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10 mai 2009 7 10 /05 /mai /2009 00:02

par Mahrez Iliès quotidien d'Oran
Le ministre du Commerce, El-Hachemi Djaaboub, a annoncé samedi des mesures pour moraliser le marché national de la pièce de rechange. Le nouveau dispositif que le ministère compte mettre prochainement en place sonnera en fait le glas du trafic de la pièce détachée, et particulièrement de la contrefaçon, dans cette filière très prisée et très juteuse pour les réseaux de contrebande. Selon M. Djaaboub, ces mesures «seront prises lors d'une rencontre prévue prochainement avec les concessionnaires de l'automobile en Algérie et seront mises en application dans les mois à venir». «La nécessité de la collaboration entre les pouvoirs publics concernés, d'une part, et les concessionnaires algériens avec les sociétés mères basées à l'étranger, d'autre part», est plus que souhaitée, a-t-il ajouté à la presse en marge de sa visite au port d'Alger.

Pour moraliser la profession et lutter contre la contrebande de la pièce détachée contrefaite, le ministère du Commerce prévoit ainsi la mise en place d'une base de données contenant la liste détaillée des usines appartenant aux grands constructeurs automobiles, «ce qui facilitera la tâche de s'assurer de la qualité des pièces importées», a-t-il dit. Dès lors, «tout dossier d'importation de pièces de rechange fabriquées dans un pays non mentionné dans la liste des usines du constructeur sera refusé, et la marchandise déclarée contrefaite», a-t-il affirmé.

Cette mesure, qui devrait être appliquée après un accord avec les concessionnaires automobiles et représentants de firmes étrangères en Algérie pour la mise en place d'un vaste réseau de pièces détachées d'origine, mettra fin autant à l'importation de pièces de rechange contrefaites, qu'à un trafic à grande échelle de la pièce détachée, un marché qui brasse plusieurs centaines de milliards de dinars par an.

La mesure annoncée par le ministère du Commerce est d'importance, car elle permet d'abord de lutter plus efficacement contre la contrebande de la pièce détachée, mais surtout d'interdire l'entrée sur le marché algérien de pièces de rechange de mauvaise qualité, douteuses quant à leur origine et responsables, selon des experts, d'au moins 25% des accidents de la route.

Il est clair que derrière le contrôle strict du marché de la pièce de rechange, des importations de ce produit à forte plus-value, il y a toute la filière d'un vaste trafic qui est visée, ainsi que l'un des vecteurs potentiels de l'accroissement potentiel des sinistres mortels en Algérie. En 2008, il y a eu 40.383 accidents de la circulation, dont seulement 22,82% dus à l'excès de vitesse. Le centre national de prévention et de sécurité routière ne donne pas, par contre, le taux d'accidents de la route dus à la défaillance mécanique.

Un débat sur la qualité des pièces détachées mises sur le marché algérien de la maintenance automobile avait effleuré ce problème, qui serait à l'origine d'une bonne proportion des accidents de la route en Algérie, indépendamment de l'imprudence des conducteurs ou d'autres facteurs explicatifs. Pour autant, lutter contre la contrefaçon qui a envahi, et depuis de nombreuses années, le marché national de la pièce de rechange, implique également de la part des pouvoirs publics une disponibilité permanente et régulière de la pièce détachée d'origine. Car lutter contre les importations de pièces contrefaites et potentiellement dangereuses, nécessite en retour un dégraissage complet du marché national de la maintenance, avec une priorité cardinale : la disponibilité de la pièce de rechange et à des prix accessibles. Car c'est également à ce niveau que le problème se pose : l'accès à la pièce de recherche de rechange à des prix raisonnables. Le ministère du Commerce peut-il garantir cette exigence du marché algérien ? Réponse dans quelques semaines.

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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 00:02

par Djamel Belaïfa
Un mois après avoir signé une convention avec le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, pour réduire les tarifs des billets d'avion aux ressortissants algériens à faible revenu et faciliter leur déplacement vers leur pays d'origine, Air Algérie a annoncé mercredi le lancement d'une promotion sur ses vols en provenance de France. Selon un communiqué de la compagnie aérienne, ces réductions qui seront appliquées «exceptionnellement» sur le réseau France de la compagnie nationale dans le sens France-Algérie, sont de 48% pour les familles, de 45% pour les seniors et de 40% pour les jeunes. Pour pouvoir bénéficier de ces réductions, la compagnie précise que les billets doivent être achetés avant le 15 juin 2009. Le communiqué annonce par ailleurs une augmentation à 30 kg de la franchise bagages sur tous ses vols internationaux. Le 02 avril dernier, Air Algérie avait signé une convention de partenariat avec le ministère de la Solidarité, dans un souci de répondre aux préoccupations des familles à revenu modeste établies à l'étranger, notamment en France, où la communauté algérienne est la plus importante. Le ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger, M. Djamel Ould Abbès, a précisé qu'une enveloppe de 50 milliards de centimes a été consacrée à cet effet, dont une première tranche de 30 milliards de centimes est débloquée dès la signature de l'accord avec Air Algérie. Cette enveloppe permettra également la prise en charge des ressortissants après leur arrivée en Algérie pour leur transport vers leurs wilayas d'origine, a-t-il indiqué. «Dès leur arrivée en Algérie, c'est le ministère qui les prend en charge pour rejoindre leurs wilayas d'origine par les différents moyens de transport, terrestre et aérien, ainsi que pour la réservation d'hôtel», a affirmé M. Ould Abbès. Bien entendu, l'annonce de la signature de cette convention avait été accueillie avec une grande satisfaction par notre communauté établie à l'étranger. Seulement, le constat sur le terrain a été tout autre, selon de nombreux émigrés. Voulant profiter de l'aubaine, pour un déplacement en famille vers l'Algérie, bon nombre de nos concitoyens établis en France affirment que ces réductions n'ont pas été appliquées.

Outre Air Algérie, il y a lieu de signaler que l'Entreprise nationale du transport maritime des voyageurs (ENTMV) a décidé, le mois dernier, de réduire de 50% le tarif des billets au profit de la communauté algérienne résidant à l'étranger, à la faveur de la signature d'une convention avec le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger. M. Ouled Abbès a précisé, dans ce contexte, que cette réduction s'étalera du 25 juin au 15 septembre pour faciliter aux membres de la communauté algérienne, notamment ceux vivant en France, leur déplacement vers l'Algérie particulièrement en période estivale. Il a également précisé que cette réduction touchera seulement les voyageurs qui ne sont pas véhiculés.

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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 00:02

160 étudiants victimes d’un taleb pervers à M’sila. Le cordonnier charlantan était un escroc.

Agissant sur information, les éléments du groupement de gendarmerie de la wilaya ont procédé, la semaine écoulée, à l’arrestation de B. Dj., 49 ans, pour escroquerie, proxénétisme et pratique du charlatanisme.

Présenté au début de la semaine dernière au procureur de la République près le tribunal de M’sila, l’accusé a été mis sous mandat de dépôt et son acolyte a bénéficié de la liberté provisoire. Cette affaire a jeté stupeur et consternation parmi la communauté universitaire, notamment les étudiantes qui ont été victimes des agissements de ce malfrat embusqué derrière un paisible métier de cordonnier qui se faisait passer pour un guérisseur et un taleb, ayant des vertus magiques pour dissiper tous les obstacles de nature sentimentale et détenant même un pouvoir prophétique, celui de les protéger de tous les impondérables. érigeant une tente au niveau de la cité des 500 Logements, à proximité de l’université, il agissait en toute quiétude, embobinant des dizaines d’étudiantes en quête de perspectives prometteuses, les violant après les avoir droguées et les livrant à la prostitution. Ces agissements ciblant les étudiantes s’articulaient autour de l’escroquerie, l’envoûtement de ses victimes par des drogues et des psychotropes.

Le 26 avril dernier, une étudiante, victime de ses actes, s’est présentée à la gendarmerie pour déposer plainte contre lui pour escroquerie et pour lui avoir prescrit des plantes qui l’ont aidée à avorter dans sa chambre au niveau de la cité universitaire. Exploitant sa détresse, relate-t-elle à la gendarmerie, le taleb lui a demandé après son avortement de lui remettre de l’argent pour l’achat des plantes pour qu’elle se rétablisse rapidement. Profitant de sa situation, l’accusé a convaincu cette étudiante qu’elle était ensorcelée et que les esprits lui ont exigé de la violer pour qu’elle guérisse dans les meilleurs délais. Ce qu’il fit à l’intérieur même de la tente. C’est là qu’une souricière a été tendue par la gendarmerie qui a pris cet individu en flagrant délit en possession du montant sollicité. Après coup, ce n’est pas moins de 7 étudiantes qui se sont présentées à la gendarmerie pour déposer plainte contre cet individu et qui ont déclaré que de nombreuses filles ont été victimes de ses agissements, mais redoutant le scandale elles ont préféré se taire. Ce sont plus de cent soixante étudiantes de l’université Mohamed Boudiaf de M’sila qui ont été victimes des agissements de ce charlatan qui ont causé des ravages parmi la communauté estudiantine, notamment la gent féminine qui, terrorisée par ses « pouvoirs » réels ou supposés, a voué une obéissance aveugle à ce personnage, qui a dû amasser une fortune considérable de cet atelier fictif de cordonnier, qui ne désemplissait jamais d’étudiantes durant les années universitaires.

Par S. Ghellab

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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 00:02

Vox populi :
Macher Nassim-Chakib


J'avais déposé une demande de visa pour l'Espagne l'an dernier pour vacances universitaires, je me suis vu refuser, ce que j'appellerai ce «précieux sésame». J'ai décidé de tenter encore ma chance et cette fois-ci pour la France, en me disant «y a pas de raison qu'on me le refuse, tu es étudiant en 3e année en médecine, tu remplis toutes les conditions nécessaires, avec des parents ayant une bonne situation socioprofessionnelle (médecins spécialistes tous deux)» Eh ben je me suis trompé ! J'ai déposé la demande pour vacances d'été du 1er au 30 juillet, le 28 avril j'ai eu la réponse très rapidement, VISA REFUSE! Sans aucun motif.
Résultat : j'ai perdu 8 150 DA sans compter les frais d'assurance voyage qu'on doit obligatoirement payer 3 000 DA, et ceux des timbres pour l'hébergement 45 euros) pour rien ! (En plus de «l'obligation» de passer par VisaFrance, pour éviter de faire la queue, eh ben c'est faux, j'ai fait la queue pendant 1 heure !) Ils croient vraiment que je vais laisser mes études en sciences médicales, quitter ma famille, pour aller galérer là-bas sous les ponts ? J'en déduis que c'est la «phobie» de l'étudiant. Personne ne comprend sur quelle base ils donnent le visa, donnez-nous la feuille de route, qu'on sache comment faire ? Pourquoi cette «arnaque légale» ? J'ai été naïf en lisant dans vos colonnes l'ambassadeur de France disant : «C'est faux, on donne des visas aux étudiants, mais on doit être sûr qu'ils reviennent» un certificat de scolarité n'est pas suffisant ? je dis les étudiants, vu que plein de copains, la même chose leur est arrivée) C'est humiliant ! Soyez honnêtes M. l'Ambassadeur ; M. le Consul, dites-nous que c'est interdit pour les étudiants, épargnez-nous cette «rançon » de 10 000 DA de dépense, ça nous ferait des économies pour, comme dirait Hakim Laâlam, fumer du thé avec !

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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 00:02

À l’initiative du vice-rectorat chargé de la pédagogie, et dans le cadre de la préparation de la nouvelle rentrée universitaire 2009/2010, une campagne d’information et de communication a été menée, la semaine dernière, à travers les 30 établissements de l’enseignement secondaire que compte la wilaya de Mostaganem.

Une campagne destinée à l’information et l’orientation des candidats s’apprêtant à subir les épreuves du baccalauréat, prévues du 7 au 11 juin prochain. L’opération qui s’est étalée sur trois jours, a consisté en l’organisation de portes ouvertes itinérantes sur les débouchés qu’offre l’université. Ainsi, sept équipes de tandems d’enseignants et administratifs, mobilisés pour la circonstance, se sont attelées à présenter l’université et le déroulement des études supérieures, et à répondre aux interrogations des élèves quant à la cruciale, et fort probablement encore énigmatique, phase de l’après-bac.
Comment opérer un meilleur choix de la filière désirée ? Comment remplit-on correctement une fiche de vœux ? Comment opère-t-on une préinscription in situ et à distance via internet ? Comment s’y inscrire et comment introduire un recours au cas où la filière désignée ne nous intéresse pas ? Comment obtient-on une bourse et quel dossier doit-on produire pour prétendre aux œuvres universitaires ? Quels diplômes décroche-t-on à l’issue des études et quelle est leur durée ? Quelles sont les formations, en système classique et en LMD, dispensées à Mostaganem ? Quelle différence y a-t-il entre les deux systèmes ? Tels étaient globalement, les axes et questions développés par les intervenants.

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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 00:02
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7 mai 2009 4 07 /05 /mai /2009 00:03

par H. B.
Un voilier australien, avec à son bord deux marins, s'est ensablé hier au niveau de la passe du port de pêche de Sidi Lakhdar, dans la wilaya de Mostaganem. Plusieurs tentatives ont été entreprises pour le sortir de cette situation, mais en vain. Les secours ont duré toute la matinée. Les amateurs sur les lieux ont appelé les secours, notamment la marine nationale de Mostaganem, pour aider les marins australiens à sortir de l'impasse.

La nature aidant, le sable s'entrepose en permanence sur cette partie du port (la passe), réduisant ainsi la profondeur de l'eau et compliquant aussi le passage. Plusieurs bateaux de pêche ont connu le même sort au niveau de ce port, révèlent des amateurs, qui insistent sur l'importance du dragage en permanence.

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 00:03

Contrairement à la phase aller où les deux équipe jouaient les premiers rôles, durant le retour, les données ont carrément changé. Les formations du Chabab de Sidi Ali et de l’Ittihad de Sidi Lakhdar, joueront une rencontre capitale pour leur maintien. Et le moindre faux pas n’est pas permis. Ce qui veut dire que ce derby ne sera pas une simple formalité pour les deux équipes qui cherchent, chacune, à engranger les trois points de la victoire. Il est vraiment difficile d’émettre un quelconque pronostic en présence de forces équilibrées. Que le meilleur gagne et surtout que le fair play soit prédominant.

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 00:03

Le secteur du tourisme, dans la wilaya de Mostaganem, se dotera, avant la fin de l’année en cours, de nouvelles structures dont un hôtel et trois résidences touristiques au niveau de la Zone d’extension touristique de la Salamandre.
Selon la directrice du Tourisme, d’autres projets seront opérationnels vers la fin de l’année prochaine portant sur 27 équipements d’accueil totalisant une capacité de 2.879 lits dans les communes de Mazaghrane, Benabdelmalek Ramdane, Sirat, Mostaganem et Bouguirat. Initiés dans une optique de renforcement des structures d’accueil pendant les saisons estivales, ces projets portent sur la réalisation de 12 hôtels, 8 résidences et 4 auberges. «Avec un taux d’avancement des travaux oscillant entre 35 et 98%, ces projets seront livrés, au plus tard, vers la fin de l’année prochaine», souligne-t-on.
Il a été également proposé la création d’une nouvelle Zone d’extension touristique dans la localité Essakhra relevant de la commune de Benabdelmalek Ramdane, s’étendant sur une superficie de 283 hectares. Par ailleurs, la Société nationale de développement du tourisme relevant du ministère de l’Environnement, de l’Aménagement du territoire et du Tourisme, vient de ficeler l’étude afférente aux projets des deux Zones d’extension touristiques de «Ras Abki» et «La plage de Ramdane», dans la commune de Benabdelmalek Ramdane.
La direction du Tourisme de la wilaya de Mostaganem a enregistré 26 demandes d’investissement dans le domaine touristique, totalisant 7.339 lits en attendant le retrait par les promoteurs privés des cahiers des charges pour lancer leurs projets respectifs. «La wilaya de Mostaganem connaît un manque chronique en matière d’établissements et de structures d’accueil en dépit de sa vocation touristique», a indiqué la responsable qui a ajouté: «ce problème sera définitivement résolu sitôt les 27 projets touristiques achevés d’ici la fin de l’année prochaine».
En revanche, le nombre des estivants est en croissance constante à chaque saison estivale. De 6,5 millions en 2006, leur nombre est passé à 7,3 millions et 10 millions respectivement en 2007 et 2008. La wilaya de Mostaganem dispose d’un littoral long de 124 kilomètres s’étendant de la plage de Sidi Mansour, dans la commune de Stidia, à l’Ouest, vers la plage de Bahara, dans la commune d’Ouled Boughalem, à l’Est, totalisant 32 plages dont 21 autorisées à la baignade.

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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 00:03

L’ADE de Sidi Ali, qui gère quatre communes en matière d’approvisionnement en eau potable, à savoir Sidi Ali, Hadjadj, B.A. Ramdane et Tazgaït, va améliorer au cours des prochains jours ses services en mettant sur pied un programme au profit de ses abonnés pour leur permettre de recevoir ce précieux liquide un jour sur deux, si les pannes ne se reproduisent pas.
Cependant, certains restent privés d’eau faute
de paiement. Dans ce contexte, l’Algérienne
des eaux a enregistré des créances
impayées d’un montant de 7 milliards de
centimes, dont 1 milliard 198 millions pour
les APC. Pour ce qui de la quantité d’eau
réglée forfaitairement, elle est enregistrée
dans la commune de Hadjadj.
L’ADE dispose de nouveaux réservoirs de
5000 m³ chacun qui vont incessamment approvisionner
Mostaganem à partir du barrage
Kramis (Achâacha), où une station disposant
de nouvelles installations va procéder
au traitement hydraulique d’environ
25.000 m³. Des projets sont également inscrits
pour la rénovation de plusieurs canalisations
vétustes en PVC.            L. Benharrat

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