29 septembre 2008
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FC Oran - Bouattou Abdelghani (Attaquant) Abldelghani est un pur produit de l’école de Sidi Ali. Il a fait sa première année en équipe fanion conduite la saison écoulée par M. Benchiha Nacer. A l’occasion du challenge qui pointe à l’horizon, il a opté pour l’équipe du Feth de Carteaux. Pour en savoir plus sur sa nouvelle destination, nous l’avons abordé dès l’achèvement de l’explication FC Oran - Nasr/Es-Sénia.
«Réussir un challenge honorable avec le Feth»
- Peut-on connaître les motifs qui vous ont poussé vers un tel choix ?
- Pour pouvoir poursuivre mes études supérieures à Oran (2ème année d’interprétariat), j’ai fait appel à un parent M. Allouane Maârouf résidant à Carteaux qui m’a introduit auprès des dirigeants du Feth. J’ai réussi le test auquel ils m’ont soumis et j’ai ainsi intégré le groupe conduit par le duo Merine - Slimani.
- Où avez-vous évolué auparavant ?
- J’ai fait mes premières classes au Chabab de Sidi Ali. J’y ai achevé mon apprentissage au cours de la saison sportive 2006/2007. J’évoluai la saison suivante dans l’équipe fanion de Sidi Ali que je viens de quitter pour celle de Carteaux, quartier où j’ai passé une grande partie de ma jeunesse.
- Quelle votre ton idole ?
- Le Brésilien Ricardo Kaka reste mon joueur préféré. Je voudrais imiter chez cette star toutes les qualités qui font l’attaquant moderne.
- Que direz-vous pour conclure ?
- Je profite de l’opportunité que vous m’offrez pour remercier tous ceux qui m’ont aidé à devenir ce que je suis et particulièrement M. Bengoua Bachir, entraîneur des jeunes, mon oncle paternel Benattou Hamid, M. Boubagra Brahim, le président du CSA du CRBSA, M. Bentata Tewfik, entraîneur seniors, MM. Benchiha Nacer, Chaïb Haddou, Derkaoui Mohamed et l’ensemble des dirigeants du FC Oran dont l’accueil m’a touché au plus profond de moi-même. Je souhaite, dans un proche avenir, progresser physiquement et techniquement pour réussir avec le FC Oran un honorable challenge. J’aimerais évoluer dans un club de haut niveau tel que le MC Alger et pourquoi pas défendre les couleurs nationales si toutefois on fait appel à moi.
G. Doubal
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