépars pas de mes habits d'opposant-né. Un tantinet guerrier dans l'âme comme tous les Algériens avec parfois un coeur généreux. Avec des ingrédients purs et durs qui font que le tourisme, par exemple, ne réussira jamais chez nous.
Dans quelle situation aurait été mise une famille avec femme, bébés et enfants dans l'incroyable mésaventure qui était la nôtre bloquée une journée entière dans une station d'eau salée? Que serait-il advenue d'elle si elle s'était retrouvée perdue au coeur d'une campagne isolée? Ceux qui président à la gestion et la manipulation des détails importants qui régulent nos journées et nos vies, ne rendent pas comptent de l'énormité des montagnes sataniques qu'ils érigent par leurs esprits diaboliques. Les valeurs humaines se sont si estompées que même l'instinct de conservation animal a disparu.

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 00:05

Dans le cadre du plan de développement local, l’APC a consacré une enveloppe financière de 5 millions de dinars pour la réhabilitation de 13 écoles primaires réparties à travers cette localité. Les travaux de réhabilitation sont en cours pour l’entretien de ces infrastructures scolaires. Les établissements touchés par la rénovation sont au nombre de 13 écoles, du lycée et de 2 CEM. Les travaux de réhabilitation sont déjà entamés aux écoles «Khilet Abdelkader» et «Boukhelfi Abdelkader» pour un montant de 195.273 dinars (19.527.300 centimes) ainsi que les établissements «Boucherit Mohamed », «Dar El-Beïda» et «Doudi Amar». Ce dernier établissement a été pris en charge par l’APC, qui a, elle-même avec ses travailleurs, entrepris les travaux de réhabilitation.
SB

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 00:05

LWF Mostaganem 10ème journée - Honneur
Malgré son exemption,
Sayada conserve toujours la première place, son poursuivant immédiat O. El Kheir n’ayant pu faire mieux que ramener 1 point de son déplacement à Gouba de Sidi Ali.

Résultats
ARB Kheireddine ...... 0 ........ CB Sour .................... 1
UG Sidi Ali ................ 2 ........ IRBOE Kheir ............ 2
UPS Belhadri ............. 1 ........ FCB Achâacha.......... 0
AS Mostaganem ....... 2 ........ JS Louza ................... 0
JSOB Djebabra .......... 4 ........ MC Mostaganem ..... 2
WRB Mesra 0 – IRB Haciane 3 (NJ forfait du WRBM
CRB Sayada : exempt.

Classement
    Club          Pts J   G N      P
01 CRBS       23 09 22 05 +17
02 IRBH         20 09 21 07 +14
     - CBS              20 09 14 02 +12
04 IRBOEK    19 09 22 05 +17
05 UPSB        18 10 10 06 +04
06 UGSA        14 09 12 08 +04
     - ARBK           14 09 08 06 +02
08 JSOBD     12 10 15 10 +05
09 ASM          11 10 12 15 -03
10 JSL           06 09 07 16 -09
11 MCM         04 09 06 20 -14
12 FCBA        03 09 04 19 -15
13 WRBM     00 09 01 30 -29

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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 00:05

Les logements sociaux soumis à un cahier des charges

L’OPGI de la wilaya de Mostaganem semble enfin prendre les mesures nécessaires, pour mettre un terme à la spéculation sur les logements sociaux, que l’on voit généralement passer de mains en mains, après leur attribution à des bénéficiaires soi-disant méritants.


La mafia du foncier qui s’engraissait par le passé sur la rente qu’elle s’était créée, en faisant jouer tous les leviers dont elle disposait parfois au sein de l’administration, va être obligée de se créer d’autres moyens de survivre. Auparavant, ses composantes s’accaparaient un ou plusieurs logements en jouant de prête-noms, avant de les revendre à prix d’or voire les sous-louer, en gardant le loisir de se retourner contre leurs sous-locataires, pour les expulser par voie judiciaire, une fois que l’OPGI aura fini par éventer le subterfuge. Un système qui a longtemps perduré, puisqu’aux yeux de la loi, c’est toujours le sous-locataire qui en payait les frais, mais jamais le titulaire légal du logement social.
L’OPGI de Mostaganem a innové, pas plus tard que mercredi dernier, en procédant au niveau de son siège, à la remise des clés de 194 logements sociaux, des F2 et F3 dotés des dépendances nécessaires. Une soixantaine a été attribuée à Haï Houria, 80 à la cité du 5 Juillet et 54 à Haï Chemoum, tous dans la capitale du Dahra. Cette nouveauté qui sera sans aucun doute généralisée au niveau des différentes communes, consiste à faire prendre connaissance par le bénéficiaire des différentes clauses du cahier des charges, parmi elles des clauses contraignantes, censées dissuader l’attributaire de «vendre» son désistement ou de sous-louer l’appartement qui lui a été attribué. De même, il est désormais strictement interdit aux dits bénéficiaires, de procéder à des modifications, qu’elles soient internes ou en façade. Chaque nouveau bénéficiaire sera également inscrit au niveau des services des impôts, pour débusquer les éventuels tricheurs à l’occasion d’une nouvelle distribution.
Enfin, cette nouvelle approche semble bien accueillie par les gens en mal de logement, dans la mesure où elle est censée éviter que des tiers y trouvent leurs comptes, en spéculant sur la misère des gens. Quant à juger de son efficacité, seul l’avenir pourra en juger, compte tenu des mille et un tours que la mafia du foncier détient encore dans son sac.

Lakhdar Hagani

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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 00:05

Les fortes rafales de vent qui ont soufflé sur la wilaya de Mostaganem n’ont pas été sans conséquence. En effet, on a appris qu’un jeune homme, blessé en fin de semaine dernière,
est décédé suite à ses graves blessures.
Un mort, 70 serres endommagées et effondrement partiel d’une maison Il avait reçu un objet lourd sur la tête, tombé du haut d’un immeuble situé à Hai Djebli de Mostaganem. Evacué vers les UMC de Tigditt, puis transféré vers le CHU d’Oran, il a lutté contre la mort durant deux jours avant de rendre l’âme. Par ailleurs, quelque 70 serres ont été endommagées dans la daïra de Sidi Lakhdar, mettant ainsi en péril les différentes cultures maraîchères qu’elles abritaient. Selon des fellahs ayant contacté notre journal, la couverture d’une seule serre revient à près de 5 millions de centimes.
Comme de nombreux fellahs touchés par les intempéries ne sont pas assurés contre les catastrophes naturelles, leurs pertes peuvent être considérables.
Conséquence de leur refus de contracter une quelconque police d’assurance, leurs appels de détresse en direction des instances concernées pour leur venir en aide s’avèreront sûrement vains. D’autre part, une habitation précaire située au douar Ouled Boudrama, à l’est de Sidi Lakhdar, s’est effondrée partiellement, sans faire fort heureusement de victime. Ses occupants se retrouvent à présent sans abri.
Lakhdar Hagani

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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 00:06

La réunion du bureau de wilaya de l’Union des commerçants algériens, qui  regroupé un grand nombre de commerçants et de vendeurs, s’est déroulée dans l’aprèsmidi de jeudi dernier à Sidi Ali dans le but de renforcer la culture organique par l’adhésion des commerçants et des vendeurs dans l’espace organique et législatif pour défendre leurs droits. Il est ainsi inindispensable d’organiser l’activité commerciale dans la commune et à travers les autres localités de la wilaya pour faire
face au marché noir et au marché parallèle. La majorité de l’activité commerciale se situe dans des espaces organisés.
S.B

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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 00:06

En négociant positivement son développement à Aïn Tédelès face à Sidi Lakhdar, le NASR/Sénia a non seulement consolidé son rang de leader mais il a aussi assuré le titre honorifique de champion de la phase aller. En effet, un tout petit but a suffi aux hommes de Bouha pour revenir at
home avec les trois points de la victoire face aux hommes de Benguela réputés pour leur solidité.
A Tlemcen, le onze de l’ICST a difficilement pris le meilleur sur la formation du Chabab de Sidi Ali,
comme en témoigne le score de 3-2. Une victoire qui permet aux Tlemcéniens de maintenir l’écart les séparant du meneur et qui reste toujours de 4 longueurs. Au stade Benahmed, le Machaâl Sidi Chahmi a été freiné dans son élan par une accrocheuse équipe d’El-Amria.
Côté surprise, notons la victoire du NRB Béthioua face à la JSEA dans une rencontre où l’arbitre M.
Fetouche a joué le premier rôle. En bas du tableau, la situation reste inchangée avec le FCO et l’IRBSMB qui ferment la marche.
Benkrama Kh.

Résultats et classement

- O.Arzew «3» ........... 4 ........ CRB Hennaya .......... 2
- IRBSM Bénali ......... 0 ........ MCB Hadjadj ............ 0
- IRB Sidi Lakhdar ..... 0 ....... Nasr/Sénia ............... 1
- MB Sidi Chami ........ 2 ........ CRB El-Amria ........... 2
- ICS Tlemcen ............ 3 ........ CRB Sidi Ali .............. 2
- ZS Aïn Témouchent 1 ........ ASB Nédroma .......... 0
- JS Emir Abdelkader . 0 ........ NRB Béthioua.......... 1
- CRB Ben Badis ....... 2 ........ FC Oran .................... 0

R Club          Pts  J   G   N   P  BP BC Diff
01 NASR       32 14 10 02 02 18 12 +06
02 ICST         28 14 08 04 02 21 11 +10
03 MBSC      25 14 06 07 01 23 13 +10
04 ZSAT        25 14 06 07 01 14 06 +08
05 ASBN       21 14 06 03 05 16 13 +03
06 IRBSL      20 14 06 02 06 16 17 -01
07 OA «3»    19 13 04 07 02 14 09 +05
08 CRBEA    19 14 04 07 03 15 14 +01
09 CRBSA    19 14 05 04 05 16 16 00
10 CRBBB    17 14 04 06 04 12 13 00
11 JSEA        15 13 03 06 04 14 12 +02
12 NRBB      14 14 03 05 06 13 18 -05
13 MCBH      14 14 03 05 06 12 18 -05
14 CRBH      12 14 02 06 06 11 17 -06
15 FCO          06 14 01 03 10 06 18 -12
16 IRBSMB   06 14 00 06 08 05 20 -15

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30 janvier 2009 5 30 /01 /janvier /2009 00:05

J'ai l'immense douleur de vous faire part du décès de notre Frère et ami M. Boukchiche Mohamed, âgé de 53 ans.
Je remercie tous ceux qui ont partagé leur douleur et demandent à tous ceux qui l'ont connu, d'avoir une pieuse pensée à sa mémoire.
Que Dieu, le Tout-Puissant, l'accueille en son Vaste Paradis.

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29 janvier 2009 4 29 /01 /janvier /2009 00:06

Pour écoulement de faux billets et contrefaçon
La cour de justice de Mostaganem, siégeant en session criminelle, a condamné à 4 ans de prison ferme, lors de son audience de ce dernier mardi, le dénommé F.A. accusé d’écoulement de faux billets de banque et G.A. qui a écopé pour sa part de 18 mois de la même peine, pour avoir contrefait un imprimé de virement.

La genèse de l’affaire remonte au mois d’octobre 2005, quand F.A. a été interpellé par les services de police, alors qu’il déambulait au niveau du souk hebdomadaire de Sidi-Lakhdar. Entre-temps, une plainte avait été déposée à son encontre par la victime, maquignon de son état et qui selon l’arrêt de renvoi, affirmait lui avoir vendu un mouton au souk, avant de s’apercevoir tout de suite après, qu’il avait été payé «en monnaie de singe» par l’accusé, autrement dit 9.000 Da en fausses coupures de 1.000 Da. Mieux, la perquisition ordonnée après son arrestation, alors qu’il était encore en possession de 27.000 Da «tirés du même tonneau», permit aux policiers de procéder au domicile de l’accusé, à la saisie d’un scanner.
Quant à G.A. il avait à répondre de la contrefaçon d’une fiche de virement de compte à compte, l’enquête ne précisant pas s’il s’agit d’une opération bancaire ou postale. Néanmoins, le représentant du ministère public avait requis la peine de 12 ans de prison ferme à l’encontre de F.A. et 3 ans de la même peine pour G.A.

Lakhdar Hagani

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29 janvier 2009 4 29 /01 /janvier /2009 00:06

par Ghania Oukazi
«Imprimer et faire circuler une masse de fausse monnaie est inévitablement un élément de gêne dans le fonctionnement de l'économie, c'est donc problématique,» nous a-t-on affirmé hier du côté du ministère des Finances.

Cette précision a été faite à propos de la découverte, mardi dernier, par la police financière italienne (GDF) d'une imprimerie clandestine de faux billets algériens de 1.000 dinars. Cette découverte a été faite dans la région de Naples avec comme «butin» en dinars l'équivalent de près de 3,5 millions d'euros. La GDF affirme, dans le communiqué qu'elle a rendu public à cet effet, que «des machines d'imprimerie sophistiquées, 350.000 billets de 1.000 dinars algériens et une importante quantité de papier spécial ont été saisis.» Le plus inquiétant est que les Italiens soulignent que «les faux billets saisis sont d'une qualité très élevée car ils ont été imprimés sur du vrai papier à billet avec les filigranes, muni d'un fil de sécurité, provenant probablement d'une entreprise de ce secteur.» En plus de près de 400 kg de ce papier qui ont été saisis, la police a procédé à l'arrestation d'un typographe napolitain en train de fabriquer les billets algériens.

La GDF indique qu'il risque de 3 à 12 ans de prison et une amende de 516 à 3.098 euros. «C'est une saisie anormale, nous essayons de comprendre et nous enquêtons sur toutes les pistes possibles,» a déclaré la GDF à propos des fins d'utilisation de cette fausse monnaie.

Au niveau du ministère de Karim Djoudi, bien que l'inquiétude n'est pas apparente et que l'on précise, de prime abord, que «ce genre de trafic n'est pas propre à l'Algérie», l'on affirme cependant qu' «imprimer et faire circuler une masse de fausse monnaie est inévitablement un élément de gêne pour l'économie nationale.» L'explication est que «si un pays gère son économie en fonction d'objectifs précis et la régule à cet effet, l'introduction de la fausse monnaie va porter un effet inflationniste inattendu et faussera ainsi tous les calculs.» L'on pense en outre, «qu'une intervention externe dans la masse monétaire du pays et de surcroît une intervention en faux billets, pourrait servir à l'achat de biens ou au financement de transactions commerciales dans d'autres créneaux, ce qui provoquerait une grande gêne dans les prévisions et bouleverserait la donne économique et commerciale.»

Un des éléments qui risque d'apparaître en premier est «le manque de confiance que pourrait provoquer l'existence de faux billets, entre l'Etat et les citoyens.»

Au ministère des Finances, l'optimisme reste, quand même, de mise puisqu'on souligne que «le billet national est prémuni, le papier avec lequel il est fabriqué est infalsifiable.» Ceci étant, s'il a été falsifié localement et à l'extérieur c'est que «oui, les malfaiteurs peuvent en fabriquer, mais c'est à ceux qui détiennent l'argent de s'assurer de sa qualité.»

Commerçants et autres manipulateurs de la monnaie doivent, selon nos interlocuteurs, se munir de moyens de vérification. «En plus de la lutte par les sanctions de police et de justice, il faut s'équiper de moyens de vérification des billets,» nous dit-on en citant l'exemple des commerces d'outre-mer.

«Vous avez remarqué, ailleurs, quand vous payez avec de gros billets, on les passe dans une machine pour vérifier s'ils sont bons ou pas, on pourrait faire pareil... » nous expliquent des financiers. Si chez les Italiens, l'on ne précise pas encore si cette fausse monnaie est destinée ou pas au financement du terrorisme, chez les Algériens, «tout est possible, d'autant qu'il a été prouvé que le financement de la drogue, l'achat d'armes illicites et le terrorisme sont liés. De la fausse monnaie ne pourrait servir qu'au financement de quelque chose d'illégal et d'interdit et ce, quel que soit le domaine dans lequel elle est utilisée, son existence même est problématique.»

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